URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
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URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
L’effervescence régnait dans le vaisseau du rat. Ce dernier revenait d’une planète ambassade, ou le diplomate samouraï avait réussi à décrocher un accord au combien important pour les siens. Après que l’accord fut signé, sa ratification fut dignement fêtée, ce qui expliquait l’état joyeux de Lucien et de Tely…
En effet le rongeur ne s’était pas déplacé seul et avait emmené ses quatre compagnons en guise de « garde rapprochée » (il avait bien précisé qu’elle ne lui était pas spécialement destinée, mais les quatre hurluberlus ne l’avaient pas lâché d’une semelle).
Mira lassée du bordel fais par les deux énergumènes, laissa a Eric le soin de les calmer, et s’assis dans le siège du copilote, a coter du rat en train de somnoler, le vaisseau étant en mode de pilotage automatique.
La jeune femme observait les étoiles l’air perdu dans ses pensées.
Le rat : hmpf, pas possible de ronfler avec le boxon que colle ses deux la…
Mira : faut dire si tu les avais empêché de boire tu n’en serais pas la !
Le rat : ben je ne pouvais pas savoir que Tely tenait pas l’alcool, quand a Lucien d’habitude il encaisse mieux le choc que ca, d’ailleurs….
Eric se pointa alors dans le cockpit, l’air extenué.
Eric : dites, y’en a pas un pour m’aider, entre les jangken version déformé a la Lucien et les numéros de cirque version Tely, je commence à être épuiser…
Le rat : janken façon Lucien ?
Eric : ben oui, il gagne tout le temps, il déforme l’image de la main de son adversaire comme ca l’arrange. Sauf que comme il n’a pas l’esprit très clair ca lui arrive de rajouter un ou deux doigt…
Mira : je me demande ce que nous a fait Tely…
Un barrissement se fit entendre de l’autre coté de la porte, et un grand éclat de rire venant de Lucien retentit.
Le rat pris un air dépité, puis sentit un tremblement secouer la carcasse du vaisseau, forcement le rongeur à rétablir la trajectoire du pilote automatique.
Le rat : dites les enfants, ca serais bien de calmer ses deux la, sinon on va finir par avoir des ennuis, cet appareil n’est pas fait pour le transport d’objet aussi gros…
Mira : ce n’est pas faute d’avoir essayer…
Eric : en plus si on essaie de les calmer par la force, pas sur que ce coucou résiste au combat…
Soudain un nouveau bruit parvint de l’arrière, et le rat pris un air dépité, comme si il avait reconnu la source du bruit en question… Il commença à tapoter l’accoudoir levant les yeux vers les étoiles :
Le rat : pourquoi faut il toujours que lorsque j’imagine le pire, c’est ce qui m’arrive…
Eric : heu, c’était quoi ?
Le rat (repassant en pilote manuel) : des ennuis…
Mira (sortant de la salle de contrôle) : je crains le pire !
Dans la salle arrière, un gigantesque gorille prenait la plupart de l’espace, devant un Lucien hilare, et une Tely qui essayait de lui faire faire des tours (comme marcher sur les mains, sauf que la salle n’était pas assez grande)
Mira essaya de demander a Tely de rappeler le macaque, mais ce dernier était mecontent de ne pouvoir accomplir ce que sa maitresse lui demandait, et coupa court la phrase de la jeune femme. Le silence se fit a part Lucien, toujours mort de rire. Le singe, voyant l’autre faire des singeries, voulu l’assommer. Mais le second du rat, toujours en train de rire arrêta le coup du gorille a une main, puis attrapa le doigt de l’animal et l’envoya valser contre le mur, malgré le poids de l’animal. Un tremblement se fit sentir et tout le monde fut jeter au sol. Un juron retenti a l’avant. Mira se dirigea vers le cockpit, laissant Eric s’occuper de Tely et de Lucien, tout deux assommés par le choc (et le gorille avait disparu).
Mira : pourquoi on a ralenti comme ca ?
Le rat : un abruti a du endommager le vaisseau !
Mira : heu ca parait grave….
Le rat : non, ce n’est pas trop grave, mais faut trouver un endroit ou se poser pour réparer quoi, sinon on en a pour quinze ans à revenir a la base.
Apres ne petite heure le rongeur aborda donc une descente vers une planète apparemment habitable, pourtant l’appareil semblait avoir subi plus de dommages que le Samouraï ne le pensait, et la ce fut plutôt du genre descente aux enfers. Le rongeur arriva cependant à ralentir suffisamment l’appareil, qui commençait à prendre feu, tandis qu’il planait au-dessus d’un continent inconnu. Le rat tentait plus ou moins de maintenir l’altitude de l’appareil, il lança d’un calme olympien :
Le rat : bon les gens, vous prenez un parachute et vous sautez, moi je vais essayer de poser ce qu’il reste de ce tas de ferraille.
Mira : heu tu plaisante la, les deux autres sont toujours dans les pommes…
Le rat : ben vous leur collez des parachutes, et vous sautez avec eux, ce n’est pas compliquer.
Eric : je ne la sens pas cette histoire…
Le rat : c’est vrai que c’est lassant tout ces imprévus !
Mira : tu crois que c’est le moment de faire des jeux de mots ?
Le rat : non en effet, vous devriez déjà être en état de chute libre.
Les dernières paroles du chef d’équipe furent prises au sérieux et Eric arrima Lucien à un parachute tandis que Mira faisais de même avec Tely. Puis Eric endossa lui aussi le précieux sac, l’attacha solidement et sauta dans le vide agrippant solidement son ami. Mira mis un peu plus de temps à s’équiper et se montra réticente fasse au vide. Pourtant devant l’urgence de la situation, elle finit par sauter lançant un dernier mot au rongeur :
Mira (criant) : a de suite !
Le rat : ouais c’est ca !
Et la jeune femme s’élança dans le vide Tely sur l’épaule. Une fois le dégrisement de la vitesse passé, Mira regarda autour d’elle et vit Lucien (toujours dans les vapes) attaché a son parachute déployé, suivit de près par Eric qui surveillait l’inconscient (c’est le cas de le dire) en restant au dessus de lui. Mira décida alors d’ouvrir le parachute de Tely, mais lorsque ce fut fais, elle fut surprise par la force due au ralentissement et lâcha sa prise.
Mira du alors se résoudre à ouvrir son propre équipement de survie. Mais ne sachant pas maitriser la voilure comme Eric, elle s’éloignait de plus en plus du duo de garçon et de Tely. Alors que la jeune femme allait toucher le sol, une grande explosion retentit au loin, signe du crash de leur appareil.
Lucien se releva, tata doucement le crane décelant une belle bosse. Puis il regarda autour de lui, et constata qu’il était dans une drôle de position, son parachute s’étant accroché dans un arbre, il était en effet a deux mettre du seul porté par les suspentes du parachute. Il quitta donc son harnais et tomba avec agilité au sol, puis il jeta un œil autour de lui, et observa :
Lucien : tient nous voila en pleine forêt vierge !
Eric (qui s’était posé non loin du point d’impact de son ami) : voila la cause de tous nos ennuis.
Lucien : il s’est passé quoi au juste ?
Eric : ben à cause de toi et de Tely on s’est crashé…
Lucien : a non moi je ne suis pas un lama, je ne crache pas !
Eric : tu ne peux pas t’empêcher de faire des jeux de mot, ca nous apporte que de lama lechance…
Lucien : c’est lama l’édiction !
Eric : espèce de lama l’autrus.
Lucien : lama l’appris !
Eric : heu faudrait p’tetre retrouver les autres non ?
Lucien : ouais, j’ai plus d’idée la… Au fais ils sont devenus quoi eux ?
Eric : ben on a tout les quatre sauté en parachute, quand au rat, il a du sauter avant que le vaisseau explose…
Lucien : pas la peine s’inquiéter pour lui ! Heureusement que j’étais évanoui, j’ai horreur du vide !
Eric : heu… Au fait …
Lucien : Ouais ?
Eric : oublie pour le moment faut retrouver les autres !
Pendant ce temps Mira qui avait atterri dans une clairière essayé de sortir de la voilure du parachute qui lui était tombée dessus. Ce qui lui fit perdre bien cinq bonnes minutes, et son sens de l’orientation.
Elle commença a regarder autour d’elle cherchant a se repérer quand un bruit se fit entendre.
Mira : Eric ? Lucien ? Tely ?
Seuls des murmures semblèrent lui répondre, encore que la jeune femme se demanda si elle n’avait pas confondu les bruits de la forêt avec des voix humaines.
Mira, ne sachant trop ce qu’elle avait entendu n’osait pas s’aventurer dans la jungle qui l’entourait, et attendit ainsi dix bonne minute, comme tétanisée. Ce ne fut qu’alors qu’elle entendit la voix d’Eric qui l’appelait, et au moment ou elle fit son premier pas, elle se retrouva jetée à terre, projetée par une force inconnue.
Ce n’est qu’en relevant la tête qu’elle se vit attachée, et surtout qu’elle vit les auteurs de l’agression.
C’était des êtres de petites tailles, environ cinquante centimètres, vêtus de peaux et armée de façon archaïque.
Ces derniers semblaient entonner une danse de victoire sans doute pour fêter leur prise du jour.
Eric : et ben c’est quoi ca ces truc ? Des lilliputiens ?
Lucien : ben j’en sais rien, demandons a l’auteur !
L’auteur : muh ?
Lucien : c’est quoi le nom de ses être ?
L’auteur : bonne question, tachons de leur trouver un nom original ! Tient comme normalement tu ne devrais pas m’adresser la parole, pour te punir je vais les appeler les lilliluciens !
Lucien : heu…
L’auteur : une seule réclamation et tu te retrouve plus petit de quatre-vingts centimètres…
Lucien : donc on ferait mieux d’aider Mira c’est cela ?
L’auteur : voila, aller au boulot !
Et il ne fallu pas longtemps pour mettre les petits êtres en fuite, effrayés par les flashs de lumière de lilliLucien (oups pardon je m’égare, Lucien) et les explosions provoqués par Eric.
Il ne fallu ensuite que quelques seconde aux deux hommes pour libéré leur amie.
Lucien : on a encore atterrit dans un drôle d’endroit, si vous voulez mon avis.
Eric : brillante déduction de l’illuminé de première !
Mira : heu, on ferait peut-être mieux de nous mettre à la recherche du rat et de Tely non ?
Lucien : heu oui, faudrait les retrouver au plus vite. Je sens qu’il va encore nous arriver encore tout un tas de truc !
Eric : j’veut bien moi, mais vous savez dans quelle direction ils sont tombé vous ?
Un long silence s’en suivit, durant lequel aucun des protagonistes n’osa prendre la parole.
Eric : c’est ce qui s’appelle se prendre un vent…. En clair on est perdu quoi !
Mira : en effet, il semblerait qu’on ne sache pas ou aller, tient j’en profite pour poser une question qui me trotte dans la tête depuis n moment. Comment t’a fais pour étaler le gorille de Tely d’un coup, Lucien ?
Lucien : hein ? Aucun souvenir d’avoir étalé un gorille ! Bon prenons par la !
Le groupe se mit en route dans la direction indiqué par Lucien, alors qu’Eric haussais les épaules et que Mira semblais dire que son compère esquivait la question.
Pendant ce temps Tely s’était elle aussi réveillée. Ayant l’habitude de vivre en forêt, elle se trouvait donc dans son élément et n’eut aucun mal à se repérer dans les épais sous-bois. Il lui fallu tout de même demander au animaux ce qu’il s’était passé pour savoir que faire, du fais de son inconscience. Ces derniers ignorait que d’autres qu’elle était tombé dans la forêt, mais tous avait entendu le bruit du crash et purent en indiquer la direction a la jeune femme qui se dirigea donc vers le lieu indiqué.
Après deux longues heures d’une marche rapide et assurée, Tely arriva ainsi sur le site ou l’appareil avait heurté le sol. Les morceaux de carlingues s’éparpillaient sur plus de deux kilomètre, mettant en valeur la vitesse à laquelle le vaisseau était arrivé a destination, des embryons d’incendies prenait a droite à gauche, ne pouvant s’étendre en raison de l’humidité ambiante.
Au bout de la piste immanquable laissée par l’appareil, se trouvait le plus gros morceau de carcasse restant du vaisseau qui avait emmené l’équipe du rat en ces lieux.
Les débris qui avaient fini leur course ici, étaient des restes de la carlingue principale, c'est-à-dire le cockpit et une partie du bloc moteur, qui avait percuté un immense arbre, plusieurs fois millénaire.
Tely grimpa tant bien que mal dans ce qui restait de l’engin spatial, complètement déformer par la violence de l’impact.
Elle fini par retrouver le rongeur, toujours au commande de son vaisseau, tombé dans le coma sans doute. Tely le sortit de sa position assise et l’étendit au sol, et constata un nombre effrayant de fracture et de traumatisme possible. Elle se demandait même comment il pouvait être encore en vie
Tely (murmurant pour elle-même) : et bien le voila dans un sale état lui !
Le rat (clignant des yeux) : ouille ma tête, quel choc mes aïeuls !
Tely : bouge pas tu es gravement blessé !
Le rat : muh ? Oh ca, une formalité !
Et il se releva, l’air en pleine forme. Il fit signe alors à sa jeune amie.
Le rat : bon dans cet état la le vaisseau et irrécupérable et inutilisable, donc aucun risque de l’abandonner. On va devoir retrouver les trois autres pour que je puisse nous téléporter à la base !
En effet le rongeur ne s’était pas déplacé seul et avait emmené ses quatre compagnons en guise de « garde rapprochée » (il avait bien précisé qu’elle ne lui était pas spécialement destinée, mais les quatre hurluberlus ne l’avaient pas lâché d’une semelle).
Mira lassée du bordel fais par les deux énergumènes, laissa a Eric le soin de les calmer, et s’assis dans le siège du copilote, a coter du rat en train de somnoler, le vaisseau étant en mode de pilotage automatique.
La jeune femme observait les étoiles l’air perdu dans ses pensées.
Le rat : hmpf, pas possible de ronfler avec le boxon que colle ses deux la…
Mira : faut dire si tu les avais empêché de boire tu n’en serais pas la !
Le rat : ben je ne pouvais pas savoir que Tely tenait pas l’alcool, quand a Lucien d’habitude il encaisse mieux le choc que ca, d’ailleurs….
Eric se pointa alors dans le cockpit, l’air extenué.
Eric : dites, y’en a pas un pour m’aider, entre les jangken version déformé a la Lucien et les numéros de cirque version Tely, je commence à être épuiser…
Le rat : janken façon Lucien ?
Eric : ben oui, il gagne tout le temps, il déforme l’image de la main de son adversaire comme ca l’arrange. Sauf que comme il n’a pas l’esprit très clair ca lui arrive de rajouter un ou deux doigt…
Mira : je me demande ce que nous a fait Tely…
Un barrissement se fit entendre de l’autre coté de la porte, et un grand éclat de rire venant de Lucien retentit.
Le rat pris un air dépité, puis sentit un tremblement secouer la carcasse du vaisseau, forcement le rongeur à rétablir la trajectoire du pilote automatique.
Le rat : dites les enfants, ca serais bien de calmer ses deux la, sinon on va finir par avoir des ennuis, cet appareil n’est pas fait pour le transport d’objet aussi gros…
Mira : ce n’est pas faute d’avoir essayer…
Eric : en plus si on essaie de les calmer par la force, pas sur que ce coucou résiste au combat…
Soudain un nouveau bruit parvint de l’arrière, et le rat pris un air dépité, comme si il avait reconnu la source du bruit en question… Il commença à tapoter l’accoudoir levant les yeux vers les étoiles :
Le rat : pourquoi faut il toujours que lorsque j’imagine le pire, c’est ce qui m’arrive…
Eric : heu, c’était quoi ?
Le rat (repassant en pilote manuel) : des ennuis…
Mira (sortant de la salle de contrôle) : je crains le pire !
Dans la salle arrière, un gigantesque gorille prenait la plupart de l’espace, devant un Lucien hilare, et une Tely qui essayait de lui faire faire des tours (comme marcher sur les mains, sauf que la salle n’était pas assez grande)
Mira essaya de demander a Tely de rappeler le macaque, mais ce dernier était mecontent de ne pouvoir accomplir ce que sa maitresse lui demandait, et coupa court la phrase de la jeune femme. Le silence se fit a part Lucien, toujours mort de rire. Le singe, voyant l’autre faire des singeries, voulu l’assommer. Mais le second du rat, toujours en train de rire arrêta le coup du gorille a une main, puis attrapa le doigt de l’animal et l’envoya valser contre le mur, malgré le poids de l’animal. Un tremblement se fit sentir et tout le monde fut jeter au sol. Un juron retenti a l’avant. Mira se dirigea vers le cockpit, laissant Eric s’occuper de Tely et de Lucien, tout deux assommés par le choc (et le gorille avait disparu).
Mira : pourquoi on a ralenti comme ca ?
Le rat : un abruti a du endommager le vaisseau !
Mira : heu ca parait grave….
Le rat : non, ce n’est pas trop grave, mais faut trouver un endroit ou se poser pour réparer quoi, sinon on en a pour quinze ans à revenir a la base.
Apres ne petite heure le rongeur aborda donc une descente vers une planète apparemment habitable, pourtant l’appareil semblait avoir subi plus de dommages que le Samouraï ne le pensait, et la ce fut plutôt du genre descente aux enfers. Le rongeur arriva cependant à ralentir suffisamment l’appareil, qui commençait à prendre feu, tandis qu’il planait au-dessus d’un continent inconnu. Le rat tentait plus ou moins de maintenir l’altitude de l’appareil, il lança d’un calme olympien :
Le rat : bon les gens, vous prenez un parachute et vous sautez, moi je vais essayer de poser ce qu’il reste de ce tas de ferraille.
Mira : heu tu plaisante la, les deux autres sont toujours dans les pommes…
Le rat : ben vous leur collez des parachutes, et vous sautez avec eux, ce n’est pas compliquer.
Eric : je ne la sens pas cette histoire…
Le rat : c’est vrai que c’est lassant tout ces imprévus !
Mira : tu crois que c’est le moment de faire des jeux de mots ?
Le rat : non en effet, vous devriez déjà être en état de chute libre.
Les dernières paroles du chef d’équipe furent prises au sérieux et Eric arrima Lucien à un parachute tandis que Mira faisais de même avec Tely. Puis Eric endossa lui aussi le précieux sac, l’attacha solidement et sauta dans le vide agrippant solidement son ami. Mira mis un peu plus de temps à s’équiper et se montra réticente fasse au vide. Pourtant devant l’urgence de la situation, elle finit par sauter lançant un dernier mot au rongeur :
Mira (criant) : a de suite !
Le rat : ouais c’est ca !
Et la jeune femme s’élança dans le vide Tely sur l’épaule. Une fois le dégrisement de la vitesse passé, Mira regarda autour d’elle et vit Lucien (toujours dans les vapes) attaché a son parachute déployé, suivit de près par Eric qui surveillait l’inconscient (c’est le cas de le dire) en restant au dessus de lui. Mira décida alors d’ouvrir le parachute de Tely, mais lorsque ce fut fais, elle fut surprise par la force due au ralentissement et lâcha sa prise.
Mira du alors se résoudre à ouvrir son propre équipement de survie. Mais ne sachant pas maitriser la voilure comme Eric, elle s’éloignait de plus en plus du duo de garçon et de Tely. Alors que la jeune femme allait toucher le sol, une grande explosion retentit au loin, signe du crash de leur appareil.
Lucien se releva, tata doucement le crane décelant une belle bosse. Puis il regarda autour de lui, et constata qu’il était dans une drôle de position, son parachute s’étant accroché dans un arbre, il était en effet a deux mettre du seul porté par les suspentes du parachute. Il quitta donc son harnais et tomba avec agilité au sol, puis il jeta un œil autour de lui, et observa :
Lucien : tient nous voila en pleine forêt vierge !
Eric (qui s’était posé non loin du point d’impact de son ami) : voila la cause de tous nos ennuis.
Lucien : il s’est passé quoi au juste ?
Eric : ben à cause de toi et de Tely on s’est crashé…
Lucien : a non moi je ne suis pas un lama, je ne crache pas !
Eric : tu ne peux pas t’empêcher de faire des jeux de mot, ca nous apporte que de lama lechance…
Lucien : c’est lama l’édiction !
Eric : espèce de lama l’autrus.
Lucien : lama l’appris !
Eric : heu faudrait p’tetre retrouver les autres non ?
Lucien : ouais, j’ai plus d’idée la… Au fais ils sont devenus quoi eux ?
Eric : ben on a tout les quatre sauté en parachute, quand au rat, il a du sauter avant que le vaisseau explose…
Lucien : pas la peine s’inquiéter pour lui ! Heureusement que j’étais évanoui, j’ai horreur du vide !
Eric : heu… Au fait …
Lucien : Ouais ?
Eric : oublie pour le moment faut retrouver les autres !
Pendant ce temps Mira qui avait atterri dans une clairière essayé de sortir de la voilure du parachute qui lui était tombée dessus. Ce qui lui fit perdre bien cinq bonnes minutes, et son sens de l’orientation.
Elle commença a regarder autour d’elle cherchant a se repérer quand un bruit se fit entendre.
Mira : Eric ? Lucien ? Tely ?
Seuls des murmures semblèrent lui répondre, encore que la jeune femme se demanda si elle n’avait pas confondu les bruits de la forêt avec des voix humaines.
Mira, ne sachant trop ce qu’elle avait entendu n’osait pas s’aventurer dans la jungle qui l’entourait, et attendit ainsi dix bonne minute, comme tétanisée. Ce ne fut qu’alors qu’elle entendit la voix d’Eric qui l’appelait, et au moment ou elle fit son premier pas, elle se retrouva jetée à terre, projetée par une force inconnue.
Ce n’est qu’en relevant la tête qu’elle se vit attachée, et surtout qu’elle vit les auteurs de l’agression.
C’était des êtres de petites tailles, environ cinquante centimètres, vêtus de peaux et armée de façon archaïque.
Ces derniers semblaient entonner une danse de victoire sans doute pour fêter leur prise du jour.
Eric : et ben c’est quoi ca ces truc ? Des lilliputiens ?
Lucien : ben j’en sais rien, demandons a l’auteur !
L’auteur : muh ?
Lucien : c’est quoi le nom de ses être ?
L’auteur : bonne question, tachons de leur trouver un nom original ! Tient comme normalement tu ne devrais pas m’adresser la parole, pour te punir je vais les appeler les lilliluciens !
Lucien : heu…
L’auteur : une seule réclamation et tu te retrouve plus petit de quatre-vingts centimètres…
Lucien : donc on ferait mieux d’aider Mira c’est cela ?
L’auteur : voila, aller au boulot !
Et il ne fallu pas longtemps pour mettre les petits êtres en fuite, effrayés par les flashs de lumière de lilliLucien (oups pardon je m’égare, Lucien) et les explosions provoqués par Eric.
Il ne fallu ensuite que quelques seconde aux deux hommes pour libéré leur amie.
Lucien : on a encore atterrit dans un drôle d’endroit, si vous voulez mon avis.
Eric : brillante déduction de l’illuminé de première !
Mira : heu, on ferait peut-être mieux de nous mettre à la recherche du rat et de Tely non ?
Lucien : heu oui, faudrait les retrouver au plus vite. Je sens qu’il va encore nous arriver encore tout un tas de truc !
Eric : j’veut bien moi, mais vous savez dans quelle direction ils sont tombé vous ?
Un long silence s’en suivit, durant lequel aucun des protagonistes n’osa prendre la parole.
Eric : c’est ce qui s’appelle se prendre un vent…. En clair on est perdu quoi !
Mira : en effet, il semblerait qu’on ne sache pas ou aller, tient j’en profite pour poser une question qui me trotte dans la tête depuis n moment. Comment t’a fais pour étaler le gorille de Tely d’un coup, Lucien ?
Lucien : hein ? Aucun souvenir d’avoir étalé un gorille ! Bon prenons par la !
Le groupe se mit en route dans la direction indiqué par Lucien, alors qu’Eric haussais les épaules et que Mira semblais dire que son compère esquivait la question.
Pendant ce temps Tely s’était elle aussi réveillée. Ayant l’habitude de vivre en forêt, elle se trouvait donc dans son élément et n’eut aucun mal à se repérer dans les épais sous-bois. Il lui fallu tout de même demander au animaux ce qu’il s’était passé pour savoir que faire, du fais de son inconscience. Ces derniers ignorait que d’autres qu’elle était tombé dans la forêt, mais tous avait entendu le bruit du crash et purent en indiquer la direction a la jeune femme qui se dirigea donc vers le lieu indiqué.
Après deux longues heures d’une marche rapide et assurée, Tely arriva ainsi sur le site ou l’appareil avait heurté le sol. Les morceaux de carlingues s’éparpillaient sur plus de deux kilomètre, mettant en valeur la vitesse à laquelle le vaisseau était arrivé a destination, des embryons d’incendies prenait a droite à gauche, ne pouvant s’étendre en raison de l’humidité ambiante.
Au bout de la piste immanquable laissée par l’appareil, se trouvait le plus gros morceau de carcasse restant du vaisseau qui avait emmené l’équipe du rat en ces lieux.
Les débris qui avaient fini leur course ici, étaient des restes de la carlingue principale, c'est-à-dire le cockpit et une partie du bloc moteur, qui avait percuté un immense arbre, plusieurs fois millénaire.
Tely grimpa tant bien que mal dans ce qui restait de l’engin spatial, complètement déformer par la violence de l’impact.
Elle fini par retrouver le rongeur, toujours au commande de son vaisseau, tombé dans le coma sans doute. Tely le sortit de sa position assise et l’étendit au sol, et constata un nombre effrayant de fracture et de traumatisme possible. Elle se demandait même comment il pouvait être encore en vie
Tely (murmurant pour elle-même) : et bien le voila dans un sale état lui !
Le rat (clignant des yeux) : ouille ma tête, quel choc mes aïeuls !
Tely : bouge pas tu es gravement blessé !
Le rat : muh ? Oh ca, une formalité !
Et il se releva, l’air en pleine forme. Il fit signe alors à sa jeune amie.
Le rat : bon dans cet état la le vaisseau et irrécupérable et inutilisable, donc aucun risque de l’abandonner. On va devoir retrouver les trois autres pour que je puisse nous téléporter à la base !
Dernière édition par Le Rat qui rit le Ven 4 Déc 2009 - 17:01, édité 1 fois
Le Rat qui rit- Ancien de l'Ombre
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Date d'inscription : 05/02/2007
Re: URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
Tely et le rat était donc repartis dans la direction d’où venait la jeune femme. Le rongeur, fringuant, imposait un rythme diabolique à son amie, qui malgré le fait d’être habituer à ce genre d’expédition, avait du mal à suivre.
Tely : est-ce si important d’aller si vite ? On ne tiendra pas longtemps à cette allure.
Le rat : ouais, c’est important, car je pari que cette andouille de Lucien n’aura pu s’empêcher de bouger de l’endroit ou il était, que ce soit dans la bonne ou la mauvaise direction.
Tely (s’essoufflant) : oui, enfin, ces bois ne me semblent pas si dangereux que cela.
Le rat (s’arrêtant) : ca, c’est toi qui le dis….
Tely (s’arrêtant de même) : tu connais le coin ?
Le rat : pas le moins du monde ! Mais je n’aime guère l’impression qui se dégage de cet endroit.
Tely : donc, comme je le pensais tu possède aussi un instinct animal !
Le rat (prenant Tely par l’oreille et commençant à la trainer vers la suite de leur route) : ne t’amuse pas à faire ce genre de remarques !
Tandis que la nuit commençait à tomber et que le rongeur et Tely continuait leur folle marche, du coter d’Eric et compagnie, ce n’était pas vraiment rose…
Eric : dis le franchement tu es complètement paumé !
Lucien : non je n’ai jamais joué au jeu de paume !
Mira (tapant sur la tête à Lucien) : c’est sur pauvre pomme !
Lucien : c’est malin va me falloir de la paume-ade !
Eric : c’est sur, tu te prends pour un Loulou de Pomeranie !
Lucien : heu… punaise deuxième fois que je suis a sec en jeux de mot ! Ce n’est pas mon jour aujourd’hui !
Mira : heu ca serait pas de la lumière que je vois par la ?
Eric : hum en effet, on devrait aller voir !
Lucien : pour retomber sur les pygmées ? Pas sur que ce soit une bonne idée !
Mira : en tout cas, vu on en est, ca coute rien d’aller voir. On avisera une fois qu’on saura à quoi s’en tenir.
C’est ainsi que le trio pris la direction de la lueur. Lucien trainant des savates, tout en grommelant sa mauvaise humeur. Après quelques minutes de marche, le petit groupe aperçu alors l’origine de la lueur, il s’agissait d’un feu de camp, autour duquel une dizaine de personnes humaines se partageaient un repas, dans un silence presque religieux.
Une conversation commença entre les trois compagnons.
Mira (murmurant) : bon on fait quoi ?
Eric (murmurant) : bah on va les voir et on leur demande l’hospitalité pardi ! Je commence à avoir faim.
Lucien (murmurant) : je ne sais pas pourquoi, mais ca m’inspire pas trop qu’ils cherchent à faire le moins de bruit possible.
Eric (murmurant) : on en serait pas la si mossieu je sais tout nous avait pas perdu au fond des bois.
Lucien (murmurant) : ne me cherche pas ou je te des bois te la tronche !
Eric (murmurant) : des boites ? Ou ca ?
Lucien (murmurant) : arrête la bois son !
Mira : heu….
Eric et Lucien : pourquoi tu murmure plus ?
Mira : parce que ca sert plus a grand-chose, vous feriez mieux de vous retourner !
Les deux garçons s’exécutèrent et virent le groupe de gens qui les regardait, les ayant cernés, l’air peu aimable…
Lucien : heu…Salut, belle soirée non ?
Individu 1 : on pourrait savoir pourquoi vous faites autant de bordel ? Y’a pas que des monstres sympathique dans cette foret !
Lucien (murmurant) : ben on est tombé dans le coin, et on est bloqué ici, à moins qu’on retrouve quelqu’un qui puisse nous sortir de la.
Pour toute réponse, de grand éclat de rire résonnèrent dans la forêt, avant que le groupe ne se rende compte du bruit qu’il faisait.
Lucien (murmurant) : c’est malin, et après on dit qu’on fait trop de bruit.
Individu 2 : plus la peine de murmurer, de toute manière, si y’a un monstre dans le coin, il nous a repérer.
Eric : je subodore une flemme de l’auteur a propos du mot « murmurant ».
Auteur : encore des réclamations ?
Eric : non je constatais…
Individu 7 : il est fou, il est comme Jeanne d’arc il entend des voix ?
Mira : heu ne nous étalons pas là-dessus.
Individu 4 : bon on fait quoi de ses trois gus ?
Individu 10 : ben si on s’est fait repérer, on se servira d’eux comme chair à canon.
Eric : ca ne me dérange pas le moins du monde d’être en première ligne.
Lucien : moi ca me fais chier, je dois me taper tout le boulot.
Mira : en tout cas pourrions nous diner en votre présence ?
Individu 10 : faites. De toute manière ce n’est pas le gibier qui manque ici. On a besoin de chair à canon en forme si on veut avoir le temps de fuir.
Les trois amis prirent place autour du feu, et prirent un des nombreux morceaux de viande qui cuisait sur le feu. Le repas fut silencieux et personne n’ouvrit la bouche pour faire autre chose que manger.
Après cette pose repas, les tours de gardes furent distribuer équitablement (ou presque). Tandis que tout le monde s’endormis, Eric s’adresse à Lucien.
Eric : tu fais quoi ?
Lucien : je digère !
Eric : je ne suis pas sur que tu gère…
Lucien : et toi tu me donne la gerbe.
Eric : heu, bon bref, tu pense quoi de ses types ? Ils sont sympathique non ?
Lucien : je trouve qui nous on accepter trop vit, et ca me plait po.
Eric : de tout manière y’a pas grand-chose qui t’intéresse toi. T’est une vraie plaie.
Lucien : tout le plaie sir est pour moi…
Eric : petit plaie santin.
Lucien : bon laisse-moi dormir.
Pendant ce temps le rat et Tely était revenu à l’ endroit ou Lucien, Mira, et Eric avait atterrit. Tely étant épuisée, le rat n’eut d’autre choix que d’établir le camp en ces lieux, et improvisa même la construction de deux tentes à partir de la toile des parachutes. Il partit ensuite trouver a manger tandis que la jeune femme allumer un feu, les deux taches furent accomplie rapidement et le rongeur ainsi que son amie commencèrent à manger, sans mot dire. Quand ils eurent finit, Tely fit rapidement le tour du campement et constata :
Tely : apparemment y’a eu de la bagarre dans le coin.
Le rat : oui, j’ai vu les traces d’explosion.
Tely : apparemment l’assaillant était de petite taille, les marques de pas sont à peine visibles.
Le rat : ah bon ? Je ne les avais même pas vus.
Tely : et après nos trois amis sont partis dans cette direction.
Le rat : oui, non suivrons leur traces des demain, en attendant tu a besoin de repos.
La nuit fut calme, et ceux pour les deux campements malgré le jour de marche qui les séparait.
Lorsque le matin vint, Tely et le rat se remirent en route, tandis que le groupe de treize se préparait a faire de même.
Lucien : ou vous allez comme ca ?
Individu 10 : ben on a fini notre voyage d’exploration. On va faire notre compte rendu au chef.
Eric : et il se trouve ou ?
Individu 3 : dans la seule ville de la planète. On va vous y emmener de toute façon.
Mira : et si nous ne sommes pas d’accord ?
Individu 10 : libre a vous de partir, mais je doute que vous arriviez à survivre longtemps dans le coin.
Eric : bon allons y alors…
Et le groupe se mit en route, nos trois amis fermant la marche. Après quelques heures de marche sans histoire, un bruit retentit derrière le groupe. C’était une sorte de mugissement, qui raisonna dans la jungle non loin derrière eux.
Individu 10 : punaise ! Le monstre de la forêt ! Fuyons !
Lucien : dis Eric, tu crois qu’elle est si terrible que ca leur bestiole ?
Eric : je n’en sais rien. On a qu’à l’attendre, pour voir ce qu’elle vaut !
Mira : ca me semble être une idée des plus dangereuses.
Lucien : ben on ne sait pas si elle craint tant que ca cette bestiole !
Mira : j’aurais prévenu, bande de têtes brulées.
Tandis que leur compagnons de voyages fuyaient au loin, Eric et Lucien attendait tranquillement la créature, se lançant divers jeu de mots dont il est inutile de faire la liste. Le bruissement des feuilles et le craquement des branches démontraient que ce qui arrivait était sans doute de grande taille.
Enfin la bête apparu, c’était un gigantesque tigre, de la taille d’une maison. Il sauta sur les deux compagnons qui lancèrent chacun une attaque qui eu pour résultat un vol plané du félin.
Lucien : en voila un gros matou.
Eric : le genre de bestiole ou il faut se ruiner pour le nourrir.
Mira : je ne pense pas qu’il soit du genre « animal de compagnie ».
Lucien : tient ca pourrait être marrant d’essayer de le dresser.
Le tigre se releva, l’air un peu abasourdi, mais toujours aussi féroce. Il s’approcha des deux amis, tous poils hérissés.
Eric : la il a surtout l’air de vouloir te bouffer !
Lucien : ou de vouloir te bouffer toi. D’ailleurs il risque de choper une indigestion. Bon quelqu’un a une idée afin de mater ce matou ?
Le félin voulu à nouveau sauter, mais cette fois seulement sur Lucien (sans doute parce que c’est le plus bavard des trois). Le jeune homme réagit promptement et esquiva la charge du colosse, puis monta sur sa tête, utilisa light aux graphies, et avec la longueur de sa lance, lui tapa sur le haut du crane.
Lucien : vilain matou !
Matou (essayant de se débarrasser de Lucien d’un coup de patte): GRAOOOU !
Lucien (repoussant le coup de patte d’un coup de lance) : non ! On ne fait pas comme ca !
Eric : ca tourne au n’importe quoi la….
Matou (s ébrouant, pour faire tomber son cavalier inopportun) : SHHHHHH
Lucien (ayant réussi à rester sur la tête du monstre, lui donnant un nouveau coup) : Calmos !
Apres dix minutes de lutte acharnée, entre le félin qui essayait de se débarrasser de Lucien, et ce dernier qui se bornait à le réprimander a chaque fois qu’il ne faisait pas ce qu’il voulait, le résultat fut des plus spectaculaires. Le matou obéissait (certes avec une certaines réticence) au ordre du jeune homme qui le remercier en lui donnant des bout de viande séché.
Mira : et ben, je me demande à quoi cela va bien pouvoir nous servir de dompter cette bestiole…
Eric : c’est du grand n’importe quoi oui !
Lucien : bouh, bande de rabats joie ! Bon montez à bord on va rattraper ce tas de mollasson qui ont fuis pour si peu ! En avant Dorian !
Eric : hein tu lui as même donné un nom ?
Lucien n’eut pas le temps de répondre, le tigre était parti…. Mais dans le mauvais sens. Apres quelques remontrances bien senties, le félin repartit dans la bonne direction. L’agilité et la rapidité de l’animale permis de rattraper rapidement le groupe de fuyard.
Individu 10 : merde, le revoilà déjà ! On va tous se faire bouffer !
Individu 7 : zut alors ca veut dire que les trois autres sont déjà mort ?
Individu 8 : ils semblaient assez fort pourtant…
Lucien (se dressant sur la tête de Dorian) : vous nous enterrez un peu vite les gars !
Individu 10 : pincez moi, je rêve ou ce type et sur la tête du monstre.
Lucien : ouais il m’obéit quand il veut bien : assis Dorian !
Et le monstre s’assit donc, et eu le droit a un morceau de viande en récompense
Individu 3 : ca alors ! Voila qui est impressionnant !
Lucien : bon allez, montez abord on va rejoindre votre ville en moins de deux avec lui !
A suivre
Tely : est-ce si important d’aller si vite ? On ne tiendra pas longtemps à cette allure.
Le rat : ouais, c’est important, car je pari que cette andouille de Lucien n’aura pu s’empêcher de bouger de l’endroit ou il était, que ce soit dans la bonne ou la mauvaise direction.
Tely (s’essoufflant) : oui, enfin, ces bois ne me semblent pas si dangereux que cela.
Le rat (s’arrêtant) : ca, c’est toi qui le dis….
Tely (s’arrêtant de même) : tu connais le coin ?
Le rat : pas le moins du monde ! Mais je n’aime guère l’impression qui se dégage de cet endroit.
Tely : donc, comme je le pensais tu possède aussi un instinct animal !
Le rat (prenant Tely par l’oreille et commençant à la trainer vers la suite de leur route) : ne t’amuse pas à faire ce genre de remarques !
Tandis que la nuit commençait à tomber et que le rongeur et Tely continuait leur folle marche, du coter d’Eric et compagnie, ce n’était pas vraiment rose…
Eric : dis le franchement tu es complètement paumé !
Lucien : non je n’ai jamais joué au jeu de paume !
Mira (tapant sur la tête à Lucien) : c’est sur pauvre pomme !
Lucien : c’est malin va me falloir de la paume-ade !
Eric : c’est sur, tu te prends pour un Loulou de Pomeranie !
Lucien : heu… punaise deuxième fois que je suis a sec en jeux de mot ! Ce n’est pas mon jour aujourd’hui !
Mira : heu ca serait pas de la lumière que je vois par la ?
Eric : hum en effet, on devrait aller voir !
Lucien : pour retomber sur les pygmées ? Pas sur que ce soit une bonne idée !
Mira : en tout cas, vu on en est, ca coute rien d’aller voir. On avisera une fois qu’on saura à quoi s’en tenir.
C’est ainsi que le trio pris la direction de la lueur. Lucien trainant des savates, tout en grommelant sa mauvaise humeur. Après quelques minutes de marche, le petit groupe aperçu alors l’origine de la lueur, il s’agissait d’un feu de camp, autour duquel une dizaine de personnes humaines se partageaient un repas, dans un silence presque religieux.
Une conversation commença entre les trois compagnons.
Mira (murmurant) : bon on fait quoi ?
Eric (murmurant) : bah on va les voir et on leur demande l’hospitalité pardi ! Je commence à avoir faim.
Lucien (murmurant) : je ne sais pas pourquoi, mais ca m’inspire pas trop qu’ils cherchent à faire le moins de bruit possible.
Eric (murmurant) : on en serait pas la si mossieu je sais tout nous avait pas perdu au fond des bois.
Lucien (murmurant) : ne me cherche pas ou je te des bois te la tronche !
Eric (murmurant) : des boites ? Ou ca ?
Lucien (murmurant) : arrête la bois son !
Mira : heu….
Eric et Lucien : pourquoi tu murmure plus ?
Mira : parce que ca sert plus a grand-chose, vous feriez mieux de vous retourner !
Les deux garçons s’exécutèrent et virent le groupe de gens qui les regardait, les ayant cernés, l’air peu aimable…
Lucien : heu…Salut, belle soirée non ?
Individu 1 : on pourrait savoir pourquoi vous faites autant de bordel ? Y’a pas que des monstres sympathique dans cette foret !
Lucien (murmurant) : ben on est tombé dans le coin, et on est bloqué ici, à moins qu’on retrouve quelqu’un qui puisse nous sortir de la.
Pour toute réponse, de grand éclat de rire résonnèrent dans la forêt, avant que le groupe ne se rende compte du bruit qu’il faisait.
Lucien (murmurant) : c’est malin, et après on dit qu’on fait trop de bruit.
Individu 2 : plus la peine de murmurer, de toute manière, si y’a un monstre dans le coin, il nous a repérer.
Eric : je subodore une flemme de l’auteur a propos du mot « murmurant ».
Auteur : encore des réclamations ?
Eric : non je constatais…
Individu 7 : il est fou, il est comme Jeanne d’arc il entend des voix ?
Mira : heu ne nous étalons pas là-dessus.
Individu 4 : bon on fait quoi de ses trois gus ?
Individu 10 : ben si on s’est fait repérer, on se servira d’eux comme chair à canon.
Eric : ca ne me dérange pas le moins du monde d’être en première ligne.
Lucien : moi ca me fais chier, je dois me taper tout le boulot.
Mira : en tout cas pourrions nous diner en votre présence ?
Individu 10 : faites. De toute manière ce n’est pas le gibier qui manque ici. On a besoin de chair à canon en forme si on veut avoir le temps de fuir.
Les trois amis prirent place autour du feu, et prirent un des nombreux morceaux de viande qui cuisait sur le feu. Le repas fut silencieux et personne n’ouvrit la bouche pour faire autre chose que manger.
Après cette pose repas, les tours de gardes furent distribuer équitablement (ou presque). Tandis que tout le monde s’endormis, Eric s’adresse à Lucien.
Eric : tu fais quoi ?
Lucien : je digère !
Eric : je ne suis pas sur que tu gère…
Lucien : et toi tu me donne la gerbe.
Eric : heu, bon bref, tu pense quoi de ses types ? Ils sont sympathique non ?
Lucien : je trouve qui nous on accepter trop vit, et ca me plait po.
Eric : de tout manière y’a pas grand-chose qui t’intéresse toi. T’est une vraie plaie.
Lucien : tout le plaie sir est pour moi…
Eric : petit plaie santin.
Lucien : bon laisse-moi dormir.
Pendant ce temps le rat et Tely était revenu à l’ endroit ou Lucien, Mira, et Eric avait atterrit. Tely étant épuisée, le rat n’eut d’autre choix que d’établir le camp en ces lieux, et improvisa même la construction de deux tentes à partir de la toile des parachutes. Il partit ensuite trouver a manger tandis que la jeune femme allumer un feu, les deux taches furent accomplie rapidement et le rongeur ainsi que son amie commencèrent à manger, sans mot dire. Quand ils eurent finit, Tely fit rapidement le tour du campement et constata :
Tely : apparemment y’a eu de la bagarre dans le coin.
Le rat : oui, j’ai vu les traces d’explosion.
Tely : apparemment l’assaillant était de petite taille, les marques de pas sont à peine visibles.
Le rat : ah bon ? Je ne les avais même pas vus.
Tely : et après nos trois amis sont partis dans cette direction.
Le rat : oui, non suivrons leur traces des demain, en attendant tu a besoin de repos.
La nuit fut calme, et ceux pour les deux campements malgré le jour de marche qui les séparait.
Lorsque le matin vint, Tely et le rat se remirent en route, tandis que le groupe de treize se préparait a faire de même.
Lucien : ou vous allez comme ca ?
Individu 10 : ben on a fini notre voyage d’exploration. On va faire notre compte rendu au chef.
Eric : et il se trouve ou ?
Individu 3 : dans la seule ville de la planète. On va vous y emmener de toute façon.
Mira : et si nous ne sommes pas d’accord ?
Individu 10 : libre a vous de partir, mais je doute que vous arriviez à survivre longtemps dans le coin.
Eric : bon allons y alors…
Et le groupe se mit en route, nos trois amis fermant la marche. Après quelques heures de marche sans histoire, un bruit retentit derrière le groupe. C’était une sorte de mugissement, qui raisonna dans la jungle non loin derrière eux.
Individu 10 : punaise ! Le monstre de la forêt ! Fuyons !
Lucien : dis Eric, tu crois qu’elle est si terrible que ca leur bestiole ?
Eric : je n’en sais rien. On a qu’à l’attendre, pour voir ce qu’elle vaut !
Mira : ca me semble être une idée des plus dangereuses.
Lucien : ben on ne sait pas si elle craint tant que ca cette bestiole !
Mira : j’aurais prévenu, bande de têtes brulées.
Tandis que leur compagnons de voyages fuyaient au loin, Eric et Lucien attendait tranquillement la créature, se lançant divers jeu de mots dont il est inutile de faire la liste. Le bruissement des feuilles et le craquement des branches démontraient que ce qui arrivait était sans doute de grande taille.
Enfin la bête apparu, c’était un gigantesque tigre, de la taille d’une maison. Il sauta sur les deux compagnons qui lancèrent chacun une attaque qui eu pour résultat un vol plané du félin.
Lucien : en voila un gros matou.
Eric : le genre de bestiole ou il faut se ruiner pour le nourrir.
Mira : je ne pense pas qu’il soit du genre « animal de compagnie ».
Lucien : tient ca pourrait être marrant d’essayer de le dresser.
Le tigre se releva, l’air un peu abasourdi, mais toujours aussi féroce. Il s’approcha des deux amis, tous poils hérissés.
Eric : la il a surtout l’air de vouloir te bouffer !
Lucien : ou de vouloir te bouffer toi. D’ailleurs il risque de choper une indigestion. Bon quelqu’un a une idée afin de mater ce matou ?
Le félin voulu à nouveau sauter, mais cette fois seulement sur Lucien (sans doute parce que c’est le plus bavard des trois). Le jeune homme réagit promptement et esquiva la charge du colosse, puis monta sur sa tête, utilisa light aux graphies, et avec la longueur de sa lance, lui tapa sur le haut du crane.
Lucien : vilain matou !
Matou (essayant de se débarrasser de Lucien d’un coup de patte): GRAOOOU !
Lucien (repoussant le coup de patte d’un coup de lance) : non ! On ne fait pas comme ca !
Eric : ca tourne au n’importe quoi la….
Matou (s ébrouant, pour faire tomber son cavalier inopportun) : SHHHHHH
Lucien (ayant réussi à rester sur la tête du monstre, lui donnant un nouveau coup) : Calmos !
Apres dix minutes de lutte acharnée, entre le félin qui essayait de se débarrasser de Lucien, et ce dernier qui se bornait à le réprimander a chaque fois qu’il ne faisait pas ce qu’il voulait, le résultat fut des plus spectaculaires. Le matou obéissait (certes avec une certaines réticence) au ordre du jeune homme qui le remercier en lui donnant des bout de viande séché.
Mira : et ben, je me demande à quoi cela va bien pouvoir nous servir de dompter cette bestiole…
Eric : c’est du grand n’importe quoi oui !
Lucien : bouh, bande de rabats joie ! Bon montez à bord on va rattraper ce tas de mollasson qui ont fuis pour si peu ! En avant Dorian !
Eric : hein tu lui as même donné un nom ?
Lucien n’eut pas le temps de répondre, le tigre était parti…. Mais dans le mauvais sens. Apres quelques remontrances bien senties, le félin repartit dans la bonne direction. L’agilité et la rapidité de l’animale permis de rattraper rapidement le groupe de fuyard.
Individu 10 : merde, le revoilà déjà ! On va tous se faire bouffer !
Individu 7 : zut alors ca veut dire que les trois autres sont déjà mort ?
Individu 8 : ils semblaient assez fort pourtant…
Lucien (se dressant sur la tête de Dorian) : vous nous enterrez un peu vite les gars !
Individu 10 : pincez moi, je rêve ou ce type et sur la tête du monstre.
Lucien : ouais il m’obéit quand il veut bien : assis Dorian !
Et le monstre s’assit donc, et eu le droit a un morceau de viande en récompense
Individu 3 : ca alors ! Voila qui est impressionnant !
Lucien : bon allez, montez abord on va rejoindre votre ville en moins de deux avec lui !
A suivre
Le Rat qui rit- Ancien de l'Ombre
- Nombre de messages : 1344
Age : 39
Alliance/Guilde : Samourai
Date d'inscription : 05/02/2007
Re: URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
Individu 2 : elle m'inspire pas quand même ta bestiole...
Lucien : c'est que je dois vous le démontrer en plus! Vous êtes casse-pieds, ma parole!
Eric : ca te va bien de dire ca...
Lucien : je vois, au vu de la mauvaise volonté que tout le monde fais preuve, je me dois de rassuré les sceptiques.
Eric : retourne donc voir la fosse...
Lucien : ah non! Après faudrait que j'abuse des anti-sceptiques!
Mira : heu, t'avait pas dit que tu allais rassuré tout le monde?
Lucien : ah si! C'est vrai.
Le jeune homme descendit alors de son étrange monture (qui s'était assise à nouveau comprenant de travers le « ah si » de Lucien), et se colla juste devant la gueule de l'animal, la lance a la main, prête a sévir.
Lucien : vous voyez, cette bébètte est inoffensive!
Et il suffit que le jeune homme lance ces quelques mots pour que la bête en question essaye de le dévorer. Tentative infructueuse qui se termina par un vol plané de Dorian (accompagné d'un « vilain matou » de la part de Lucien).
Puis tout le monde entendit des jurons venir de l'endroit ou le félin était tombé.
Lucien : oups, j'avais oublier qu'Eric et Mira étaient toujours a bord...
Mira (arriva et colla une gifle a Lucien) : ça t'arrive de réfléchir de temps en temps?
Eric (vint de même, et lui colla son poing sur le haut du crâne) : espèce de boulet!
Lucien : avec tout ce qu'on me colle, faudra pas se plaindre si cette histoire ne décolle pas...
Eric : a ce rythme la faudra pas t'étonner si tu reste scratcher au sol...
Lucien : je ne me laisserait pas coller par une réflexion si terre a terre!
Mira (frappant de nouveau Lucien) : et moi je dit que tu va te TAIRE!
Lucien, fini donc par s'avouer vaincu et remonta sur le dos de Dorian qui faisait grise mine dans son coin. Les individus, bien que peu convaincus par l'obéissance de l'animal, furent rassuré de voir que le trio le gardait néanmoins sous contrôle, et décidèrent de prendre place sur l'étrange moyen de déplacement. Le félin partit donc a toute allure plus ou moins guidé par les individus qui connaissaient le coin, et donc la route a emprunter pour rejoindre la ville.
Lucien (tandis que Dorian courrait avec aisance et facilitée dans la jungle) : je me demande ce que devient le rat?
Eric : moi je m'inquiète pas trop pour cet enfariné la, mais plutôt pour Tely.
Lucien : tu devrais po, c'est une brute épaisse, habituée a vivre dans la jungle...
Mira : en tout cas ils ont dus rencontrer nos amis les pygmées!
Individu 10 : vous les avez déjà croisés?
Lucien : oui, et oui les avons chassé sans mal.
Individu 10 : vous avez sans doute eu de la chance, leurs guerriers sont de vrais brutes...
Lucien : Bas! Pas de quoi s'inquiéter...
Pendant ce temps...
Le rat était poursuivi par plus ou moins toute la tribu des Lilliluciens (a quelques unités près). Ce dernier avait l'air peu enclin a s'occuper des petits êtres, forçant Tely a aller toujours plus vite.
Tely : tu pourrais... pas... ralentir... un peu?
Le rat : non, sinon ils nous rattraperais.
Tely : et alors ...Tu les réduirais... a néant... en un rien... de temps, non?
Le rat : y'en a tellement que ca me prendrait un bon moment vu qu'ils ont l'avantage du terrain.
Tely : ouais, …. mais la... je commence … a...
Le rat : on a déjà pris trop de retard sur Lucien.
Pour toute réponse il entendit sa jeune amie s'écrouler au sol, épuisée.
Le rat : a ben c'est malin ca, en plus je vais devoir me les coltiner a moi tout seul!
Il regarda alors la troupe a ses trousses, et un sourire s'afficha sur ses lèvres...
Lucien et compagnie venaient de parvenir a l'entrée de la citée. Cela faisait déjà une dizaine d'heure que Dorian courrait, et que le petit groupe le guidait a travers les méandres de la forêt, et l'animal épuiser, semblait peu motivé à la vue de la seule chose que l'on voyait de la ville : un gigantesque mur d'enceinte.
Pourtant, Lucien parvins à convaincre son ami à quatre pattes, qui commença à longer la barricade, jusqu'au moment ou ils arrivèrent devant une grande porte à doubles battants.
Individu 10 : nous y voilà.
Lucien : c'est pas trop tôt!
Eric : y'en a marre, tôt...
Lucien : tu va te prendre un rat-tôt!
Mira : stop! Je ne veux pas un mot de plus!
Individu 4 : Va falloir laisser notre canasson, ici! Qui sait, p'tet qu'on le boufferait a l'intérieur!
Lucien : a ben bravo! V'la les barbares.
Individu 5 : ici, la nourriture est une chose rare, donc on fait avec les moyen du bord.
Après des adieux « déchirants » (ou plusieurs des individus faillirent se retrouver en lambeau), le groupe se sépara du félidé, qui après un moment d'hésitation s'enfonça dans la jungle, en marchant, fatigué de sa folle course.
Pendant ce temps les treize personnes qui avaient été amenées par l'animal, pénétrèrent dans la ville par une petite porte a coté des deux grands battant.
Mira : pourquoi y'a t-il deux portes?
Individu 1 : tout simplement, l'une est ouverte que pour les marchandises, et les urgences, l'autre sert a faire passer les gens.
Lucien : heu, je vois pas a quoi ca sert en fait...
Individu 6 : a contrôler le nombres de personnes qui rentre et qui sortent, a bien gérer les états de sièges, ects...
Eric : l'a pas l'air très accueillante votre ville.
Individu 7 : c'est le cas, mais au moins ce n'est pas pire que la jungle.
Lucien : et bien ca promet.
En effet, alors que le trio était guider par l'individu 5, (tandis que les autres étaient partis chacun de leur coté), ce qu'ils purent apercevoir de la ville, dans la pénombre a peine éclairée par des lampadaires faiblards et peu nombreux, c'était des bicoques faites a la va vite, trapues et souvent e partie effondrés. Parfois du bruits venait des bâtisses en question, des bruit de disputes et de bagarres.
Finalement après quelques minutes de marche le groupe s'arrêta, et un engin (odorant et bruyant) les pris a son bord, afin de les emmener au lieu qu'ils devaient rallier. Lucien garda un horrible souvenir de ce trajet, pire encore qu'un certains voyage en avion qui avait été pas mal dans le genre.
Finalement le quatuor fini par débarquer devant un bâtiment, qui ressemblait a un hôtel de ville, et chose étrange, par rapport au reste de la ville le bâtiment semblait être en bon état.
Individu 5 : nous y voila, allez venez, je vais vous présenter au responsable du coin.
Mira : c'est gentil de nous emmener!
Individu 5 : je l'aurais pas fais, si j'avais pas perdu au janken contre les autres.
Le groupe fut d'abord arrêter par une patrouille armé, a l'entré de la bâtisse, puis après énumération des grades et numéro d'identification de l'individu 5, les militaires laissèrent passer Lucien et compagnie qui se retrouvèrent dans une grande salle, sur les murs de laquelle trônait de multiples tableaux, portraits d'hommes célèbres sans doutes disparus à ce jour.
Après une courte marche dans un dédale de salles, de couloirs et d'escaliers, le trio, et leur guide arrivèrent devant une porte gardé par deux nouveaux militaires. Quelques mots murmurer par l'individu 5, suffirent à faire entrer Lucien, Mira et Eric, tandis que celui qui les avaient introduis s'en retourna (sans doute se reposer).
La salle était de taille moyenne, et les murs étaient vide, bien que des marques vieillissantes, prouvait qu'il n'en avait pas toujours ainsi. Le seul meuble était un luxueux bureau, sur lequel peu de chose trainait, seul un encrier, quelques feuilles et un stylo étaient poser, devant un homme d'une quarantaine d'année, d'allure svelte, dormant dans son fauteuil , qui semblais des plus confortable.
Ce dernier ouvrit les yeux doucement faisant mine qu'il n'était pas en train de dormir, bien que c'est sans doute le bruit qui l'avait réveillé.
Homme derrière son bureau : tient, des nouveaux venus, on ne m'avait pas prévenu de votre arrivée. Riesler?
Riesler (l'un des garde de la porte, ayant suivi le groupe afin d'expliquer la situation) : Et bien Capitaine, l'équipe d'exploration est de retour, elle a rapporter de ombreuses informations sur les vies et mœurs des pygmées, ainsi que quelques détails stratégiques de première importance, c'est ainsi que notre groupe d'explorateur est tombé sur ces trois personnes ici présente, d'une puissance assez importante puisque....
Capitaine : ZZZzzzZzzZZz...
Riesler : il s'est encore endormis.
Lucien : tu ne serais pas le frère jumeau de Mathias par hasard?
Riesler : qui est ce donc?
Eric : a tient, il a pas fait de phrases longue ce coups-ci.
Riesler : en fait, si je fais de si longues phrases c'est pour que j'aille le plus vite possible, afin que le Capitaine entende ce que j'ai a dire.
Lucien : ah, je me suis trompé alors, c'est votre capitaine qui doit être le frère de Voice.
Capitaine : hmpf, je me suis endormi, les phrases trop longues me fatiguent toujours autant, faut dire être derrière le bureau vingt-quatre heures sur vingt-quatre, ca dérègle mes horaires!
Eric : je crois que tu t'est encore planté Lucien.
Lucien : possible en effet.
Mira : encore une constatation des plus lumineuses...
Capitaine : bien, de toute façons, comme vous êtes des nouveaux, je dois juste vous résumer les règles en vigueurs. Donc en gros, si vous attaquez u militaire vous êtes passible de la peine de mort, si vous volez de la nourriture même chose. Je crois que c'est tout. Ah si, faites attention, y'a pas mal de meurtres sur civils ces derniers temps.
Le trio fut ainsi guider vers l'extérieur, ou un nouveau guide les attendaient afin de les guider vers leur lieux de résidence.
Il n'eurent pas a emprunter l'infernale machine qui les avait emmené devant le bâtiment du capitaine, leurs quartiers se trouvant près du lieu de commandement. Une fois arrivé devant une maison délabrée, leur guide les lâcha, leur annonçant qu'ils devaient dormir ici, et qu'ils avaient bien de la chance d'être seuls a habiter la baraque. Une fois a l'intérieur, une forte odeur de moisi et d'humidité remplirent les narines des trois amis.
Lucien : tu parle d'une chance!
Mira : oui, l'endroit a l'air glauque, mais j'ai vraiment l'impression qu'on n'a eu du bol de pas se faire écharper jusqu'à maintenant!
Eric : ou ceux qui auraient pu nous écharper on eu de la chance de ne pas nous attaquer...
Lucien : en tout cas, c'est vraiment un endroit bizarre...
Mira : on essaiera d'en apprendre un peu plus demain, discrètement.
Ils se couchèrent donc sur les différents matelas disposer a l'état, et bien qu'ils soient pourris, le trio d'endormis rapidement, fourbu par leur long parcours dans les bois.
Le lendemains, ils durent se contenter d'un frugal petit déjeuner. Puis ils commencèrent a déambuler dans les rues, collectant prudemment des informations sur l'endroit ou ils étaient tombés. Puis il se retrouvérent sur un banc de l'une des nombreuses rues de la ville.
Eric : alors?
Lucien : niveau bouffe c'est craignos, peu de viande, pas mal de pain rassis, de l'eau a peine potable, et j'en passe. Coté des habitations, toute les baraque salubres sont déjà squatter par des officiers de l'armée....
Mira : mais quel boulet, c'est pas ce qu'on recherchait comme informations ca! Par exemple, moi j'ai appris que cette citée avait été bâti ils y'a trois siècles environ, c'est l'âge que j'avais estimer d'après les portrait et les reliques de l'hôtel de ville....
Lucien : c'est dingue, elle est super réservée, mais dès qu'on parle d'histoire rien ne l'arrête plus...
Mira : … le dernier président a été visiblement assassiner, provoquant une guerre civile, qui aurait tuer toute population humaine...
Eric : Stop! Bon en clair, y'a que moi qui ait appris des choses intéressantes.
Lucien : a oui, je suis curieux d'entendre ca! Tu va nous parler des club de sport du coin?
Eric : non, du fait que cette planète, sert de pénitencier pour quelques empires du coin. Ils balancent les criminel ici, sans moyen de retour, comme ca ils s'en débarrassent sans les tuer. La plupart des mecs du coin sont assez balaises, puisqu'ici, seul les plus fort survivent au diverse tentatives de meurtre. En général d'ailleurs quand quelqu'un tient assez longtemps, il est intégrer a « l'armée » qui est en fait une organisation chargé de se battre contre les menaces extérieurs.
Lucien : Ohoh! J'avoue t'a fait fort sur le coup!
Mira : ca ressemble un peu a un survival cette histoire, ca ne me plait pas du tout!
Lucien (tendant l'oreille) : Tient en parlant de survival, je crois qu'on va avoir droit a notre premier combat.
En effet, un bande de gredins, habillé en tenues de combat surgirent d'une ruelle avoisinante. Ils semblaient en train de fuir quelque chose, et passèrent en courant devant le trio. Derrière eux un étrange colosse de deux mètres de haut courrait, voyant nos trois amis sur le banc, il stopa et dis :
Type de deux mètre : a tient des nouveaux joujou!
Lucien : c'est que je dois vous le démontrer en plus! Vous êtes casse-pieds, ma parole!
Eric : ca te va bien de dire ca...
Lucien : je vois, au vu de la mauvaise volonté que tout le monde fais preuve, je me dois de rassuré les sceptiques.
Eric : retourne donc voir la fosse...
Lucien : ah non! Après faudrait que j'abuse des anti-sceptiques!
Mira : heu, t'avait pas dit que tu allais rassuré tout le monde?
Lucien : ah si! C'est vrai.
Le jeune homme descendit alors de son étrange monture (qui s'était assise à nouveau comprenant de travers le « ah si » de Lucien), et se colla juste devant la gueule de l'animal, la lance a la main, prête a sévir.
Lucien : vous voyez, cette bébètte est inoffensive!
Et il suffit que le jeune homme lance ces quelques mots pour que la bête en question essaye de le dévorer. Tentative infructueuse qui se termina par un vol plané de Dorian (accompagné d'un « vilain matou » de la part de Lucien).
Puis tout le monde entendit des jurons venir de l'endroit ou le félin était tombé.
Lucien : oups, j'avais oublier qu'Eric et Mira étaient toujours a bord...
Mira (arriva et colla une gifle a Lucien) : ça t'arrive de réfléchir de temps en temps?
Eric (vint de même, et lui colla son poing sur le haut du crâne) : espèce de boulet!
Lucien : avec tout ce qu'on me colle, faudra pas se plaindre si cette histoire ne décolle pas...
Eric : a ce rythme la faudra pas t'étonner si tu reste scratcher au sol...
Lucien : je ne me laisserait pas coller par une réflexion si terre a terre!
Mira (frappant de nouveau Lucien) : et moi je dit que tu va te TAIRE!
Lucien, fini donc par s'avouer vaincu et remonta sur le dos de Dorian qui faisait grise mine dans son coin. Les individus, bien que peu convaincus par l'obéissance de l'animal, furent rassuré de voir que le trio le gardait néanmoins sous contrôle, et décidèrent de prendre place sur l'étrange moyen de déplacement. Le félin partit donc a toute allure plus ou moins guidé par les individus qui connaissaient le coin, et donc la route a emprunter pour rejoindre la ville.
Lucien (tandis que Dorian courrait avec aisance et facilitée dans la jungle) : je me demande ce que devient le rat?
Eric : moi je m'inquiète pas trop pour cet enfariné la, mais plutôt pour Tely.
Lucien : tu devrais po, c'est une brute épaisse, habituée a vivre dans la jungle...
Mira : en tout cas ils ont dus rencontrer nos amis les pygmées!
Individu 10 : vous les avez déjà croisés?
Lucien : oui, et oui les avons chassé sans mal.
Individu 10 : vous avez sans doute eu de la chance, leurs guerriers sont de vrais brutes...
Lucien : Bas! Pas de quoi s'inquiéter...
Pendant ce temps...
Le rat était poursuivi par plus ou moins toute la tribu des Lilliluciens (a quelques unités près). Ce dernier avait l'air peu enclin a s'occuper des petits êtres, forçant Tely a aller toujours plus vite.
Tely : tu pourrais... pas... ralentir... un peu?
Le rat : non, sinon ils nous rattraperais.
Tely : et alors ...Tu les réduirais... a néant... en un rien... de temps, non?
Le rat : y'en a tellement que ca me prendrait un bon moment vu qu'ils ont l'avantage du terrain.
Tely : ouais, …. mais la... je commence … a...
Le rat : on a déjà pris trop de retard sur Lucien.
Pour toute réponse il entendit sa jeune amie s'écrouler au sol, épuisée.
Le rat : a ben c'est malin ca, en plus je vais devoir me les coltiner a moi tout seul!
Il regarda alors la troupe a ses trousses, et un sourire s'afficha sur ses lèvres...
Lucien et compagnie venaient de parvenir a l'entrée de la citée. Cela faisait déjà une dizaine d'heure que Dorian courrait, et que le petit groupe le guidait a travers les méandres de la forêt, et l'animal épuiser, semblait peu motivé à la vue de la seule chose que l'on voyait de la ville : un gigantesque mur d'enceinte.
Pourtant, Lucien parvins à convaincre son ami à quatre pattes, qui commença à longer la barricade, jusqu'au moment ou ils arrivèrent devant une grande porte à doubles battants.
Individu 10 : nous y voilà.
Lucien : c'est pas trop tôt!
Eric : y'en a marre, tôt...
Lucien : tu va te prendre un rat-tôt!
Mira : stop! Je ne veux pas un mot de plus!
Individu 4 : Va falloir laisser notre canasson, ici! Qui sait, p'tet qu'on le boufferait a l'intérieur!
Lucien : a ben bravo! V'la les barbares.
Individu 5 : ici, la nourriture est une chose rare, donc on fait avec les moyen du bord.
Après des adieux « déchirants » (ou plusieurs des individus faillirent se retrouver en lambeau), le groupe se sépara du félidé, qui après un moment d'hésitation s'enfonça dans la jungle, en marchant, fatigué de sa folle course.
Pendant ce temps les treize personnes qui avaient été amenées par l'animal, pénétrèrent dans la ville par une petite porte a coté des deux grands battant.
Mira : pourquoi y'a t-il deux portes?
Individu 1 : tout simplement, l'une est ouverte que pour les marchandises, et les urgences, l'autre sert a faire passer les gens.
Lucien : heu, je vois pas a quoi ca sert en fait...
Individu 6 : a contrôler le nombres de personnes qui rentre et qui sortent, a bien gérer les états de sièges, ects...
Eric : l'a pas l'air très accueillante votre ville.
Individu 7 : c'est le cas, mais au moins ce n'est pas pire que la jungle.
Lucien : et bien ca promet.
En effet, alors que le trio était guider par l'individu 5, (tandis que les autres étaient partis chacun de leur coté), ce qu'ils purent apercevoir de la ville, dans la pénombre a peine éclairée par des lampadaires faiblards et peu nombreux, c'était des bicoques faites a la va vite, trapues et souvent e partie effondrés. Parfois du bruits venait des bâtisses en question, des bruit de disputes et de bagarres.
Finalement après quelques minutes de marche le groupe s'arrêta, et un engin (odorant et bruyant) les pris a son bord, afin de les emmener au lieu qu'ils devaient rallier. Lucien garda un horrible souvenir de ce trajet, pire encore qu'un certains voyage en avion qui avait été pas mal dans le genre.
Finalement le quatuor fini par débarquer devant un bâtiment, qui ressemblait a un hôtel de ville, et chose étrange, par rapport au reste de la ville le bâtiment semblait être en bon état.
Individu 5 : nous y voila, allez venez, je vais vous présenter au responsable du coin.
Mira : c'est gentil de nous emmener!
Individu 5 : je l'aurais pas fais, si j'avais pas perdu au janken contre les autres.
Le groupe fut d'abord arrêter par une patrouille armé, a l'entré de la bâtisse, puis après énumération des grades et numéro d'identification de l'individu 5, les militaires laissèrent passer Lucien et compagnie qui se retrouvèrent dans une grande salle, sur les murs de laquelle trônait de multiples tableaux, portraits d'hommes célèbres sans doutes disparus à ce jour.
Après une courte marche dans un dédale de salles, de couloirs et d'escaliers, le trio, et leur guide arrivèrent devant une porte gardé par deux nouveaux militaires. Quelques mots murmurer par l'individu 5, suffirent à faire entrer Lucien, Mira et Eric, tandis que celui qui les avaient introduis s'en retourna (sans doute se reposer).
La salle était de taille moyenne, et les murs étaient vide, bien que des marques vieillissantes, prouvait qu'il n'en avait pas toujours ainsi. Le seul meuble était un luxueux bureau, sur lequel peu de chose trainait, seul un encrier, quelques feuilles et un stylo étaient poser, devant un homme d'une quarantaine d'année, d'allure svelte, dormant dans son fauteuil , qui semblais des plus confortable.
Ce dernier ouvrit les yeux doucement faisant mine qu'il n'était pas en train de dormir, bien que c'est sans doute le bruit qui l'avait réveillé.
Homme derrière son bureau : tient, des nouveaux venus, on ne m'avait pas prévenu de votre arrivée. Riesler?
Riesler (l'un des garde de la porte, ayant suivi le groupe afin d'expliquer la situation) : Et bien Capitaine, l'équipe d'exploration est de retour, elle a rapporter de ombreuses informations sur les vies et mœurs des pygmées, ainsi que quelques détails stratégiques de première importance, c'est ainsi que notre groupe d'explorateur est tombé sur ces trois personnes ici présente, d'une puissance assez importante puisque....
Capitaine : ZZZzzzZzzZZz...
Riesler : il s'est encore endormis.
Lucien : tu ne serais pas le frère jumeau de Mathias par hasard?
Riesler : qui est ce donc?
Eric : a tient, il a pas fait de phrases longue ce coups-ci.
Riesler : en fait, si je fais de si longues phrases c'est pour que j'aille le plus vite possible, afin que le Capitaine entende ce que j'ai a dire.
Lucien : ah, je me suis trompé alors, c'est votre capitaine qui doit être le frère de Voice.
Capitaine : hmpf, je me suis endormi, les phrases trop longues me fatiguent toujours autant, faut dire être derrière le bureau vingt-quatre heures sur vingt-quatre, ca dérègle mes horaires!
Eric : je crois que tu t'est encore planté Lucien.
Lucien : possible en effet.
Mira : encore une constatation des plus lumineuses...
Capitaine : bien, de toute façons, comme vous êtes des nouveaux, je dois juste vous résumer les règles en vigueurs. Donc en gros, si vous attaquez u militaire vous êtes passible de la peine de mort, si vous volez de la nourriture même chose. Je crois que c'est tout. Ah si, faites attention, y'a pas mal de meurtres sur civils ces derniers temps.
Le trio fut ainsi guider vers l'extérieur, ou un nouveau guide les attendaient afin de les guider vers leur lieux de résidence.
Il n'eurent pas a emprunter l'infernale machine qui les avait emmené devant le bâtiment du capitaine, leurs quartiers se trouvant près du lieu de commandement. Une fois arrivé devant une maison délabrée, leur guide les lâcha, leur annonçant qu'ils devaient dormir ici, et qu'ils avaient bien de la chance d'être seuls a habiter la baraque. Une fois a l'intérieur, une forte odeur de moisi et d'humidité remplirent les narines des trois amis.
Lucien : tu parle d'une chance!
Mira : oui, l'endroit a l'air glauque, mais j'ai vraiment l'impression qu'on n'a eu du bol de pas se faire écharper jusqu'à maintenant!
Eric : ou ceux qui auraient pu nous écharper on eu de la chance de ne pas nous attaquer...
Lucien : en tout cas, c'est vraiment un endroit bizarre...
Mira : on essaiera d'en apprendre un peu plus demain, discrètement.
Ils se couchèrent donc sur les différents matelas disposer a l'état, et bien qu'ils soient pourris, le trio d'endormis rapidement, fourbu par leur long parcours dans les bois.
Le lendemains, ils durent se contenter d'un frugal petit déjeuner. Puis ils commencèrent a déambuler dans les rues, collectant prudemment des informations sur l'endroit ou ils étaient tombés. Puis il se retrouvérent sur un banc de l'une des nombreuses rues de la ville.
Eric : alors?
Lucien : niveau bouffe c'est craignos, peu de viande, pas mal de pain rassis, de l'eau a peine potable, et j'en passe. Coté des habitations, toute les baraque salubres sont déjà squatter par des officiers de l'armée....
Mira : mais quel boulet, c'est pas ce qu'on recherchait comme informations ca! Par exemple, moi j'ai appris que cette citée avait été bâti ils y'a trois siècles environ, c'est l'âge que j'avais estimer d'après les portrait et les reliques de l'hôtel de ville....
Lucien : c'est dingue, elle est super réservée, mais dès qu'on parle d'histoire rien ne l'arrête plus...
Mira : … le dernier président a été visiblement assassiner, provoquant une guerre civile, qui aurait tuer toute population humaine...
Eric : Stop! Bon en clair, y'a que moi qui ait appris des choses intéressantes.
Lucien : a oui, je suis curieux d'entendre ca! Tu va nous parler des club de sport du coin?
Eric : non, du fait que cette planète, sert de pénitencier pour quelques empires du coin. Ils balancent les criminel ici, sans moyen de retour, comme ca ils s'en débarrassent sans les tuer. La plupart des mecs du coin sont assez balaises, puisqu'ici, seul les plus fort survivent au diverse tentatives de meurtre. En général d'ailleurs quand quelqu'un tient assez longtemps, il est intégrer a « l'armée » qui est en fait une organisation chargé de se battre contre les menaces extérieurs.
Lucien : Ohoh! J'avoue t'a fait fort sur le coup!
Mira : ca ressemble un peu a un survival cette histoire, ca ne me plait pas du tout!
Lucien (tendant l'oreille) : Tient en parlant de survival, je crois qu'on va avoir droit a notre premier combat.
En effet, un bande de gredins, habillé en tenues de combat surgirent d'une ruelle avoisinante. Ils semblaient en train de fuir quelque chose, et passèrent en courant devant le trio. Derrière eux un étrange colosse de deux mètres de haut courrait, voyant nos trois amis sur le banc, il stopa et dis :
Type de deux mètre : a tient des nouveaux joujou!
Dernière édition par Le Rat qui rit le Mar 22 Déc 2009 - 11:19, édité 1 fois
Le Rat qui rit- Ancien de l'Ombre
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Re: URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
Lucien : mphf, avec ce mec, on dirait que l'auteur parle d'un proto-type...
Eric : jeu de mot type ique made in Lucien.
Mira : heu, ce genre de jeux de mots, c'est vraiment pas mon type...
Le grand gaillard, voyant que ses trois nouvelles cibles ne prenaient pas la fuite, fut quelque peu déçu, et tenta d'assener a Eric un coup de poing. Malgré la taille de celui-ci (deux fois plus gros que la moyenne), le jeune homme n'eut aucun mal a éviter le coup, qui s'écrasa dans le sol, démolissant quelque peu le trottoir.
Lucien : en tout cas, il est pas bien terrible comme mec...
C'est alors que le groupe de gredins revins a la charge, avec l'intention de profiter de l'action du grand bonhomme pour prendre le trio en tenaille.
Mira : parfois tu ferais mieux de te taire...
Lucien : boh, un colporte ou plusieurs insectes a écraser je vois pas trop la différence.
Le type de grande taille voulu faire ravaler ces paroles a Lucien, qui esquiva tranquillement le nouveau coup, attrapa le bras tendu dans le vide, et assena un coups de poing au géant en plein dans la mâchoire l'envoyer valser deux mètres plus loin. Pendant ce temps, Mira et Eric n'avaient eu aucun mal a assommer la dizaine d'assaillant, au prix d'un mouvement collectif bien synchronisé.
Eric : bon d'accord, c'était facile, mais a toujours te plaindre, l'auteur sens toujours le besoin d'en rajouter, histoire de te montrer que ca pourrait être pire....
Lucien : a tient c'est pas bête comme remarque!
Mira : bon et maintenant qu'est ce qu'on fait?
Lucien : ben faut trouver un moyen de quitter cette planète, hors le seul a pouvoir nous y aider, c'est le rat, donc faut retrouver ce dernier.
Eric : donc, faut quitter la ville?
Mira : et si notre ami Samouraï viens nous retrouver ici?
Lucien : et bien il saura qu'on est passer dans le coin.
Eric : bon, de toute manière rester ici ne me dis rien qui vaille...
Mira : bon d'accord, a deux contre une, je n'est plus qu'a m'incliner. Mais vous avez le don pour vous compliquer la vie les mec!
Le groupe reparti donc en direction de la porte d'entrée par laquelle ils étaient arrivés. Malheureusement, a pied le chemin était beaucoup plus long, et malgré toutes les précautions prisent par le groupe pour rester discrets, les combats s'enchainaient, et malgré leur facilité a vaincre, leur succession ralentissait fortement nos trois amis.
Après deux bonnes heures de progression, le trio décida de s'offrir une pause.
Voix : alors on se repose un peu?
Lucien : ouais, c'est crevant de courir et de se battre tout le … Heu, z'etes qui vous?
Un homme tout de noir vêtu, se tenait sur le toit d'une des maison qui formais la ruelle dans laquelle nos trois amis s'étaient caché. On ne voyait pas son visage, caché par une cagoule.
Homme en noir : Je suis Zeragul, assassin de son office.
Lucien : tient encore un mec qui va vouloir nous tuer. Le noir ca fais tache vraiment!
Eric : J'aurais plutôt dis qu'on allais broyer du noir!
Mira : en tout cas on peu pas dire qu'il voit la vie en rose.
Lucien : on peu penser que c'est un tama noir...
Zeragul : heu vous discutez tout le temps comme ca avant qu'on vous attaque?
Lucien : on discute même comme ca pendant qu'on nous attaque! Ça te va Ma noir?
Zeragul : je vois! Bon c'est une bonne occasion de passer dans l'armée!
L'assassin, se mis alors a bouger si vite que les trois amis du rat le virent a pein, et eurent encore moins le temps de réagir. Pourtant quand l'homme de l'ombre frappa mortellement Mira, cette dernière disparu, n'étant qu'une illusion crée par Lucien. L'assassin, se retourna alors, sur le qui vive cherchant a distinguer le faux du vrai. Pour ce faire, il ferma les yeux afin de ne se guider qu'au son. Grâce a cela il réussi a détecter quelqu'un et tenta de lui assener un coup de poignard, qui fut dévié par l'épée d'Eric.
Eric : Lucien, il craint un peu plus que les autres celui la, je me sens obliger de l'achever : Arcane de Foudre : Coup de Jus!
L'électricité, conduite par le contacte entre les deux armes métalliques, envahi le corps de l'assassin, l'empêchant de faire le moindre geste. Mira arriva ensuite par derrière et l'assomma proprement avec une pierre qu'elle avait ramassée par terre.
Lucien : encore un mec qui valait pas un clou...
Eric : reste pas planter la alors! On a fait trop de bruits, on doit être repérés...
Lucien : ok dans ce cas, ne prenons pas racine.
Le groupe reparti donc en courant, poursuivi par une horde de gens voulant leur peau. Au bout de deux nouvelles heures, a force de ruser, se battre et courir, les trois amis arrivèrent enfin a la porte de la ville...
Ou il étaient attendus par trois personnes, visiblement des militaires. Les poursuivants voyant la porte ainsi que ses gardes, prirent la poudre d'escampette, sans raison apparentes.
Lucien (après avoir repris son souffle) : ben ca alors, alors qu'on était coincer, v'la qui s'enfuient, bizarre!
Eric : peut être a cause d'un loi annoncé par le mec qui était dans son bureau non?
Mira : celle qui disait qu'il fallait pas toucher au Militaires?
Lucien : A ouais, j'avais zappé....
Eric : on fait quoi alors?
Lucien : ben on demande gentillement si on peut passer pardi!
Eric (tandis que son ami se dirigeait vers les trois gardes) : je sens que ca va mal finir cette histoire...
Mira : c'est pas toi qui disait qu'il fallait pas parler de malheur?
Lucien engagea tranquillement la conversation avant de demander si il pouvait passé, la réponse du premier garde fut claire, pas de passage sans une autorisation du chef. Le bras droit du rat demanda alors si y'avait pas moyen de s'arranger sans en parler au dirigeant de la ville, mais les trois hommes armés restait parfaitement incorruptibles. Finalement, l'ami d'Eric et de Mira, commença a fouiller ses poches, puis revint de quelques pas en arrière, fit mine de ramasser quelque chose, et revint vers les trois personnes qui refusaient de le laisser passer. Il leur tendis alors un papier, et les gardes un peu surpris durent relire a plusieurs reprise le document avant d'en croire leur yeux. Puis après quelques secondes de concertation, il laissèrent Lucien circuler, l'air fier, un sourire satisfais aux lèvre. Jusqu'à ce que les trois gardes ouvrent le feux sur le jeune homme qui leur tournait le dos... Après quelques secondes de bruit d'arme a feu raisonnant dans les rues, le silence se fit, et un cadavre gisait sur le sol face au trois militaire, qui affichait u rictus moqueur pour le mort.
Lucien : dommage, j'ai vraiment cru que ca avait marcher!
Eric (voyant son ami prendre a revers l'un des garde, pointant sa propre arme contre lui) : punaise, j'ai vraiment cru que t'avais le boulet ce coups-ci.
Lucien : et bien c'est pas passer loin, ils ont arrosé comme des ânes...
Eric : t'est comme la mauvaise herbe, je suis sur que t'aurais repoussé!
Mais les trois hommes en armes ne l'entendais pas de cette oreille, et avant que Lucien n'ait pu répondre a Eric, les deux militaire libre sautèrent sur le preneur d'otage. Mira et Eric vinrent en aide a leur ami, et s'en suivi une mêlée indescriptible, avec coups de pieds, de poings et de tête qui partaient dans tout les sens. Finalement, les trois militaires furent obliger de reculer en arrière, abandonnant leur armes a l'ennemi, et ce parce qu'il n'avaient pu prendre le dessus sur aucun des membre du trio.
Eric : j'aurais jamais cru que les entrainement au corps a corps aurait eu un jour une telle utilité...
Lucien : comme quoi, le rat n'a pas que des mauvaises idées...
Mira : mais je crois que le combat est loin d'être fini!
???? : en bien grand frère Tele, il va nous falloir nous battre sérieusement.
Tele: en effet, Kin, va falloir mettre le paquet. Prêt, Easy?
Easy : ok, j'ouvre le bal...
Le militaire nommé Easy, tendit la main en avant dans la direction de Lucien qui s'envola alors comme un oiseau malgré la distance qui les séparait. Eric vit que Tele s'apprêtait à faire de même et se mis a courir, hélas dans le vide, ayant été soulever a quelques centimètres du sol. Seul Mira réussie a éviter l'attaque qui devait la projeter contre le mur derrière elle et ce grâce a un arcane de gravité qu'elle avait lancée sur elle-même.
Eric : c'est quoi ce bordel?
Lucien : je pense pas trop me mouiller en disant que c'est de la télékinésie....
Mira : ca me donne la chair de poule!
Eric : a oui, j'avais pas fais gaffe au noms.
Lucien: et après c'est moi qu'on engueule avec les...
Il n'eut pas le temps de continuer, celui qui le maintenait en l'air l'avait retourner tête vers le sol, et abattit Lucien a terre, avec l'espoir de lui fracasser le crane (vu qu'il a la tête dur, m'étonnerai que ca marche). De toutes manière le jeune homme évita l'impact avec le sol en donnant un grand coups de lance dans le sol qui créa un mini cratère. Quand à Eric, voyant que Mira était clouer au sol, Kin décida de le projeter , et il partit voler en arrière et percuta un mur.
La seule fille du trio, profitant d'un léger temps de confusion sorti alors son arc et alla se cacher derrière une caisse vermoulue, le temps d'encocher une flèche et de se relever afin de la tirer dans la direction du groupe de militaires.
Tele fit un geste du revers de la main, qui envoya la flèche voler au loin, puis pointa du doigt en direction de la jeune femme.
Malheureusement pour lui, Mira avait anticiper sa réaction, et modifier la trajectoire du projectile afin qu'il revienne ensuite sur le garde de la ville, qui fut transpercé au niveau de l'épaule. Furieux que leur frère se soit fait embrocher ainsi les deux militaire indemne unirent leur efforts pour soulever une maison entière au-dessus de la jeune femme, qui essaya bien d'échapper a la chose, mais vu sa taille, c'était un effort vain.
Eric : Explosion!
Lucien : Méga Light!
Mira : arcane de lévitation : apesanteur!
Deux explosion retentirent, dont une de lumière, détruisant la maison, mais chose étrange les gravats restèrent suspendu en l'air, le trio restant sous cette étrange épée de Damoclès.
Lucien : tu vois, je t'avais dis qu'elle s'en sortirait seule...
Eric : ouais, mais vaut mieux prendre des précautions.
Mira : oui, bon si on en finissait avec ses ploucs?
Les « ploucs » en question ne semblèrent pas totalement en accord avec nos trois amis, et ils se concentrèrent, l'un les mains au sol, l'autre les mains en l'air, et le dernier les bras tendu en avant.
Lucien : il ont l'air de préparer une grosse attaque la.
Eric : bas on vas faire de même alors.
Mira passa devant les garçons, et tendis un bras en face de chacun d'eux. Lucien concentra alors une boule d'énergie lumineuse qu'il mit au-dessus de la mains de la jeune femme, et Eric fit de même avec une boule de foudre.
Le sol commença alors a se désagréger de part l'action de Tele, des gros rocher se mirent a tomber sous l'action de Kin, et des gravats commencèrent a s'accumuler derrière nos trois amis grâce à Easy.
Tele, Kin et Easy : FUREUR DIVINE!
Mira, Eric et Lucien : Foudre Bénie!
Tout les élément accumulé par les trois frère se mirent en actions, les rocher commencèrent a leur tomber dessus, tendis que du sol des tuyaux, pavé, et matériaux en tout genre formait un mur entre les deux groupes. Et pour finir tout les gravats cumuler derrière Eric, Mira et Lucien foncèrent vers le mur créer par Tele.
Au même moment les deux boules énergétique avait été additionna par Mira, et un dôme de lumière parcouru d'éclairs se forma faisant rebondir les divers projectiles. Puis la jeune femme passa une flèche au travers la boule et encocha le projectile, devenu hautement instable, sur son arc et décocha la flèche qui partit a une vitesse effrayante vers le mur bizarroïde, avec un bruit strident. Le projectile traversa le mur comme si ce n'était qu'une feuille de papier, laissant un trou circulaire parfait, et fini sa course au pied des trois militaires, provoquant une explosion de lumière et de foudre qui dévasta les alentour sur un rayon de trois cents mètres. Faisant effondrer certains maisons, voler les fenêtres en éclat, et soufflant quelque toit. Mira, Eric et Lucien ne furent nullement toucher par cette attaque, protéger par leur bouclier.
Lucien : tient a l'origine, le bouclier était fait pour ne pas subir notre propre explosion, mais ca peut aussi servir a nous protéger du reste.
Eric : en tout cas, c'est toujours impressionnant de voir Mira mélanger foudre et lumière.
Mira : oui, mais vu les dégâts collatéraux, il vaut mieux éviter d'utiliser cette technique a tout va!
Lucien : bon on va pouvoir sortir d'ici.
Il passèrent tranquillement la porte, puis commencèrent a s'enfoncer dans la foret, quand il perçurent un son d'alarme, venant de la ville :
VOTRE ATTENTION S'IL VOUS PLAIT, L'ESPRIT DE LA FORET A INVOQUER SA PLUS PUISSANTE CRÉATURE QUI SE DIRIGE VERS NOUS. TOUS LES HOMMES DISPONIBLES SONT PRIES DE REJOINDRE LE MUR D'ENCEINTE AFIN DE PROTÉGER LA CITÉE.
Lucien : c'est quoi ca?
Mira : de nouveaux ennuis en perspective....
Eric : jeu de mot type ique made in Lucien.
Mira : heu, ce genre de jeux de mots, c'est vraiment pas mon type...
Le grand gaillard, voyant que ses trois nouvelles cibles ne prenaient pas la fuite, fut quelque peu déçu, et tenta d'assener a Eric un coup de poing. Malgré la taille de celui-ci (deux fois plus gros que la moyenne), le jeune homme n'eut aucun mal a éviter le coup, qui s'écrasa dans le sol, démolissant quelque peu le trottoir.
Lucien : en tout cas, il est pas bien terrible comme mec...
C'est alors que le groupe de gredins revins a la charge, avec l'intention de profiter de l'action du grand bonhomme pour prendre le trio en tenaille.
Mira : parfois tu ferais mieux de te taire...
Lucien : boh, un colporte ou plusieurs insectes a écraser je vois pas trop la différence.
Le type de grande taille voulu faire ravaler ces paroles a Lucien, qui esquiva tranquillement le nouveau coup, attrapa le bras tendu dans le vide, et assena un coups de poing au géant en plein dans la mâchoire l'envoyer valser deux mètres plus loin. Pendant ce temps, Mira et Eric n'avaient eu aucun mal a assommer la dizaine d'assaillant, au prix d'un mouvement collectif bien synchronisé.
Eric : bon d'accord, c'était facile, mais a toujours te plaindre, l'auteur sens toujours le besoin d'en rajouter, histoire de te montrer que ca pourrait être pire....
Lucien : a tient c'est pas bête comme remarque!
Mira : bon et maintenant qu'est ce qu'on fait?
Lucien : ben faut trouver un moyen de quitter cette planète, hors le seul a pouvoir nous y aider, c'est le rat, donc faut retrouver ce dernier.
Eric : donc, faut quitter la ville?
Mira : et si notre ami Samouraï viens nous retrouver ici?
Lucien : et bien il saura qu'on est passer dans le coin.
Eric : bon, de toute manière rester ici ne me dis rien qui vaille...
Mira : bon d'accord, a deux contre une, je n'est plus qu'a m'incliner. Mais vous avez le don pour vous compliquer la vie les mec!
Le groupe reparti donc en direction de la porte d'entrée par laquelle ils étaient arrivés. Malheureusement, a pied le chemin était beaucoup plus long, et malgré toutes les précautions prisent par le groupe pour rester discrets, les combats s'enchainaient, et malgré leur facilité a vaincre, leur succession ralentissait fortement nos trois amis.
Après deux bonnes heures de progression, le trio décida de s'offrir une pause.
Voix : alors on se repose un peu?
Lucien : ouais, c'est crevant de courir et de se battre tout le … Heu, z'etes qui vous?
Un homme tout de noir vêtu, se tenait sur le toit d'une des maison qui formais la ruelle dans laquelle nos trois amis s'étaient caché. On ne voyait pas son visage, caché par une cagoule.
Homme en noir : Je suis Zeragul, assassin de son office.
Lucien : tient encore un mec qui va vouloir nous tuer. Le noir ca fais tache vraiment!
Eric : J'aurais plutôt dis qu'on allais broyer du noir!
Mira : en tout cas on peu pas dire qu'il voit la vie en rose.
Lucien : on peu penser que c'est un tama noir...
Zeragul : heu vous discutez tout le temps comme ca avant qu'on vous attaque?
Lucien : on discute même comme ca pendant qu'on nous attaque! Ça te va Ma noir?
Zeragul : je vois! Bon c'est une bonne occasion de passer dans l'armée!
L'assassin, se mis alors a bouger si vite que les trois amis du rat le virent a pein, et eurent encore moins le temps de réagir. Pourtant quand l'homme de l'ombre frappa mortellement Mira, cette dernière disparu, n'étant qu'une illusion crée par Lucien. L'assassin, se retourna alors, sur le qui vive cherchant a distinguer le faux du vrai. Pour ce faire, il ferma les yeux afin de ne se guider qu'au son. Grâce a cela il réussi a détecter quelqu'un et tenta de lui assener un coup de poignard, qui fut dévié par l'épée d'Eric.
Eric : Lucien, il craint un peu plus que les autres celui la, je me sens obliger de l'achever : Arcane de Foudre : Coup de Jus!
L'électricité, conduite par le contacte entre les deux armes métalliques, envahi le corps de l'assassin, l'empêchant de faire le moindre geste. Mira arriva ensuite par derrière et l'assomma proprement avec une pierre qu'elle avait ramassée par terre.
Lucien : encore un mec qui valait pas un clou...
Eric : reste pas planter la alors! On a fait trop de bruits, on doit être repérés...
Lucien : ok dans ce cas, ne prenons pas racine.
Le groupe reparti donc en courant, poursuivi par une horde de gens voulant leur peau. Au bout de deux nouvelles heures, a force de ruser, se battre et courir, les trois amis arrivèrent enfin a la porte de la ville...
Ou il étaient attendus par trois personnes, visiblement des militaires. Les poursuivants voyant la porte ainsi que ses gardes, prirent la poudre d'escampette, sans raison apparentes.
Lucien (après avoir repris son souffle) : ben ca alors, alors qu'on était coincer, v'la qui s'enfuient, bizarre!
Eric : peut être a cause d'un loi annoncé par le mec qui était dans son bureau non?
Mira : celle qui disait qu'il fallait pas toucher au Militaires?
Lucien : A ouais, j'avais zappé....
Eric : on fait quoi alors?
Lucien : ben on demande gentillement si on peut passer pardi!
Eric (tandis que son ami se dirigeait vers les trois gardes) : je sens que ca va mal finir cette histoire...
Mira : c'est pas toi qui disait qu'il fallait pas parler de malheur?
Lucien engagea tranquillement la conversation avant de demander si il pouvait passé, la réponse du premier garde fut claire, pas de passage sans une autorisation du chef. Le bras droit du rat demanda alors si y'avait pas moyen de s'arranger sans en parler au dirigeant de la ville, mais les trois hommes armés restait parfaitement incorruptibles. Finalement, l'ami d'Eric et de Mira, commença a fouiller ses poches, puis revint de quelques pas en arrière, fit mine de ramasser quelque chose, et revint vers les trois personnes qui refusaient de le laisser passer. Il leur tendis alors un papier, et les gardes un peu surpris durent relire a plusieurs reprise le document avant d'en croire leur yeux. Puis après quelques secondes de concertation, il laissèrent Lucien circuler, l'air fier, un sourire satisfais aux lèvre. Jusqu'à ce que les trois gardes ouvrent le feux sur le jeune homme qui leur tournait le dos... Après quelques secondes de bruit d'arme a feu raisonnant dans les rues, le silence se fit, et un cadavre gisait sur le sol face au trois militaire, qui affichait u rictus moqueur pour le mort.
Lucien : dommage, j'ai vraiment cru que ca avait marcher!
Eric (voyant son ami prendre a revers l'un des garde, pointant sa propre arme contre lui) : punaise, j'ai vraiment cru que t'avais le boulet ce coups-ci.
Lucien : et bien c'est pas passer loin, ils ont arrosé comme des ânes...
Eric : t'est comme la mauvaise herbe, je suis sur que t'aurais repoussé!
Mais les trois hommes en armes ne l'entendais pas de cette oreille, et avant que Lucien n'ait pu répondre a Eric, les deux militaire libre sautèrent sur le preneur d'otage. Mira et Eric vinrent en aide a leur ami, et s'en suivi une mêlée indescriptible, avec coups de pieds, de poings et de tête qui partaient dans tout les sens. Finalement, les trois militaires furent obliger de reculer en arrière, abandonnant leur armes a l'ennemi, et ce parce qu'il n'avaient pu prendre le dessus sur aucun des membre du trio.
Eric : j'aurais jamais cru que les entrainement au corps a corps aurait eu un jour une telle utilité...
Lucien : comme quoi, le rat n'a pas que des mauvaises idées...
Mira : mais je crois que le combat est loin d'être fini!
???? : en bien grand frère Tele, il va nous falloir nous battre sérieusement.
Tele: en effet, Kin, va falloir mettre le paquet. Prêt, Easy?
Easy : ok, j'ouvre le bal...
Le militaire nommé Easy, tendit la main en avant dans la direction de Lucien qui s'envola alors comme un oiseau malgré la distance qui les séparait. Eric vit que Tele s'apprêtait à faire de même et se mis a courir, hélas dans le vide, ayant été soulever a quelques centimètres du sol. Seul Mira réussie a éviter l'attaque qui devait la projeter contre le mur derrière elle et ce grâce a un arcane de gravité qu'elle avait lancée sur elle-même.
Eric : c'est quoi ce bordel?
Lucien : je pense pas trop me mouiller en disant que c'est de la télékinésie....
Mira : ca me donne la chair de poule!
Eric : a oui, j'avais pas fais gaffe au noms.
Lucien: et après c'est moi qu'on engueule avec les...
Il n'eut pas le temps de continuer, celui qui le maintenait en l'air l'avait retourner tête vers le sol, et abattit Lucien a terre, avec l'espoir de lui fracasser le crane (vu qu'il a la tête dur, m'étonnerai que ca marche). De toutes manière le jeune homme évita l'impact avec le sol en donnant un grand coups de lance dans le sol qui créa un mini cratère. Quand à Eric, voyant que Mira était clouer au sol, Kin décida de le projeter , et il partit voler en arrière et percuta un mur.
La seule fille du trio, profitant d'un léger temps de confusion sorti alors son arc et alla se cacher derrière une caisse vermoulue, le temps d'encocher une flèche et de se relever afin de la tirer dans la direction du groupe de militaires.
Tele fit un geste du revers de la main, qui envoya la flèche voler au loin, puis pointa du doigt en direction de la jeune femme.
Malheureusement pour lui, Mira avait anticiper sa réaction, et modifier la trajectoire du projectile afin qu'il revienne ensuite sur le garde de la ville, qui fut transpercé au niveau de l'épaule. Furieux que leur frère se soit fait embrocher ainsi les deux militaire indemne unirent leur efforts pour soulever une maison entière au-dessus de la jeune femme, qui essaya bien d'échapper a la chose, mais vu sa taille, c'était un effort vain.
Eric : Explosion!
Lucien : Méga Light!
Mira : arcane de lévitation : apesanteur!
Deux explosion retentirent, dont une de lumière, détruisant la maison, mais chose étrange les gravats restèrent suspendu en l'air, le trio restant sous cette étrange épée de Damoclès.
Lucien : tu vois, je t'avais dis qu'elle s'en sortirait seule...
Eric : ouais, mais vaut mieux prendre des précautions.
Mira : oui, bon si on en finissait avec ses ploucs?
Les « ploucs » en question ne semblèrent pas totalement en accord avec nos trois amis, et ils se concentrèrent, l'un les mains au sol, l'autre les mains en l'air, et le dernier les bras tendu en avant.
Lucien : il ont l'air de préparer une grosse attaque la.
Eric : bas on vas faire de même alors.
Mira passa devant les garçons, et tendis un bras en face de chacun d'eux. Lucien concentra alors une boule d'énergie lumineuse qu'il mit au-dessus de la mains de la jeune femme, et Eric fit de même avec une boule de foudre.
Le sol commença alors a se désagréger de part l'action de Tele, des gros rocher se mirent a tomber sous l'action de Kin, et des gravats commencèrent a s'accumuler derrière nos trois amis grâce à Easy.
Tele, Kin et Easy : FUREUR DIVINE!
Mira, Eric et Lucien : Foudre Bénie!
Tout les élément accumulé par les trois frère se mirent en actions, les rocher commencèrent a leur tomber dessus, tendis que du sol des tuyaux, pavé, et matériaux en tout genre formait un mur entre les deux groupes. Et pour finir tout les gravats cumuler derrière Eric, Mira et Lucien foncèrent vers le mur créer par Tele.
Au même moment les deux boules énergétique avait été additionna par Mira, et un dôme de lumière parcouru d'éclairs se forma faisant rebondir les divers projectiles. Puis la jeune femme passa une flèche au travers la boule et encocha le projectile, devenu hautement instable, sur son arc et décocha la flèche qui partit a une vitesse effrayante vers le mur bizarroïde, avec un bruit strident. Le projectile traversa le mur comme si ce n'était qu'une feuille de papier, laissant un trou circulaire parfait, et fini sa course au pied des trois militaires, provoquant une explosion de lumière et de foudre qui dévasta les alentour sur un rayon de trois cents mètres. Faisant effondrer certains maisons, voler les fenêtres en éclat, et soufflant quelque toit. Mira, Eric et Lucien ne furent nullement toucher par cette attaque, protéger par leur bouclier.
Lucien : tient a l'origine, le bouclier était fait pour ne pas subir notre propre explosion, mais ca peut aussi servir a nous protéger du reste.
Eric : en tout cas, c'est toujours impressionnant de voir Mira mélanger foudre et lumière.
Mira : oui, mais vu les dégâts collatéraux, il vaut mieux éviter d'utiliser cette technique a tout va!
Lucien : bon on va pouvoir sortir d'ici.
Il passèrent tranquillement la porte, puis commencèrent a s'enfoncer dans la foret, quand il perçurent un son d'alarme, venant de la ville :
VOTRE ATTENTION S'IL VOUS PLAIT, L'ESPRIT DE LA FORET A INVOQUER SA PLUS PUISSANTE CRÉATURE QUI SE DIRIGE VERS NOUS. TOUS LES HOMMES DISPONIBLES SONT PRIES DE REJOINDRE LE MUR D'ENCEINTE AFIN DE PROTÉGER LA CITÉE.
Lucien : c'est quoi ca?
Mira : de nouveaux ennuis en perspective....
Dernière édition par Le Rat qui rit le Jeu 31 Déc 2009 - 19:56, édité 1 fois
Le Rat qui rit- Ancien de l'Ombre
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Re: URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
Eric (commençant à s'enfoncer dans les bois) : on ferai mieux de mettre les voiles avant qu'elle nous tombe dessus cette charmante créature.
Lucien : fait gaffe a pas voilé la roue.
Mira (attrapant Lucien par le bras, et suivant Eric) : Pas le temps de faire des jeux de mots.
Ils avançaient depuis une dizaine de minutes sous le couvert des arbres lorsque soudain, Eric trébucha. Sa chute failli entrainer celle des ces suivant qui tenaient une vive allure. Le jeune homme au sol se releva tant bien que mal et chercha la raison de cette cascade inopinée. Il fini par posé les yeux sur une créature ressemblant a petit singe, avec une carapace de tortue sur le dos, et ne mesurant que quelques centimètres.
Eric (parlant a la bestiole) : fait attention petite chose, il pourrait t'arriver de te blesser si tu ne regarde pas ou tu va.
Lucien (secouant la tête) : arrête ton char, m'étonnerai que cette bestiole comprenne quoique ce soit.
Bestiole : Hélas pour vous, je crains qu'en effet, je puisse comprendre vos dires.
Mira : encore une fois Lucien aurait mieux fait de se taire.
Lucien : non, je ne suis pas un taire au riste...
Bestiole : bien, j'ai failli vous épargner dans un élan de générosité, mais vu que vous ne semblez pas valoir mieux que les autres humain, je vais devoir sévir. La race humaine retiendra peut être la leçon que je vais vous donner.
Lucien : c'est qu'il s'y croit vraiment ce petit animal!
Bestiole (pointant Lucien du doigt) : Auroutcho!
Soudain des racines sortirent du sol, et envoyèrent le jeune homme valser au loin, d'un coups de bois sec.
Lucien surpris se rattrapa comme il pu tandis que Mira et Eric esquivaient deux nouvelles racines qui leur étaient destinées.
Lucien (évitant une branche d'arbre voulant le frapper): c'est quoi ce souk encore?
Eric (reculant face a des loups sortit des sous bois) : a tout les coups tu viens de provoquer la bestiole de l'esprit de la forêt que les mec de la villes craignaient.
Lucien (massacrant par brochette de dix des serpents qui frétillaient au sol): quoi ce tout petit truc?
Mira (détruisant des plantes carnivores a coups d'arcanes) : c'est la ou il nous faudrait l'aide de Tely, c'est elle l'experte en naturalisation.
L'étrange bestiole prononça de nouveaux ordres, et de nouveaux animaux arrivèrent, tandis que les végétaux étaient de plus en plus nombreux a s'animer. Eric, ne voyant d'autre solution qu'une attaque de zone qui les débarrasserait de tout le monde d'un coups, lança les éléments déchainés qui provoqua une forte tempête de vent et d'éclairs, qui balaya toute les créatures sur son passage. Une fois l'imposante attaque finie, Eric constata le résultat, le souffle coupé par l'effort qu'il venait de fournir. Tout autour du trio, dans un rayons de trois cent mètres, la tempête avait laissé la terre a nue, déracinant plantes et arbres, et foudroyant les animaux. Au milieux de ce cercle ressemblant a une vaste clairière, crée par l'homme, l'étrange être se tenait assis sur une souche, les mains croisé sous le menton, le regard perçant fixé sur nos amis.
Lucien : il a pas l'air content..
Eric : oui, mais je n'avais guère le choix...
Bestiole : bien il va donc me falloir me charger de vous personnellement, vous envoyer d'autres ennemis, ne ferait qu'aggraver nos pertes....
Mira : je me demande comment il va se battre...
Comme pour répondre a sa réponse, le petit animal prononça à nouveaux quelques mots dans une langue obscure, et la souche sous lui s'anima, portant sur l'une de ses racines qui s'allongeait, l'invocation de l'esprit de la forêt.
Le trio s'était mis en garde paré a toute les éventualités, sauf bien sur ce qu'il arriva. Le petit être une fois proche à une dizaine de mètres des trois humains, stoppa le mouvement de la plante qui le supportait, et souffla fort dans la direction des subordonnés du rat. Lucien, peut être mu part un instinct de survie ou bien par une intuition, activa Cosmo et s'envola en l'air. Eric voulu alors lui poser une question, lui demandant ce qu'il faisait, mais s'aperçut que son corps ne lui répondait plus : il était paralysé!
Bestiole : tient, voilà qui m'étonne, le plus insultant du lot a vu venir le coup...
Lucien (sur le qui-vive) : une toxine, rien de plus facile pour quelqu'un qui commande a la forêt d'en produire...
Mira s'effondra alors, sans doute en raison d'un effet secondaire du poison. Eric continua a tenir debout, mai sans pour autant pouvoir bouger, quand a la créature elle regardait Lucien voler, réfléchissant sans doute au meilleur moyen de l'attaquer.
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : alors le débutant, besoin d'un coups de main?
Lucien (pense) : tient c'est maintenant que te revoilà toi?
Gilgamesh (toujours dans la tête de Lucien) :tu crois que c'est le moment pour les remarques désobligeantes?
Lucien (pense) : ben je trouve pas la situation désespérée...
Gilgamesh (encore et toujours dans la tête de Lucien) : pourtant vous êtes mal barré. D'après Alexandre la petite est pas près de se relever. Et encore heureusement qu'il est la sinon elle serait morte empoisonnée.
Lucien (pense) : tient comment tu sais ca toi?
Gilgamesh (sa voix a pas bougée) : c'est une longue histoire, mais nous sommes au même endroit physique tous autant que nous sommes, nous les âmes liées aux armes, nous pouvons donc facilement communiquer entre nous.
Lucien (pense) : je me demande bien ou c'est. En tout cas ca va permettre de communiquer entre moi Eric, Mira et Tely sans avoir recours a la parole...
Gilgamesh (je vous laisse deviner ou) : on est pas coursier non plus, fait gaffe il va attaquer.
Bien qu'elle ne montrait aucun signe d'agressivité, l'étrange créature regardait fixement Lucien, ce qui déclencha une attaque venu de nulle part, une attaque d'énergie pure que Lucien n'avait pas le temps d'esquiver. Il eu donc recours a Light o sphère, et E Light. Les deux défenses combinée annihilèrent le choc magique qui s'en suivit.
Lucien : Hoho... J'ai pas vu d'où elle était partit cette attaque!
Bestiole : hum, le grossier individu semble plus réactif que prévu, il va me falloir bien réfléchir...
Lucien (pense encore, attention a la surchauffe) : tu sais d'où elle est partie cette attaque Gil?
Gilgamesh (la voix... enfin, vous savez, quoi.) : oui, étant donné que c'est une créature de l'esprit de la forêt, la vague d'énergie est venue de la foret elle-même.. Et m'appelle pas Gil!
Lucien (en oublie de penser) : quoi tu rigole la! Tu imagine la quantité d'énergie que cette bestiole a a disposition?
Gilgamesh (vous connaissez la rengaine, dans la tête bien sur) : oui, d'où ce que je disais tout a l'heure vous êtes mal barré. Encore heureux, le fait que tu vol lui pose un problème.
Lucien (se remet a penser) : bon on a un peu de temps devant nous alors, t'a un pan?
Gilgamesh (bonjour les mot de tête que doit avoir Lucien a la fin d'un chapitre) : j'ai pas vraiment de plan, mais si tu arrive a localiser l'esprit je crois être capable de le neutraliser.
Lucien (pense toujours) : ca c'est pas un problème! Mais ca serait bien que l'auteur arrête de faire mumuse avec ce qu'il y'a entre parenthèse.
Auteur (dans la tête de Lucien) : hum, tir a la tête?
Lucien (va se manger une torgnole dans la tête) : mais mince, d'habitude tu te plains que je perturbe le cours de l'histoire, et la c'est toi qui fais ca.
Auteur (bon pas la peine de préciser) : pour changer le cours de l'histoire, faut être un personnage historique! Ou ne pas allez en cours d'histoire, ou bien encore ne pas prendre l'histoire en cours de route...
Gilgamesh (pareil que l'auteur) : a se propos, tu ferait bien de regagner ta place d'écrivain la, ca va barder...
Auteur (la voix s'affaiblissant, comme si il s'en allait) : comme si je savais pas ce qui allais se passer....
Lucien (pense) : bon tu peut demander a Eric de préparer tu sais quoi?
Gilgamesh : mouais, je sais pas ce que c'est mais je vais dire a Roland de passer le message. En attendant fais gaffe, ca va être chaud l'attaque qui arrive.
En effet de l'énergie s'était rassemblée dans les environs, forment une atmosphère écrasante autour de Lucien. Ce dernier au aguets avait laisser activé ses deux bouclier et cosmo. Il savait qu'il lui faudrait employé l'aura blanche pour la suite, il devait donc se gardé de révéler sa pleine puissance a l'ennemi avant le coups fatal.
Soudain une volée de corbeaux s'envola en direction du jeune homme en train de léviter, cachant un instant la bestiole a la vue du second du rat. Lorsque les corbeau se dispersèrent, bien entendu la créature avait disparue, et Lucien eut un mauvais pressentiment, commençant a tourner sur lui même afin d'éviter qu'on l'attaque dans le dos.
Pourtant une vois retentit au dessus de lui :
Bestiole : Toiub Binhuz!
Lucien ne compris que trop tard, que la bestiole avait inter-changé sa place avec un corbeau, lui permettant de passer ainsi au dessus du jeune homme, le prenant tout a fait au dépourvu.
La Vague d'énergie, préparée par la forêt, se concentra et tomba directement sur Lucien...
Lucien : bon même pas la peine d'essayer de se protéger de ça, œil pour œil, dent pour dent : CATA LIGTH TIC!
Face a la vague d'énergie émise, Lucien en produisit lui même une certaine quantités qui prit la forme d'une tête de Lion luminescente de la taille du jeune homme. Eric qui observait la scène impuissant, crut voir le tête du félin qui avalait la vague d'énergie qui pourtant ne fut pas arrêter un continua sa route, percutant le sol et creusant un énorme cratère.
Il fallu attendre que la poussière dégagée par le choc, se dissipe en partie pour voir que Lucien n'avait pas bouger mais semblait essouffler.
Roland (parlant dans la tête de son descendant) : il a dis de balancer « tu sais quoi »
Eric (pensant) : c'est pas vraiment dans ce genre de situation dans laquelle je suis censé l'utilisé, normalement, je devrai...
Roland (toujours la même chose) : si il te dis de le faire c'est qu'il doit avoir une idée...
Tandis que la bestiole n'en revenait pas de la résistance de Lucien, Eric ferma les yeux et commença a se concentrer. Il utilisa alors son pouvoir de modification, pour que le sol au dessous de Lucien forme un gros gisement de minerais ferreux, puis il établit deux protection de roche pour lui et Mira. Lucien quand a lui avait presque regagné le sol, lévitant
a quelques centimètres du plancher des vaches.
C'est a ce moment qu'un torrent d'électricité jailli du ciel tel un éclair vers le second du rat, et le sol conducteur. Au moment ou la tempête foudroyante allait s'abattre sur lui, il tendit alors Poseidon, sa lance vers le ciel, et ferma les yeux.
Soudain, sortant du sol, la tête de lion réapparu percutant le flot d'énergie céleste provoquant une gigantesque explosion, qui ne creusa aucun cratère, mais qui rasa toute forme de vie exposée au flash lumineux qui s'en suivit, et ce dans un rayon de plusieurs kilomètre. En effet les arbres s'étaient soudainement desséchés, les animaux s'étaient retrouver a l'état de squelette, et les fleur a l'état de cendre. Lorsque l'attaque pris enfin fin, Lucien pied au sol, cosmo désactivé, mais l'aura blanche l'entourant, pointa sa lance dans une direction, et la voix qui sortit de la gorge de ce dernier n'était pas celle qu'on lui connaissait.
Gilgamesh (parlant avec le corps de Lucien): tu est sous mon emprise, esprit! Apparaît a mes pieds...
Une forme d'énergie se condensa alors face a Lucien, a ses pieds.
Gilgamesh (parlant a l'aide de Lucien) : bien, tu va pouvoir retourner au royaume des esprits.
Il planta alors Poseidon dans le sol a l'endroit ou était apparu l'esprit, qui sembla disparaître, comme absorber par la lance. Puis Lucien tomba dans les pommes.
Lorsqu'il se réveilla, il vit Eric, partiellement rétablis, en train de le secouer.
La nuit venait de tomber, et le peu de lumière qui se reflétait sur le visage du jeune homme, montrait une inquiétude perceptible.
Eric : t'a assez dormit vieux. J'ai l'impression qu'on est observé.
Lucien : ouille, je crois que j'y ait été un peu fort.
Eric : j'ai pas tout compris de ce que t'a fais mais on a pas le temps d'en discuter.
Lucien : c'est simple, j'ai enfermé la première attaque, celle de la bestiole, et je l'ai fait libérer par ta foudre. J'avais peur que vous n'ayez pas compris ce que je voulais faire, mais j'ai balancer la sauce quand j'ai vu que tu t'était abriter. Ça va?
Eric : j'ai encore les effets indésirables de la toxines, mais ca peu aller. Par contre mira peut tout jute parler, elle a dis qu'elle en aurait pour la nuit a récupérer, et elle est tombée dans les vapes.
Lucien : ca promet.
Soudain, un bruit de branche morte qui craque retentit dans les profondeur de la nuit.
Eric : on ferait mieux de bouger non?
Lucien : de quoi t'a peur? L'esprit de la forêt a été chassé. D'ailleurs Gil, j'ai pas tout compris c'est quoi cette histoire de « monde des esprits »?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : arrête de m'appeler Gil... Et puis ca serait trop long a expliquer.
Eric : il a dis quoi?
Lucien : qu'il faudra demander au rat.
Les craquements reprirent, plus nombreux et plus proches.
Eric : on ferait mieux de dégager...
Lucien : je vois toujours pas pourquoi, on a plus d'ennemis dans le coin, je peut te l'assurer... En plus faudrait porter Mira voilà la galère...
Eric : tu a oublier qu'on a du forcer la porte pour sortir, de la ville? Pas sur que les militaires apprécieront.
Lucien (réfléchissant) : bon prend Mira sur ton dos, on lève les voiles...
Eric : eh! Pourquoi ca serait a moi de la porter?
Lucien : parce que tu est pas encore en état de te battre! SI jamais ca tourne mal je couvrirait votre fuite.
Eric, mis alors Mira sur son dos et pris la direction qui semblait les éloignait au plus de la ville, dont de faible lueurs lointaines indiquait la position. Lucien le suivit, laissant une certaine distance. Quelques minutes plus tard une ombre passa a l'endroit ou les trois personnes avaient récupérés de leur combat, et un petit rire aigrelet se fit entendre....
Lucien : fait gaffe a pas voilé la roue.
Mira (attrapant Lucien par le bras, et suivant Eric) : Pas le temps de faire des jeux de mots.
Ils avançaient depuis une dizaine de minutes sous le couvert des arbres lorsque soudain, Eric trébucha. Sa chute failli entrainer celle des ces suivant qui tenaient une vive allure. Le jeune homme au sol se releva tant bien que mal et chercha la raison de cette cascade inopinée. Il fini par posé les yeux sur une créature ressemblant a petit singe, avec une carapace de tortue sur le dos, et ne mesurant que quelques centimètres.
Eric (parlant a la bestiole) : fait attention petite chose, il pourrait t'arriver de te blesser si tu ne regarde pas ou tu va.
Lucien (secouant la tête) : arrête ton char, m'étonnerai que cette bestiole comprenne quoique ce soit.
Bestiole : Hélas pour vous, je crains qu'en effet, je puisse comprendre vos dires.
Mira : encore une fois Lucien aurait mieux fait de se taire.
Lucien : non, je ne suis pas un taire au riste...
Bestiole : bien, j'ai failli vous épargner dans un élan de générosité, mais vu que vous ne semblez pas valoir mieux que les autres humain, je vais devoir sévir. La race humaine retiendra peut être la leçon que je vais vous donner.
Lucien : c'est qu'il s'y croit vraiment ce petit animal!
Bestiole (pointant Lucien du doigt) : Auroutcho!
Soudain des racines sortirent du sol, et envoyèrent le jeune homme valser au loin, d'un coups de bois sec.
Lucien surpris se rattrapa comme il pu tandis que Mira et Eric esquivaient deux nouvelles racines qui leur étaient destinées.
Lucien (évitant une branche d'arbre voulant le frapper): c'est quoi ce souk encore?
Eric (reculant face a des loups sortit des sous bois) : a tout les coups tu viens de provoquer la bestiole de l'esprit de la forêt que les mec de la villes craignaient.
Lucien (massacrant par brochette de dix des serpents qui frétillaient au sol): quoi ce tout petit truc?
Mira (détruisant des plantes carnivores a coups d'arcanes) : c'est la ou il nous faudrait l'aide de Tely, c'est elle l'experte en naturalisation.
L'étrange bestiole prononça de nouveaux ordres, et de nouveaux animaux arrivèrent, tandis que les végétaux étaient de plus en plus nombreux a s'animer. Eric, ne voyant d'autre solution qu'une attaque de zone qui les débarrasserait de tout le monde d'un coups, lança les éléments déchainés qui provoqua une forte tempête de vent et d'éclairs, qui balaya toute les créatures sur son passage. Une fois l'imposante attaque finie, Eric constata le résultat, le souffle coupé par l'effort qu'il venait de fournir. Tout autour du trio, dans un rayons de trois cent mètres, la tempête avait laissé la terre a nue, déracinant plantes et arbres, et foudroyant les animaux. Au milieux de ce cercle ressemblant a une vaste clairière, crée par l'homme, l'étrange être se tenait assis sur une souche, les mains croisé sous le menton, le regard perçant fixé sur nos amis.
Lucien : il a pas l'air content..
Eric : oui, mais je n'avais guère le choix...
Bestiole : bien il va donc me falloir me charger de vous personnellement, vous envoyer d'autres ennemis, ne ferait qu'aggraver nos pertes....
Mira : je me demande comment il va se battre...
Comme pour répondre a sa réponse, le petit animal prononça à nouveaux quelques mots dans une langue obscure, et la souche sous lui s'anima, portant sur l'une de ses racines qui s'allongeait, l'invocation de l'esprit de la forêt.
Le trio s'était mis en garde paré a toute les éventualités, sauf bien sur ce qu'il arriva. Le petit être une fois proche à une dizaine de mètres des trois humains, stoppa le mouvement de la plante qui le supportait, et souffla fort dans la direction des subordonnés du rat. Lucien, peut être mu part un instinct de survie ou bien par une intuition, activa Cosmo et s'envola en l'air. Eric voulu alors lui poser une question, lui demandant ce qu'il faisait, mais s'aperçut que son corps ne lui répondait plus : il était paralysé!
Bestiole : tient, voilà qui m'étonne, le plus insultant du lot a vu venir le coup...
Lucien (sur le qui-vive) : une toxine, rien de plus facile pour quelqu'un qui commande a la forêt d'en produire...
Mira s'effondra alors, sans doute en raison d'un effet secondaire du poison. Eric continua a tenir debout, mai sans pour autant pouvoir bouger, quand a la créature elle regardait Lucien voler, réfléchissant sans doute au meilleur moyen de l'attaquer.
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : alors le débutant, besoin d'un coups de main?
Lucien (pense) : tient c'est maintenant que te revoilà toi?
Gilgamesh (toujours dans la tête de Lucien) :tu crois que c'est le moment pour les remarques désobligeantes?
Lucien (pense) : ben je trouve pas la situation désespérée...
Gilgamesh (encore et toujours dans la tête de Lucien) : pourtant vous êtes mal barré. D'après Alexandre la petite est pas près de se relever. Et encore heureusement qu'il est la sinon elle serait morte empoisonnée.
Lucien (pense) : tient comment tu sais ca toi?
Gilgamesh (sa voix a pas bougée) : c'est une longue histoire, mais nous sommes au même endroit physique tous autant que nous sommes, nous les âmes liées aux armes, nous pouvons donc facilement communiquer entre nous.
Lucien (pense) : je me demande bien ou c'est. En tout cas ca va permettre de communiquer entre moi Eric, Mira et Tely sans avoir recours a la parole...
Gilgamesh (je vous laisse deviner ou) : on est pas coursier non plus, fait gaffe il va attaquer.
Bien qu'elle ne montrait aucun signe d'agressivité, l'étrange créature regardait fixement Lucien, ce qui déclencha une attaque venu de nulle part, une attaque d'énergie pure que Lucien n'avait pas le temps d'esquiver. Il eu donc recours a Light o sphère, et E Light. Les deux défenses combinée annihilèrent le choc magique qui s'en suivit.
Lucien : Hoho... J'ai pas vu d'où elle était partit cette attaque!
Bestiole : hum, le grossier individu semble plus réactif que prévu, il va me falloir bien réfléchir...
Lucien (pense encore, attention a la surchauffe) : tu sais d'où elle est partie cette attaque Gil?
Gilgamesh (la voix... enfin, vous savez, quoi.) : oui, étant donné que c'est une créature de l'esprit de la forêt, la vague d'énergie est venue de la foret elle-même.. Et m'appelle pas Gil!
Lucien (en oublie de penser) : quoi tu rigole la! Tu imagine la quantité d'énergie que cette bestiole a a disposition?
Gilgamesh (vous connaissez la rengaine, dans la tête bien sur) : oui, d'où ce que je disais tout a l'heure vous êtes mal barré. Encore heureux, le fait que tu vol lui pose un problème.
Lucien (se remet a penser) : bon on a un peu de temps devant nous alors, t'a un pan?
Gilgamesh (bonjour les mot de tête que doit avoir Lucien a la fin d'un chapitre) : j'ai pas vraiment de plan, mais si tu arrive a localiser l'esprit je crois être capable de le neutraliser.
Lucien (pense toujours) : ca c'est pas un problème! Mais ca serait bien que l'auteur arrête de faire mumuse avec ce qu'il y'a entre parenthèse.
Auteur (dans la tête de Lucien) : hum, tir a la tête?
Lucien (va se manger une torgnole dans la tête) : mais mince, d'habitude tu te plains que je perturbe le cours de l'histoire, et la c'est toi qui fais ca.
Auteur (bon pas la peine de préciser) : pour changer le cours de l'histoire, faut être un personnage historique! Ou ne pas allez en cours d'histoire, ou bien encore ne pas prendre l'histoire en cours de route...
Gilgamesh (pareil que l'auteur) : a se propos, tu ferait bien de regagner ta place d'écrivain la, ca va barder...
Auteur (la voix s'affaiblissant, comme si il s'en allait) : comme si je savais pas ce qui allais se passer....
Lucien (pense) : bon tu peut demander a Eric de préparer tu sais quoi?
Gilgamesh : mouais, je sais pas ce que c'est mais je vais dire a Roland de passer le message. En attendant fais gaffe, ca va être chaud l'attaque qui arrive.
En effet de l'énergie s'était rassemblée dans les environs, forment une atmosphère écrasante autour de Lucien. Ce dernier au aguets avait laisser activé ses deux bouclier et cosmo. Il savait qu'il lui faudrait employé l'aura blanche pour la suite, il devait donc se gardé de révéler sa pleine puissance a l'ennemi avant le coups fatal.
Soudain une volée de corbeaux s'envola en direction du jeune homme en train de léviter, cachant un instant la bestiole a la vue du second du rat. Lorsque les corbeau se dispersèrent, bien entendu la créature avait disparue, et Lucien eut un mauvais pressentiment, commençant a tourner sur lui même afin d'éviter qu'on l'attaque dans le dos.
Pourtant une vois retentit au dessus de lui :
Bestiole : Toiub Binhuz!
Lucien ne compris que trop tard, que la bestiole avait inter-changé sa place avec un corbeau, lui permettant de passer ainsi au dessus du jeune homme, le prenant tout a fait au dépourvu.
La Vague d'énergie, préparée par la forêt, se concentra et tomba directement sur Lucien...
Lucien : bon même pas la peine d'essayer de se protéger de ça, œil pour œil, dent pour dent : CATA LIGTH TIC!
Face a la vague d'énergie émise, Lucien en produisit lui même une certaine quantités qui prit la forme d'une tête de Lion luminescente de la taille du jeune homme. Eric qui observait la scène impuissant, crut voir le tête du félin qui avalait la vague d'énergie qui pourtant ne fut pas arrêter un continua sa route, percutant le sol et creusant un énorme cratère.
Il fallu attendre que la poussière dégagée par le choc, se dissipe en partie pour voir que Lucien n'avait pas bouger mais semblait essouffler.
Roland (parlant dans la tête de son descendant) : il a dis de balancer « tu sais quoi »
Eric (pensant) : c'est pas vraiment dans ce genre de situation dans laquelle je suis censé l'utilisé, normalement, je devrai...
Roland (toujours la même chose) : si il te dis de le faire c'est qu'il doit avoir une idée...
Tandis que la bestiole n'en revenait pas de la résistance de Lucien, Eric ferma les yeux et commença a se concentrer. Il utilisa alors son pouvoir de modification, pour que le sol au dessous de Lucien forme un gros gisement de minerais ferreux, puis il établit deux protection de roche pour lui et Mira. Lucien quand a lui avait presque regagné le sol, lévitant
a quelques centimètres du plancher des vaches.
C'est a ce moment qu'un torrent d'électricité jailli du ciel tel un éclair vers le second du rat, et le sol conducteur. Au moment ou la tempête foudroyante allait s'abattre sur lui, il tendit alors Poseidon, sa lance vers le ciel, et ferma les yeux.
Soudain, sortant du sol, la tête de lion réapparu percutant le flot d'énergie céleste provoquant une gigantesque explosion, qui ne creusa aucun cratère, mais qui rasa toute forme de vie exposée au flash lumineux qui s'en suivit, et ce dans un rayon de plusieurs kilomètre. En effet les arbres s'étaient soudainement desséchés, les animaux s'étaient retrouver a l'état de squelette, et les fleur a l'état de cendre. Lorsque l'attaque pris enfin fin, Lucien pied au sol, cosmo désactivé, mais l'aura blanche l'entourant, pointa sa lance dans une direction, et la voix qui sortit de la gorge de ce dernier n'était pas celle qu'on lui connaissait.
Gilgamesh (parlant avec le corps de Lucien): tu est sous mon emprise, esprit! Apparaît a mes pieds...
Une forme d'énergie se condensa alors face a Lucien, a ses pieds.
Gilgamesh (parlant a l'aide de Lucien) : bien, tu va pouvoir retourner au royaume des esprits.
Il planta alors Poseidon dans le sol a l'endroit ou était apparu l'esprit, qui sembla disparaître, comme absorber par la lance. Puis Lucien tomba dans les pommes.
Lorsqu'il se réveilla, il vit Eric, partiellement rétablis, en train de le secouer.
La nuit venait de tomber, et le peu de lumière qui se reflétait sur le visage du jeune homme, montrait une inquiétude perceptible.
Eric : t'a assez dormit vieux. J'ai l'impression qu'on est observé.
Lucien : ouille, je crois que j'y ait été un peu fort.
Eric : j'ai pas tout compris de ce que t'a fais mais on a pas le temps d'en discuter.
Lucien : c'est simple, j'ai enfermé la première attaque, celle de la bestiole, et je l'ai fait libérer par ta foudre. J'avais peur que vous n'ayez pas compris ce que je voulais faire, mais j'ai balancer la sauce quand j'ai vu que tu t'était abriter. Ça va?
Eric : j'ai encore les effets indésirables de la toxines, mais ca peu aller. Par contre mira peut tout jute parler, elle a dis qu'elle en aurait pour la nuit a récupérer, et elle est tombée dans les vapes.
Lucien : ca promet.
Soudain, un bruit de branche morte qui craque retentit dans les profondeur de la nuit.
Eric : on ferait mieux de bouger non?
Lucien : de quoi t'a peur? L'esprit de la forêt a été chassé. D'ailleurs Gil, j'ai pas tout compris c'est quoi cette histoire de « monde des esprits »?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : arrête de m'appeler Gil... Et puis ca serait trop long a expliquer.
Eric : il a dis quoi?
Lucien : qu'il faudra demander au rat.
Les craquements reprirent, plus nombreux et plus proches.
Eric : on ferait mieux de dégager...
Lucien : je vois toujours pas pourquoi, on a plus d'ennemis dans le coin, je peut te l'assurer... En plus faudrait porter Mira voilà la galère...
Eric : tu a oublier qu'on a du forcer la porte pour sortir, de la ville? Pas sur que les militaires apprécieront.
Lucien (réfléchissant) : bon prend Mira sur ton dos, on lève les voiles...
Eric : eh! Pourquoi ca serait a moi de la porter?
Lucien : parce que tu est pas encore en état de te battre! SI jamais ca tourne mal je couvrirait votre fuite.
Eric, mis alors Mira sur son dos et pris la direction qui semblait les éloignait au plus de la ville, dont de faible lueurs lointaines indiquait la position. Lucien le suivit, laissant une certaine distance. Quelques minutes plus tard une ombre passa a l'endroit ou les trois personnes avaient récupérés de leur combat, et un petit rire aigrelet se fit entendre....
Dernière édition par Le Rat qui rit le Sam 2 Jan 2010 - 19:22, édité 1 fois
Le Rat qui rit- Ancien de l'Ombre
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Re: URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
Cela faisait un bon moment que nos trois amis marchaient dans la forêt sans but précis, avançant toujours dans la même direction, afin de mettre le maximum de distance entre eux et leurs ennemis. Ils étaient ainsi sortit de la portion des bois complètement dévaster par Lucien, et avaient retrouver des arbres bien vivant et toute sortes d'animaux sauvages qui fuyaient a leur approche.
Pourtant, le petit groupe avait toujours cette désagréable sensation de n'être pas seuls. Finalement, le petit jour se levant, les deux jeunes hommes tinrent conseil.
Lucien : je suis exténué, il serait bien de faire une pose.
Eric : je sais pas si c'est une bonne idée...J'ai pas l'impression qu'on soit en sécurité.
Lucien : ok, c'est vrai qu'en plein milieux des bois ca craint, trouvons une cachette adéquat.
Nos deux amis se mirent donc a la recherche d'un abris, qu'ils finirent par trouver, en la présence d'une grotte s'enfonçant dans un amas de rochers noyés par la végétation luxuriante. Le trio avança un moment dans l'étroit boyau avant de se poser sur un replat, le sol de la grotte étant la plupart du temps inégal. Sans mot dire, Eric, exténué lui aussi, a force de porter sa jeune amie, déposa cette dernière sur le sol, le plus confortablement possible. Puis il s'allongea a son tour, cherchant un sommeil, qui vint très vite malgré la position précaire. Lucien quand a lui s'assit tant bien que mal appuyé sur le mur de la caverne. Le temps passa, difficile de dire combien, dans l'atmosphère confinée de la grotte. Lucien somnolait donc depuis un bon moment, luttant contre le sommeil, qu'il savait dangereux, lorsqu'il crut apercevoir une lueur vers le fond de la cavité dans laquelle notre trio avait trouvé refuge.
Il se dit tout d'abord qu'il devait halluciner a cause de la fatigue, puis il se demanda si il ne s'était pas endormis, et enfin cette lueur commença a prodigieusement l'agacé, parce qu'il ne savais pas d'où elle venait. La seule solution pour le jeune de savoir serait de quitter son poste de garde, ce qui lui paraissait risqué. Il finit par réveiller Eric grognon.
Lucien : bon attend la, je vais voir un truc.
Eric : hein? Tu crois que c'est le moment?
Mais Lucien ne lui répondit pas il était déjà partit vers le fond de l'excavation, avec pour idée de tiré les choses au clair. Bizarrement les parois lui parurent bien plus régulièrement que lorsqu'ils étaient arrivé, et plus il avançait, plus la lumière s'intensifiait. Désormais sur qu'il n'avais pas rêver, il revint chercher son compagnon, qui ne s'avoua pas enthousiaste pour allez voir la lueur en question. Finalement, le trio se remis en marche, Mira sur le dos de Lucien cette fois, bien qu'Eric ne tiendrait pas longtemps au combat, si jamais combat il y'avait. Finalement après dix bonnes minutes de marche, il arrivèrent à la source de lumière qui était.... Une porte, entrebâillée qui laissait s'échapper un flot lumineux continu. Face a cette découverte, nos amis voulurent retourner en arrière, mais lorsqu'il se retournèrent, il virent qu'un homme leur barrait la route, habillé tout de noir, avec une large cape qui recouvrait même son torse. Il portait une capuche qui empêcher de voir le haut de son visage.
Homme a la capuche : et bien, bonjour, prenez la peine d'entrer, nous vous attendions...
Lucien : heu, et si nous rebroussons chemin?
Homme a la capuche : et bien ma foi, ca serait désobligeant de votre part, mais cela ne vous est pas interdit!
Eric : bien visiblement il serait impoli de refuser, donc nous vous suivons...
L'homme s'exécuta alors, n'ayant aucune peur de s'exposer a une attaque quelconque, et ouvrit la porte, rentrant dans la salle. Cette dernière était formée tout en longueur, le plafond soutenu par deux rangée de piliers, le long des murs de droites et de gauche. Dans chacun des espace libre entre les soutient de pierres, d'imposante sculptures représentant d'illustres guerriers étaient disposées. Tout au fond de cette pièce, plusieurs meubles étaient disposée de manière chaotique, dont une table couvert de vaisselle (propre et sale plus ou moins mélangé), une autre tables sur laquelle reposés des tubes a essais et produit en tout genres, quelques armoires, et enfin un bureau couvert d'un monticule impressionnant de papiers sur lequel dormait un type.
Homme a la capuche : veuillez nous excuser du bazar ambulant, mais nous nous sommes installés ici a la va vite, afin d'étudier le lieu.
Eric (rendant la politesse) : cela importe peu, mais qu'est ce que c'est que cet endroit?
Homme a la capuche : nous sommes actuellement... (puis désignant l'autre homme avachi dans sa paperasse) En fait le mieux c'est de lui laissé a lui le soin de vous expliqué...
Il alla donc rejoindre l'homme en question, tandis qu'Eric et Lucien (avec Mira sur son dos) avançaient prudemment vers le fond de la salle. L'homme a la capuche secoua alors son compagnon.
Homme a la capuche : yep, Ysran, réveille toi, je t'est amené ce que tu m'a demandé...
Ysran : hum... Encore une petite minute, Feal....
Feal : c'est pas comme ca qu'on traite les invité voyons!
Ysran : tu peut parler, tu dors plus souvent que moi sur ton bureau... Hum? Invités?
Finalement, le dis Ysran, se redressa, et constata alors l'arrivée de notre trio, qui restait prudemment a trois petits mètres du bureau.
Ysran : veuillez m'excuser, avec toute ses recherches, je ne prend guère le temps de dormir.
Lucien : des recherches? Sur quoi?
Ysran : et bien les lieux dans lesquels nous sommes, sous la dernière ville de cette planète sont très intéressants, il regorgent de...
Eric : nous sommes sous la ville la? Pourtant on a marché dans la direction opposée!
Ysran : ah oui, j'allais oublier! Feal?
Feal qui s'était discrètement faufiler derrière l'un des nombreux piliers, actionna un mécanisme qui ferma la porte par laquelle le trio était arrivé, et une grille s'abaissa au ras la porte, afin de sécuriser totalement l'ouverture. Puis Feal enleva sa capuche, il s'agissait en fais du capitaine, vu plus tôt a l'hôtel de ville!
Ysran : hum, ou en était je déjà?
Feal : si on pouvait finir au plus vite...
Ysran : c'est pas parce que tu est mon frère, que ca te donne le droit de m'interrompre....
Feal : grmfl...
Lucien et Eric, l'instant de surprise passé, tentèrent de défoncer la grille, en vain, car les deux attaques rebondirent.
Pendant ce temps, Feal regar:dait son frère d'un air de reproche, alors que ce dernier levait les yeux au ciel, cherchant le cours de ces idées.
Ysran : ah oui, je disais donc cet endroit regorge de secret enfouis ici par un peuple antique. Ce dernier fut décimé par d'autres nations venu de l'espace. Mais le lieu étant maudit les conquérant ne purent s'installer, et finalement ils recyclèrent cet te planète en prison inter-galactique....
Lucien (essoufflé, venant d'enchainer plusieurs attaques sur la grille qui refusait de céder) : et alors, qu'est ce que cela peut nous faire?
Ysran : et bien lorsque j'ai eu vent de l'histoire de cette planète, je n'ai pas pu m'empêcher de venir sur place avec mon frère, afin d'étudier les lieux. Bien sur je me suis bien garder de dire que j'était un scientifique, et nous nous somme fait passer pour des prisonniers.
Eric (qui montait la garde, tandis que Lucien s'acharnait sur la porte) : mais quel est le rapport avec nous a la fin?
Fael : et bien c'est nous qui avons imposer le système de survival...
Ysran : laisse moi continuer! Si on a fait en sorte de mettre en place se système, c'est parce que nous désirions invoquer un esprit des plus puissant, et que pour cela il nous faut faire le sacrifice des personnes suffisamment forte pour qu'elle attire le monstre, avec l'aide d'une formule retrouvé ici....
Fael : malheureusement le potentiel de chacun était des plus lent a augmenté, si bien que nous désespérions de réussir, jusqu'à votre arrivé...
Lucien (arrêtant de taper sur la grille) : je rêve ou ils veulent se servir de nous comme d'un sacrifice?
Eric (agitant la tête de façon affirmative) : faut croire.
Lucien : bon changement de plan, on leur éclate la tronche, et après on trouve un moyen de sortir!
Eric : ca me va, j'ai horreur qu'on se moque de la nature humaine ainsi...
Ysran : p'tit frère, je pense que dans l'état ou il sont, tu pourra t'en sortir tout seul...
Fael : espèce de flemmard...
Ysran : encore une remarque comme celle la, et...
Il n'eut pas le temps de continuer, Eric et Lucien passant tout deux a l'attaque, l'un avec son épée, et l'autre avec sa lance. Fael soupira, et sortit de sous sa large cape deux dagues, et il bloqua la lame d'Eric, et la Hallebarde avec chacune des ses deux armes courtes, une dans chaque mains. Un regard furtif passa entre les deux compagnons qui reculèrent tout deux d'un pas, puis Lucien repartit seul l'attaque, mais la première dague bloqua Poseidon, tandis que l'autre se plantait... dans le vide, puisque tout ceci n'était qu'une illusion, et que les deux amis du rat n'avait jamais reculer. Eric apparu alors derrière l'homme a la cape qui réussit a esquiver, au prix d'une balafre au niveau de l'épaule.
Fael (se grattant la tête) : a voilà qui est intéressante, quel dommage de ne pouvoir vous garder comme cobayes...
Eric, voulant profiter de l'ouverture que l'homme lui laissait, voulu l'éventrer d'un coup d'épée, mais au lieux de cela, son sabre lui donna l'impression de trancher dans le vide, et il sentit un leger contact au niveau de son épaule, avant de tomber dans les vapes...
Fael (regardant le jeune homme a terre) : et voilà, un de moins!
Lucien : Que …
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : bouge abrutit!
Lucien se jeta alors au sol, esquivant l'attaque d'un second Fael... Ne comprenant plus rien a rien, le jeune homme activa cosmo a la va vite...
Fael 1 : et flute partenaire, il t'a esquiver...
Fael 2 : il a l'air de maitriser la lumière....
Fael 1 : dans ce cas, il vaudrais mieux être trois non?
Aussitôt dis, aussitôt fait, un troisième homme a capuche apparu. Les trois homme attaquèrent Lucien, en vain, puisque ce n'était qu'une autre de ses illusions. Voyant le jeune homme disparu, et maitriser les illusions, chacun des trois types ferma les yeux, et commença a fouiller a coups d'épée dans le vide, tout l'espace de la pièce...
Profitant du court répis qui lui était accordé, Lucien était en grande conversation interne...
Lucien (pense) : tu sais ce qu'il s'est passé?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : j'ai mon idée, mais je te laisse analyser la situation et trouver tout seul..
Lucien (pense) : tu crois que c'est le moment?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : réfléchit andouille ; au lieux de faire des remarques stupides...
Lucien (pense) : bon il a la capacité de faire des clones, mais moi aussi si je veux je peut m'amuser a en faire, même si ils n'auront pas de consistance. Il a assommé Eric, et ce sans lui envoyer une seule attaque en apparence. Il a aussi tout de suite compris la nature de mon pouvoir, mais n'en pas cerné les limites...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : grouille! On a pas toute la nuit devant nous!
Lucien (pense) : et dernier point, important tu a compris tout de suite de quoi il s'agissait...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : tu parle d'une donnée importante.
Lucien (a voix haute) : intéressant pouvoir que tu a la. Je me demande depuis combien de temps je suis pris dans ta technique?
Feal (paraissant étonné, les clones ayant disparu) : depuis l'entré de la grotte en fait... Comment as tu su que je vous avez hypnotiser?
Lucien : et bien il fallait un pouvoir de type qui touche au sens et a l'âme, capable de provoquer des hallucinations et capable de faire dormir quelqu'un d'un seul coup...
Feal : je vois, et maintenant?
Lucien : Shiroi Reikyoudai …
Lucien activa donc l'aura blanche, en plus de cosmo et se planta devant Feal, yeux, fermé...
Lucien (pense) : bon je sais pas encore comment il établit le contact avec l'esprit de son adversaire, je vais faire en sorte de limité les possibilités, mais si jamais il arrive a passer nos défenses, je compte sur toi, le vieux.
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : compris, mas je ne peut pas tout déjouer non plus...
Lucien (pense) : on verra bien, en attendant on va lui balancer notre plus grosse attaque... (a voix haute) : Star Light.
La lance chargé de lumière par les anneaux, et dont la puissance avait été amplifiée par l'aura blanche, apparu au dessus de Fael, et l'imposant rayon de lumière continue lui tomba dessus pendant plusieurs secondes...
Lucien rouvrit les yeux, épuisé et essouffler, il sentit alors un contact sur l'épaule, et il vit que Fael avait été touché, tout son bras droit ayant été bruler, mais qu'il s'en était quand même sortit.
Fael : dommage camarade, si tu a bien jaugé mes capacité spéciales, il n'en est pas de même pour mes capacités phy...
Il ne pu dire mot, se retrouvant tout d'un coup pris par sa propre technique, Gilgamesh lui ayant renvoyer une partie de son pouvoir hypnotique. Fael n'avait pas pour autant perdu connaissance, mais gisait a genou se tenant la tête dans les mains... Malheureusement, Lucien se retrouva paralyser, pouvant a peine bouger....
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : il utilisait aussi le poison... Un puissant en plus qui fonctionne a simple contact de l'épiderme...
Voyant Lucien impuissant, Ysran, pressé de voir son esprit surpuissant se manifester s'approcha, ramassa l'une des dagues de son frère et la tendit au dessus du second du rat, s'apprêtant a l'achever...
Lucien (pense, au moment ou le type se penche pour prendre la dague) : on est foutu partenaire, désolé d'avoir été si mauvais...
Gilgamesh (répond dans la tête de Lucien) : attend, il reste une solution, j'espère juste que cet abruti a pas prévu un renfort de pacotille....
Lucien (pense ) : heu?
Gilgamesh (Forçant le bras de Lucien a bouger pour prendre quelque chose dans sa poche) : je pourrai pas faire bouger ton corps plus que ca, mais je devrais pouvoir...
La main de Lucien atteignit la poche au moment ou la dague s'abattait sur lui...
Pourtant, le petit groupe avait toujours cette désagréable sensation de n'être pas seuls. Finalement, le petit jour se levant, les deux jeunes hommes tinrent conseil.
Lucien : je suis exténué, il serait bien de faire une pose.
Eric : je sais pas si c'est une bonne idée...J'ai pas l'impression qu'on soit en sécurité.
Lucien : ok, c'est vrai qu'en plein milieux des bois ca craint, trouvons une cachette adéquat.
Nos deux amis se mirent donc a la recherche d'un abris, qu'ils finirent par trouver, en la présence d'une grotte s'enfonçant dans un amas de rochers noyés par la végétation luxuriante. Le trio avança un moment dans l'étroit boyau avant de se poser sur un replat, le sol de la grotte étant la plupart du temps inégal. Sans mot dire, Eric, exténué lui aussi, a force de porter sa jeune amie, déposa cette dernière sur le sol, le plus confortablement possible. Puis il s'allongea a son tour, cherchant un sommeil, qui vint très vite malgré la position précaire. Lucien quand a lui s'assit tant bien que mal appuyé sur le mur de la caverne. Le temps passa, difficile de dire combien, dans l'atmosphère confinée de la grotte. Lucien somnolait donc depuis un bon moment, luttant contre le sommeil, qu'il savait dangereux, lorsqu'il crut apercevoir une lueur vers le fond de la cavité dans laquelle notre trio avait trouvé refuge.
Il se dit tout d'abord qu'il devait halluciner a cause de la fatigue, puis il se demanda si il ne s'était pas endormis, et enfin cette lueur commença a prodigieusement l'agacé, parce qu'il ne savais pas d'où elle venait. La seule solution pour le jeune de savoir serait de quitter son poste de garde, ce qui lui paraissait risqué. Il finit par réveiller Eric grognon.
Lucien : bon attend la, je vais voir un truc.
Eric : hein? Tu crois que c'est le moment?
Mais Lucien ne lui répondit pas il était déjà partit vers le fond de l'excavation, avec pour idée de tiré les choses au clair. Bizarrement les parois lui parurent bien plus régulièrement que lorsqu'ils étaient arrivé, et plus il avançait, plus la lumière s'intensifiait. Désormais sur qu'il n'avais pas rêver, il revint chercher son compagnon, qui ne s'avoua pas enthousiaste pour allez voir la lueur en question. Finalement, le trio se remis en marche, Mira sur le dos de Lucien cette fois, bien qu'Eric ne tiendrait pas longtemps au combat, si jamais combat il y'avait. Finalement après dix bonnes minutes de marche, il arrivèrent à la source de lumière qui était.... Une porte, entrebâillée qui laissait s'échapper un flot lumineux continu. Face a cette découverte, nos amis voulurent retourner en arrière, mais lorsqu'il se retournèrent, il virent qu'un homme leur barrait la route, habillé tout de noir, avec une large cape qui recouvrait même son torse. Il portait une capuche qui empêcher de voir le haut de son visage.
Homme a la capuche : et bien, bonjour, prenez la peine d'entrer, nous vous attendions...
Lucien : heu, et si nous rebroussons chemin?
Homme a la capuche : et bien ma foi, ca serait désobligeant de votre part, mais cela ne vous est pas interdit!
Eric : bien visiblement il serait impoli de refuser, donc nous vous suivons...
L'homme s'exécuta alors, n'ayant aucune peur de s'exposer a une attaque quelconque, et ouvrit la porte, rentrant dans la salle. Cette dernière était formée tout en longueur, le plafond soutenu par deux rangée de piliers, le long des murs de droites et de gauche. Dans chacun des espace libre entre les soutient de pierres, d'imposante sculptures représentant d'illustres guerriers étaient disposées. Tout au fond de cette pièce, plusieurs meubles étaient disposée de manière chaotique, dont une table couvert de vaisselle (propre et sale plus ou moins mélangé), une autre tables sur laquelle reposés des tubes a essais et produit en tout genres, quelques armoires, et enfin un bureau couvert d'un monticule impressionnant de papiers sur lequel dormait un type.
Homme a la capuche : veuillez nous excuser du bazar ambulant, mais nous nous sommes installés ici a la va vite, afin d'étudier le lieu.
Eric (rendant la politesse) : cela importe peu, mais qu'est ce que c'est que cet endroit?
Homme a la capuche : nous sommes actuellement... (puis désignant l'autre homme avachi dans sa paperasse) En fait le mieux c'est de lui laissé a lui le soin de vous expliqué...
Il alla donc rejoindre l'homme en question, tandis qu'Eric et Lucien (avec Mira sur son dos) avançaient prudemment vers le fond de la salle. L'homme a la capuche secoua alors son compagnon.
Homme a la capuche : yep, Ysran, réveille toi, je t'est amené ce que tu m'a demandé...
Ysran : hum... Encore une petite minute, Feal....
Feal : c'est pas comme ca qu'on traite les invité voyons!
Ysran : tu peut parler, tu dors plus souvent que moi sur ton bureau... Hum? Invités?
Finalement, le dis Ysran, se redressa, et constata alors l'arrivée de notre trio, qui restait prudemment a trois petits mètres du bureau.
Ysran : veuillez m'excuser, avec toute ses recherches, je ne prend guère le temps de dormir.
Lucien : des recherches? Sur quoi?
Ysran : et bien les lieux dans lesquels nous sommes, sous la dernière ville de cette planète sont très intéressants, il regorgent de...
Eric : nous sommes sous la ville la? Pourtant on a marché dans la direction opposée!
Ysran : ah oui, j'allais oublier! Feal?
Feal qui s'était discrètement faufiler derrière l'un des nombreux piliers, actionna un mécanisme qui ferma la porte par laquelle le trio était arrivé, et une grille s'abaissa au ras la porte, afin de sécuriser totalement l'ouverture. Puis Feal enleva sa capuche, il s'agissait en fais du capitaine, vu plus tôt a l'hôtel de ville!
Ysran : hum, ou en était je déjà?
Feal : si on pouvait finir au plus vite...
Ysran : c'est pas parce que tu est mon frère, que ca te donne le droit de m'interrompre....
Feal : grmfl...
Lucien et Eric, l'instant de surprise passé, tentèrent de défoncer la grille, en vain, car les deux attaques rebondirent.
Pendant ce temps, Feal regar:dait son frère d'un air de reproche, alors que ce dernier levait les yeux au ciel, cherchant le cours de ces idées.
Ysran : ah oui, je disais donc cet endroit regorge de secret enfouis ici par un peuple antique. Ce dernier fut décimé par d'autres nations venu de l'espace. Mais le lieu étant maudit les conquérant ne purent s'installer, et finalement ils recyclèrent cet te planète en prison inter-galactique....
Lucien (essoufflé, venant d'enchainer plusieurs attaques sur la grille qui refusait de céder) : et alors, qu'est ce que cela peut nous faire?
Ysran : et bien lorsque j'ai eu vent de l'histoire de cette planète, je n'ai pas pu m'empêcher de venir sur place avec mon frère, afin d'étudier les lieux. Bien sur je me suis bien garder de dire que j'était un scientifique, et nous nous somme fait passer pour des prisonniers.
Eric (qui montait la garde, tandis que Lucien s'acharnait sur la porte) : mais quel est le rapport avec nous a la fin?
Fael : et bien c'est nous qui avons imposer le système de survival...
Ysran : laisse moi continuer! Si on a fait en sorte de mettre en place se système, c'est parce que nous désirions invoquer un esprit des plus puissant, et que pour cela il nous faut faire le sacrifice des personnes suffisamment forte pour qu'elle attire le monstre, avec l'aide d'une formule retrouvé ici....
Fael : malheureusement le potentiel de chacun était des plus lent a augmenté, si bien que nous désespérions de réussir, jusqu'à votre arrivé...
Lucien (arrêtant de taper sur la grille) : je rêve ou ils veulent se servir de nous comme d'un sacrifice?
Eric (agitant la tête de façon affirmative) : faut croire.
Lucien : bon changement de plan, on leur éclate la tronche, et après on trouve un moyen de sortir!
Eric : ca me va, j'ai horreur qu'on se moque de la nature humaine ainsi...
Ysran : p'tit frère, je pense que dans l'état ou il sont, tu pourra t'en sortir tout seul...
Fael : espèce de flemmard...
Ysran : encore une remarque comme celle la, et...
Il n'eut pas le temps de continuer, Eric et Lucien passant tout deux a l'attaque, l'un avec son épée, et l'autre avec sa lance. Fael soupira, et sortit de sous sa large cape deux dagues, et il bloqua la lame d'Eric, et la Hallebarde avec chacune des ses deux armes courtes, une dans chaque mains. Un regard furtif passa entre les deux compagnons qui reculèrent tout deux d'un pas, puis Lucien repartit seul l'attaque, mais la première dague bloqua Poseidon, tandis que l'autre se plantait... dans le vide, puisque tout ceci n'était qu'une illusion, et que les deux amis du rat n'avait jamais reculer. Eric apparu alors derrière l'homme a la cape qui réussit a esquiver, au prix d'une balafre au niveau de l'épaule.
Fael (se grattant la tête) : a voilà qui est intéressante, quel dommage de ne pouvoir vous garder comme cobayes...
Eric, voulant profiter de l'ouverture que l'homme lui laissait, voulu l'éventrer d'un coup d'épée, mais au lieux de cela, son sabre lui donna l'impression de trancher dans le vide, et il sentit un leger contact au niveau de son épaule, avant de tomber dans les vapes...
Fael (regardant le jeune homme a terre) : et voilà, un de moins!
Lucien : Que …
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : bouge abrutit!
Lucien se jeta alors au sol, esquivant l'attaque d'un second Fael... Ne comprenant plus rien a rien, le jeune homme activa cosmo a la va vite...
Fael 1 : et flute partenaire, il t'a esquiver...
Fael 2 : il a l'air de maitriser la lumière....
Fael 1 : dans ce cas, il vaudrais mieux être trois non?
Aussitôt dis, aussitôt fait, un troisième homme a capuche apparu. Les trois homme attaquèrent Lucien, en vain, puisque ce n'était qu'une autre de ses illusions. Voyant le jeune homme disparu, et maitriser les illusions, chacun des trois types ferma les yeux, et commença a fouiller a coups d'épée dans le vide, tout l'espace de la pièce...
Profitant du court répis qui lui était accordé, Lucien était en grande conversation interne...
Lucien (pense) : tu sais ce qu'il s'est passé?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : j'ai mon idée, mais je te laisse analyser la situation et trouver tout seul..
Lucien (pense) : tu crois que c'est le moment?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : réfléchit andouille ; au lieux de faire des remarques stupides...
Lucien (pense) : bon il a la capacité de faire des clones, mais moi aussi si je veux je peut m'amuser a en faire, même si ils n'auront pas de consistance. Il a assommé Eric, et ce sans lui envoyer une seule attaque en apparence. Il a aussi tout de suite compris la nature de mon pouvoir, mais n'en pas cerné les limites...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : grouille! On a pas toute la nuit devant nous!
Lucien (pense) : et dernier point, important tu a compris tout de suite de quoi il s'agissait...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : tu parle d'une donnée importante.
Lucien (a voix haute) : intéressant pouvoir que tu a la. Je me demande depuis combien de temps je suis pris dans ta technique?
Feal (paraissant étonné, les clones ayant disparu) : depuis l'entré de la grotte en fait... Comment as tu su que je vous avez hypnotiser?
Lucien : et bien il fallait un pouvoir de type qui touche au sens et a l'âme, capable de provoquer des hallucinations et capable de faire dormir quelqu'un d'un seul coup...
Feal : je vois, et maintenant?
Lucien : Shiroi Reikyoudai …
Lucien activa donc l'aura blanche, en plus de cosmo et se planta devant Feal, yeux, fermé...
Lucien (pense) : bon je sais pas encore comment il établit le contact avec l'esprit de son adversaire, je vais faire en sorte de limité les possibilités, mais si jamais il arrive a passer nos défenses, je compte sur toi, le vieux.
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : compris, mas je ne peut pas tout déjouer non plus...
Lucien (pense) : on verra bien, en attendant on va lui balancer notre plus grosse attaque... (a voix haute) : Star Light.
La lance chargé de lumière par les anneaux, et dont la puissance avait été amplifiée par l'aura blanche, apparu au dessus de Fael, et l'imposant rayon de lumière continue lui tomba dessus pendant plusieurs secondes...
Lucien rouvrit les yeux, épuisé et essouffler, il sentit alors un contact sur l'épaule, et il vit que Fael avait été touché, tout son bras droit ayant été bruler, mais qu'il s'en était quand même sortit.
Fael : dommage camarade, si tu a bien jaugé mes capacité spéciales, il n'en est pas de même pour mes capacités phy...
Il ne pu dire mot, se retrouvant tout d'un coup pris par sa propre technique, Gilgamesh lui ayant renvoyer une partie de son pouvoir hypnotique. Fael n'avait pas pour autant perdu connaissance, mais gisait a genou se tenant la tête dans les mains... Malheureusement, Lucien se retrouva paralyser, pouvant a peine bouger....
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : il utilisait aussi le poison... Un puissant en plus qui fonctionne a simple contact de l'épiderme...
Voyant Lucien impuissant, Ysran, pressé de voir son esprit surpuissant se manifester s'approcha, ramassa l'une des dagues de son frère et la tendit au dessus du second du rat, s'apprêtant a l'achever...
Lucien (pense, au moment ou le type se penche pour prendre la dague) : on est foutu partenaire, désolé d'avoir été si mauvais...
Gilgamesh (répond dans la tête de Lucien) : attend, il reste une solution, j'espère juste que cet abruti a pas prévu un renfort de pacotille....
Lucien (pense ) : heu?
Gilgamesh (Forçant le bras de Lucien a bouger pour prendre quelque chose dans sa poche) : je pourrai pas faire bouger ton corps plus que ca, mais je devrais pouvoir...
La main de Lucien atteignit la poche au moment ou la dague s'abattait sur lui...
Dernière édition par Le Rat qui rit le Dim 3 Jan 2010 - 17:39, édité 1 fois
Le Rat qui rit- Ancien de l'Ombre
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Date d'inscription : 05/02/2007
Re: URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
La lame plongea plusieurs fois dans le dos du jeune homme, qui ne ressentait rien a cause du poison. Pourtant après une dizaine de coups de poignard, Ysran commença a s'acharner sur le corps de ce dernier sans que le second du rat comprenne la raison d'une telle fureur. Soudain une voie grave, posée et calme se fit entendre... Une voix que Lucien avait déjà entendue auparavant...
Voix posé : ca ne sert pas a grand chose maintenant qu'il est revêtu du manteau d'ombre; tu plante pas le poignard dans sa chair la...
Lucien : une voix posé comme les marques déposées non?
Voix posé : je reconnais bien ce genre de jeux de mots, on se demande pas de qui tu les tient...
Lucien ne pouvait voir le nouvel arrivant, étant paralysé, mais les deux frère se tournèrent vers le l'intrus, intrigués.
Le face a face semblait intense, et personne n'osait bouger, Lucien en profita pour communiquer avec Gilgamesh.
Lucien (pense) : je vois rien!
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : attend, je vais forcer le mouvement pour qu'on voient ce qu'il se passe.
La tête du jeune homme se tourna alors, et il vit alors une étrange scène. Un grand type se tenait contre le mur, svelte et d'allure sportive. Il portait un simple jean, et un pull dont chose étrange, les manches étaient repliés de manière a laisser dépassé une partie des avant bras. Il avait les mains dans les poches et arborait l'expression du touriste moyen, venu ici en curieux. Ce qui marquait le plus c'était les yeux bleu turquoise de l'homme, qui s'intégraient parfaitement dans le visage du nouveau venu, avec son front large, et son nez fin. Pour finir ses cheveux clair était tirés en arrière et retenu par un serre tête passant derrière le crâne.
Les deux frère le regardaient toujours, fixant les deux armes de l'intrus, une épée bâtarde et un revolver, pendus a ca ceinture, sans oser bouger...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : oh punaise, rien que ca, un des huit en personne! C'est du joker de luxe qu'il t'a filer le père Dree...
Lucien (pense) : des huit?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : trop long a expliquer, mais admire le combat et prend en de la graine!
Fael : ca devrait être bon!
L'homme a la cape fonça sur l'intrus qui ne bougea pas de son mur, et lorsqu'il allait entrer en contact avec lui, une membrane noir sembla se lever entre les deux adversaires et Fael disparu pour réapparaitre a coter de son frère, comme si il n'avait pas bouger.
Fael : hein?
Inconnu : et ben, tentative d'hypnose minable, et la finition n'en parlons pas....
Fael : mince, il est insensible a mon pouvoir d'envoutement! Tant pis, on va devoir se battre de façon plus traditionnelle.
Inconnu : fais comme tu veux, mais dépêche, j'ai pas que ca a faire.
Fael se mit alors a concentrer son énergie, et en rassembla suffisamment pour que Lucien se demande si il aurait pu le vaincre, même si il n'avait pas été épuisé par toutes ses mésaventures.
Fael : prend ca : Pluie tailladante!
Inconnu : mouais, bof....
L'énergie de Fael se divisa en une multitude de lames, tranchantes comme des rasoirs, qui encerclèrent le nouveaux venu et foncèrent sur lui. Pourtant, tout disparu en en éclair sombre, les lames et le dis individu, évaporés, comme par magie...
Le frère d'Ysran, redoutant un coups fourré se retourna, persuader que la riposte viendrais dans son dos.
Inconnu : tu ferais bien de regarder a tes pieds l'ami...
En effet, sous les pieds de Fael, un cercle noir était apparu, et lorsque l'homme a la capuche tenta de fuir le disque, ce dernier le suivit comme collé au pied.... Il vis alors le lanceur du sort en train de léviter au dessus de lui, toujours les mains dans les poche.
Inconnu : bon finissons en : Boomrang.
Les lames d'énergies, crées par Fael, surgirent alors du cercle noir, et le réduirent en charpille, le nouveau venu regardant le spectacle, l'air dégouté...
Inconnu : Boh! Quel manque esthétisme dans cette attaque, tout ce sang, c'est écœurant!
Ysran : Noooonnn! Mon frère...
Inconnu : un tantinet classique comme réplique, mais bon c'est tout de même compréhensible!
Pourtant, alors qu'Ysran se ruait vers le corps de son frère, le sang qui s'était éparpillait partout commença a briller d'une étrange lueur...
Lucien (retrouvant peu a peu sa mobilité même si chaque geste lui coutait) : ohoh... Il avait pas dit si un être puissant était sacrifier? Ça pue la vilaine bêbete...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : c'est vrai que ca craindrait pour nous, mais pour lui, je commence a me poser la question. Je savais les huit fort, mais a ce point....
La conversation intérieur fut coupée court par l'émergence d'une vaque d'énergie, sortit du sang, qui pris la forme matérielle d'un chien a trois tête.
Lucien était ébahi de voir Cerbère en ces lieux, et se demanda ce qui allais se passer. Les trois têtes du chien observèrent autour de lui, pendant que Gilgamesh tentait d'expliquer quelques chose a Lucien :
Gilgamesh : c'est pas Cerbère, ce dernier est bien plus fort. Lui c'est un simple esprit...
Il fut couper, l'animal ayant sentit de la vie dans les trois corps de Mira, Eric et Lucien allongés au sol. Voyant en ces trois la un excellent repas, servis sur un plateau, il se jeta sur le plus proche, a savoir Mira. Mais une nouvelle fois la membrane noire s'interposa, et le chien a trois tète se retrouva a coter d'Ysran.
Inconnu : un esprit infernal... Vous avez toujours aussi peu d'imagination et d'intelligence...
Voyant Ysran a coter de lui, il décida de changer de casse croute, et voulu le happer dans sa gueule. Mais le scientifique ne se laissa pas faire, et envoya voler la bestiole, la déchiquetant de partout, et ce juste en tendant le doigt vers elle...
Pourtant l'animal se releva, et se régénéra instantanément.
Ysran : bien, comme prévu cette bête détient le secret de l'immortalité!
Inconnu : ca pour être immortel, ils le sont, en plus d'être plutôt fort, même si ils sont complètement stupide. Bon ca serait vraiment une plaie de le combattre celui la.
L'esprit sembla se fâcher contre Ysran, et envoya trois rayon d'énergie nécrotique, un sortant de chaque gueule de la bête,
en direction du chercheur. Ce dernier fut toucher par l'un des flux d'énergies, mais pas suffisamment pour l'inquiéter.
Pendant ce temps l'inconnu était passé au dessus du faux Cerbère, et les mains dans les poche, il déclara :
Inconnu : bon, on va faire ce qu'il y'a de moins fatiguant : Sceau des huit, sceau d'Exil!
Soudain un cercle fut tracer sur le dos de l'animal, a l'intérieur duquel était tracer un étrange glyphe. Puis l'inscription ce mis a rayonner, et un éclair sombre parcouru la salle, la plongeant une demi seconde dans le noir. Lorsque la lumière revint, le monstre avait disparu , laissant l'individu au yeux vert au dessus du vide...
Inconnu : bon voilà, en plus de repartir d'où il vient, il pourra pas y revenir...
Ysran : quoi? Pourtant et endroit permet de l'invoquer!
Inconnu : ben c'est la propriété du sceau de l'exil. Cette bestiole restera au monde des esprit désormais, elle est bannie de ce monde ci.
Ysran : tu va me payer ca!
Inconnu : grouille alors il ne me reste plus beaucoup de temps!
Le scientifique désigna alors l'inconnu du doigt, qui disparu a cette instant la, ce qui eu pour effet de laisser des traces d'impact sur le mur sur la trajectoire désigné par l'index d'Ysran. Ce dernier voyant qu'il avait manquer son coup, surveilla ses pieds, sachant que la riposte ne tarderai pas a venir. Elle vint finalement du ciel, sous la forme d'une boule d'énergie obscure, esquiver de justesse par le chercheur, qui heurta et aspira les bureau et autres meubles derrière lui.
Inconnu : mal calculé mon coups, des ondes de choc, hein? Intéressant pouvoir!
Ysran : on peut dire de même du votre...
Soudain, le plafond s effondra, obligeant les deux adversaire face à face a reculer. Une fois le déluge de roche terminé, on pu entendre une toux sèche au milieux de la poussière dégagée par l'affaissement du plafond, ainsi qu'un grognement inconnu …
Voix féminine : tousse, mais quel bourrin! Tousse,tousse.
Voix masculine : a peine, j'ai juste utiliser le moyen le plus rapide pour accéder a l'endroit que le traceur indiquait.
La poussière tomba, et le rat, Tely et Dorian (le tigre pour ceux qui auraient déjà oublier) se trouvaient au sommet d'un tas de gravats. L'inconnu, sourit alors, a la vue de l'arrivée en fanfare du rongeur.
Inconnu (murmurant pour lui même) : il tombe a pic, c'est le cas de le dire....
Lucien (répondant alors a ce que l'homme venait de dire) : ca y'est je me souviens, je vous ait déjà vu, c'était....
Sa phrase fut interrompue pour une raison inconnue. Le rat attiré par le son de la voix de son second tourna la tète dans la direction de l'inconnu.
Inconnu : bon, ca va t'arrive dans les temps, Dree... Le sort arrivant a sa fin, je dois me retirer, mais je devrais revenir sous peu je pense, le vieux te cherchait....
Et le mystérieux inconnu disparu dans un flash ténébreux comme pour l'esprit infernal. Ysran qui s'était approcher prudemment de la scène de la discussion, eu le temps de le voir disparaitre. Et resta déconfit un instant n'ayant pu finir le combat qu'il avait commencer.
Le rat : ca pue l'ordre de mission foireux ça.... Encore un truc qui va pas me simplifier la vie.
Ysran : la vache, il s'est cassé avant que j'aie pu lui mettre une tôle!
Le rat : t'aurais jamais pu le battre même en rêve...
Ysran : t'est qui toi au juste, une expérience d'hybride raté?
Le rat : bien je daigne continuer ce qu'il avait commencer, puisque tu a l'air plutôt remonter... Tely occupe toi des autres avec Dorian...
Tely : heu, pas sur que le matou soit d'une grande aide...
Dorian : shhhh.
« Le matou » attrapa délicatement Tely par le col et la transporta rapidement au bas du tas de gravats, et la déposa a coter de Lucien. Pendant que la jeune femme s'occupait de ses compagnons, le rat envoya un grand sourire en direction du maitre des lieux. Ce dernier répliqua durement avec une onde de choc instantanée qui envoya des cailloux et le rat voler. Ce dernier dégaina ses deux sabres pendant son vol plané s'appuya sur le mur , et revint a la charge sur le scientifique qui esquiva et esquiva encore la série de coups simple que lui envoyait le rongeur, du sortir une arme pour stopper la danse des sabres. Il s'agissait de griffes, qui sortaient d'une sorte de bracelet, sans doute mis au point par Ysran lui même.
Ysran : c'est que tu rigole pas toi, je vais devoir utiliser de l'énergie si je veux te battre!
Le rat : oui, j'ai déjà remarquer que tu n'avait pas besoin d'en utiliser pour provoquer tes ondes de chocs...
Ysran dégagea alors sa puissance, qui rendit lourde l'atmosphère, et fit tourner la tête de Lucien et de Tely en direction du lieu du combat.
Tely : ca va barder, j'espere que notre amis le rat va s'en sortir.
Lucien (arborant une grise mine) : bah, son adversaire nous aurait sans doute explosé tous ensemble, au meilleur de notre forme, mais après ce que je viens de comprendre, je m'en fait pas pour ce crétin. En tout cas, je suis pas près de pouvoir le battre.
Pendant ce temps, le rat était totalement dominé par son ennemi, et accumulaient les régénérations pour pouvoir tenir le rythme.
Voyant que ca craignait vraiment, le rongeur s'éloigna quelque peu...
Le rat : je crois que j'ai compris, tu a un appareil qui te permet de caché ta force magique c'est ca? Et tu l'a désactivé au moment de passer au chose sérieuses...
Ysran : tu semble intelligent pour un rongeur.
Le rat : bon on va déjà essayer ça, même si je pense que ca ne suffira pas pour te battre : première forme : Le roi des Bêtes!
La pleine puissance de la forme animale se déploya alors, les ailes poussant dans le dos du rat, et les poils de son cou s'allongeant prenant leur couleur dorée. La puissance du rat grimpa en flèche, et ce dernier n'attendit pas une seconde de plus et lança un zanmato qui laissa une profonde fissure dans le sol, mais aucune blessure a Ysran. Ce dernier répliqua en tendant la main lançant ainsi cinq onde de choc simultanée, rendant l'attaque impossible a esquiver. Le rat décida donc d'encaisser et avant que l'attaque ne l'atteigne, il hurla « Path of Glory », abattant ses deux sabres en direction du sol qui dégagèrent deux énormes vagues d'énergies qui causèrent d'immenses dégâts dans le mur, mais n'atteignirent toujours pas Ysran. Le rongeur fortement blesser se régénéra une nouvelle fois...
Le rat : ca ne va décidément pas, ca me coute cher de me régénérer, et tu dévie toutes mes attaques a coups d'ondes de choc.
Ysran : je suis curieux de voir ce que tu va faire contre ca? Les dix commandements
Cet fois-ci ce fut dix ondes de choc qui partirent de ses dix doigts, le rat ferma les yeux et mis ses mains en avant....
Un grande explosion se produisit alors, et le rat s'en sortit indemne cette fois. Mais il avait changer de forme, son masque ayant remplacer ses ailes, ses oreilles étaient retombées, laissant des épis a la place, et les quatre bras qu'il avait crée étaient tendus en avant, ayant absorber le choc...
Ysran : tu ne me fais pas peur, a changer constamment d'apparence...
Le rat : dommage pour toi, Coup Mirroir!
Les dix ondes de choc furent alors relancer sur un Ysran complètement abasourdi, qui se mangea sa propre attaque et subit de lourd dégâts...
Il se releva pourtant, un sourire mauvais au lèvres...
Ysran : je vois tu est loin d'être n'importe qui hein... Cela va me couter cher, mais je me dois de me battre a pleine puissance. Que la malédiction fasse son office!
Une chape de plomb tomba rendant atmosphère encore plus lourde, un courant froid soufflant dans les jambes des spectateurs du combat. Le rat regarda alors son adversaire se métamorphosé, devenant mi-homme, mi démons, et il se mit a dégagé un vague colossale d'énergie comme ni Mira, ni Tely, ni Eric n'avait jamais vus... Le scientifique devenu a moitié fou lança une attaque sur le rat qui l'absorba et la renvoya...
Mais le démon permis a son hôte d'encaisser l'attaque, dans un rire aigrelet des plus mauvais gouts. Le combat continua ainsi cinq bonne minute le rat absorbant et restituant chacune des attaque qu'on lui envoyais, mais Ysran, semblait pouvoir encaisser autant de fois qu'il le voulait.
Ysran (voix déformé) : et bien alors, il y'a bien un moment ou tu ne pourra plus renvoyé les attaques n'est ce pas? Car tu subit des dommages a chaque fois, même si il son minimes par rapport a la puissance de l'attaque, cumulés il finiront bien par te tuer....
Le rat (essoufflé) : ouf, j'ai eu peur de devoir me battre vraiment sérieusement, heureusement je viens de trouver ton point faible...
Ysran (voix déformé) : parce que tu crois que je vais te laissé te reprendre, Sombre Versets!
Le rat : The Blessed Home!
Ysran mélangea de l'énergie aux ondes de choc, ce qui fit que ces dernière produisirent des explosions supplémentaires, qui entourèrent le rongeur, et l'empêchèrent d'esquiver. La poussière envahi toute la pièce, de plus en plus endommagée, les quelques statues encore debout ne résistèrent pas a cette attaque et tombèrent au sol, et les fissures sur les mur se firent de plus en plus large.
Lucien (ayant presque totalement récupérer du poison grâce a Gilgamesh) : on met les voiles!
Tely (essayant de réveiller Eric) : hein, comment? Et le rat?
Lucien (chargeant Mira et Eric sur le dos de Dorian) : t'occupe pas de lui il est assez fort pour s'en sortir!
Voix posé : ca ne sert pas a grand chose maintenant qu'il est revêtu du manteau d'ombre; tu plante pas le poignard dans sa chair la...
Lucien : une voix posé comme les marques déposées non?
Voix posé : je reconnais bien ce genre de jeux de mots, on se demande pas de qui tu les tient...
Lucien ne pouvait voir le nouvel arrivant, étant paralysé, mais les deux frère se tournèrent vers le l'intrus, intrigués.
Le face a face semblait intense, et personne n'osait bouger, Lucien en profita pour communiquer avec Gilgamesh.
Lucien (pense) : je vois rien!
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : attend, je vais forcer le mouvement pour qu'on voient ce qu'il se passe.
La tête du jeune homme se tourna alors, et il vit alors une étrange scène. Un grand type se tenait contre le mur, svelte et d'allure sportive. Il portait un simple jean, et un pull dont chose étrange, les manches étaient repliés de manière a laisser dépassé une partie des avant bras. Il avait les mains dans les poches et arborait l'expression du touriste moyen, venu ici en curieux. Ce qui marquait le plus c'était les yeux bleu turquoise de l'homme, qui s'intégraient parfaitement dans le visage du nouveau venu, avec son front large, et son nez fin. Pour finir ses cheveux clair était tirés en arrière et retenu par un serre tête passant derrière le crâne.
Les deux frère le regardaient toujours, fixant les deux armes de l'intrus, une épée bâtarde et un revolver, pendus a ca ceinture, sans oser bouger...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : oh punaise, rien que ca, un des huit en personne! C'est du joker de luxe qu'il t'a filer le père Dree...
Lucien (pense) : des huit?
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : trop long a expliquer, mais admire le combat et prend en de la graine!
Fael : ca devrait être bon!
L'homme a la cape fonça sur l'intrus qui ne bougea pas de son mur, et lorsqu'il allait entrer en contact avec lui, une membrane noir sembla se lever entre les deux adversaires et Fael disparu pour réapparaitre a coter de son frère, comme si il n'avait pas bouger.
Fael : hein?
Inconnu : et ben, tentative d'hypnose minable, et la finition n'en parlons pas....
Fael : mince, il est insensible a mon pouvoir d'envoutement! Tant pis, on va devoir se battre de façon plus traditionnelle.
Inconnu : fais comme tu veux, mais dépêche, j'ai pas que ca a faire.
Fael se mit alors a concentrer son énergie, et en rassembla suffisamment pour que Lucien se demande si il aurait pu le vaincre, même si il n'avait pas été épuisé par toutes ses mésaventures.
Fael : prend ca : Pluie tailladante!
Inconnu : mouais, bof....
L'énergie de Fael se divisa en une multitude de lames, tranchantes comme des rasoirs, qui encerclèrent le nouveaux venu et foncèrent sur lui. Pourtant, tout disparu en en éclair sombre, les lames et le dis individu, évaporés, comme par magie...
Le frère d'Ysran, redoutant un coups fourré se retourna, persuader que la riposte viendrais dans son dos.
Inconnu : tu ferais bien de regarder a tes pieds l'ami...
En effet, sous les pieds de Fael, un cercle noir était apparu, et lorsque l'homme a la capuche tenta de fuir le disque, ce dernier le suivit comme collé au pied.... Il vis alors le lanceur du sort en train de léviter au dessus de lui, toujours les mains dans les poche.
Inconnu : bon finissons en : Boomrang.
Les lames d'énergies, crées par Fael, surgirent alors du cercle noir, et le réduirent en charpille, le nouveau venu regardant le spectacle, l'air dégouté...
Inconnu : Boh! Quel manque esthétisme dans cette attaque, tout ce sang, c'est écœurant!
Ysran : Noooonnn! Mon frère...
Inconnu : un tantinet classique comme réplique, mais bon c'est tout de même compréhensible!
Pourtant, alors qu'Ysran se ruait vers le corps de son frère, le sang qui s'était éparpillait partout commença a briller d'une étrange lueur...
Lucien (retrouvant peu a peu sa mobilité même si chaque geste lui coutait) : ohoh... Il avait pas dit si un être puissant était sacrifier? Ça pue la vilaine bêbete...
Gilgamesh (dans la tête de Lucien) : c'est vrai que ca craindrait pour nous, mais pour lui, je commence a me poser la question. Je savais les huit fort, mais a ce point....
La conversation intérieur fut coupée court par l'émergence d'une vaque d'énergie, sortit du sang, qui pris la forme matérielle d'un chien a trois tête.
Lucien était ébahi de voir Cerbère en ces lieux, et se demanda ce qui allais se passer. Les trois têtes du chien observèrent autour de lui, pendant que Gilgamesh tentait d'expliquer quelques chose a Lucien :
Gilgamesh : c'est pas Cerbère, ce dernier est bien plus fort. Lui c'est un simple esprit...
Il fut couper, l'animal ayant sentit de la vie dans les trois corps de Mira, Eric et Lucien allongés au sol. Voyant en ces trois la un excellent repas, servis sur un plateau, il se jeta sur le plus proche, a savoir Mira. Mais une nouvelle fois la membrane noire s'interposa, et le chien a trois tète se retrouva a coter d'Ysran.
Inconnu : un esprit infernal... Vous avez toujours aussi peu d'imagination et d'intelligence...
Voyant Ysran a coter de lui, il décida de changer de casse croute, et voulu le happer dans sa gueule. Mais le scientifique ne se laissa pas faire, et envoya voler la bestiole, la déchiquetant de partout, et ce juste en tendant le doigt vers elle...
Pourtant l'animal se releva, et se régénéra instantanément.
Ysran : bien, comme prévu cette bête détient le secret de l'immortalité!
Inconnu : ca pour être immortel, ils le sont, en plus d'être plutôt fort, même si ils sont complètement stupide. Bon ca serait vraiment une plaie de le combattre celui la.
L'esprit sembla se fâcher contre Ysran, et envoya trois rayon d'énergie nécrotique, un sortant de chaque gueule de la bête,
en direction du chercheur. Ce dernier fut toucher par l'un des flux d'énergies, mais pas suffisamment pour l'inquiéter.
Pendant ce temps l'inconnu était passé au dessus du faux Cerbère, et les mains dans les poche, il déclara :
Inconnu : bon, on va faire ce qu'il y'a de moins fatiguant : Sceau des huit, sceau d'Exil!
Soudain un cercle fut tracer sur le dos de l'animal, a l'intérieur duquel était tracer un étrange glyphe. Puis l'inscription ce mis a rayonner, et un éclair sombre parcouru la salle, la plongeant une demi seconde dans le noir. Lorsque la lumière revint, le monstre avait disparu , laissant l'individu au yeux vert au dessus du vide...
Inconnu : bon voilà, en plus de repartir d'où il vient, il pourra pas y revenir...
Ysran : quoi? Pourtant et endroit permet de l'invoquer!
Inconnu : ben c'est la propriété du sceau de l'exil. Cette bestiole restera au monde des esprit désormais, elle est bannie de ce monde ci.
Ysran : tu va me payer ca!
Inconnu : grouille alors il ne me reste plus beaucoup de temps!
Le scientifique désigna alors l'inconnu du doigt, qui disparu a cette instant la, ce qui eu pour effet de laisser des traces d'impact sur le mur sur la trajectoire désigné par l'index d'Ysran. Ce dernier voyant qu'il avait manquer son coup, surveilla ses pieds, sachant que la riposte ne tarderai pas a venir. Elle vint finalement du ciel, sous la forme d'une boule d'énergie obscure, esquiver de justesse par le chercheur, qui heurta et aspira les bureau et autres meubles derrière lui.
Inconnu : mal calculé mon coups, des ondes de choc, hein? Intéressant pouvoir!
Ysran : on peut dire de même du votre...
Soudain, le plafond s effondra, obligeant les deux adversaire face à face a reculer. Une fois le déluge de roche terminé, on pu entendre une toux sèche au milieux de la poussière dégagée par l'affaissement du plafond, ainsi qu'un grognement inconnu …
Voix féminine : tousse, mais quel bourrin! Tousse,tousse.
Voix masculine : a peine, j'ai juste utiliser le moyen le plus rapide pour accéder a l'endroit que le traceur indiquait.
La poussière tomba, et le rat, Tely et Dorian (le tigre pour ceux qui auraient déjà oublier) se trouvaient au sommet d'un tas de gravats. L'inconnu, sourit alors, a la vue de l'arrivée en fanfare du rongeur.
Inconnu (murmurant pour lui même) : il tombe a pic, c'est le cas de le dire....
Lucien (répondant alors a ce que l'homme venait de dire) : ca y'est je me souviens, je vous ait déjà vu, c'était....
Sa phrase fut interrompue pour une raison inconnue. Le rat attiré par le son de la voix de son second tourna la tète dans la direction de l'inconnu.
Inconnu : bon, ca va t'arrive dans les temps, Dree... Le sort arrivant a sa fin, je dois me retirer, mais je devrais revenir sous peu je pense, le vieux te cherchait....
Et le mystérieux inconnu disparu dans un flash ténébreux comme pour l'esprit infernal. Ysran qui s'était approcher prudemment de la scène de la discussion, eu le temps de le voir disparaitre. Et resta déconfit un instant n'ayant pu finir le combat qu'il avait commencer.
Le rat : ca pue l'ordre de mission foireux ça.... Encore un truc qui va pas me simplifier la vie.
Ysran : la vache, il s'est cassé avant que j'aie pu lui mettre une tôle!
Le rat : t'aurais jamais pu le battre même en rêve...
Ysran : t'est qui toi au juste, une expérience d'hybride raté?
Le rat : bien je daigne continuer ce qu'il avait commencer, puisque tu a l'air plutôt remonter... Tely occupe toi des autres avec Dorian...
Tely : heu, pas sur que le matou soit d'une grande aide...
Dorian : shhhh.
« Le matou » attrapa délicatement Tely par le col et la transporta rapidement au bas du tas de gravats, et la déposa a coter de Lucien. Pendant que la jeune femme s'occupait de ses compagnons, le rat envoya un grand sourire en direction du maitre des lieux. Ce dernier répliqua durement avec une onde de choc instantanée qui envoya des cailloux et le rat voler. Ce dernier dégaina ses deux sabres pendant son vol plané s'appuya sur le mur , et revint a la charge sur le scientifique qui esquiva et esquiva encore la série de coups simple que lui envoyait le rongeur, du sortir une arme pour stopper la danse des sabres. Il s'agissait de griffes, qui sortaient d'une sorte de bracelet, sans doute mis au point par Ysran lui même.
Ysran : c'est que tu rigole pas toi, je vais devoir utiliser de l'énergie si je veux te battre!
Le rat : oui, j'ai déjà remarquer que tu n'avait pas besoin d'en utiliser pour provoquer tes ondes de chocs...
Ysran dégagea alors sa puissance, qui rendit lourde l'atmosphère, et fit tourner la tête de Lucien et de Tely en direction du lieu du combat.
Tely : ca va barder, j'espere que notre amis le rat va s'en sortir.
Lucien (arborant une grise mine) : bah, son adversaire nous aurait sans doute explosé tous ensemble, au meilleur de notre forme, mais après ce que je viens de comprendre, je m'en fait pas pour ce crétin. En tout cas, je suis pas près de pouvoir le battre.
Pendant ce temps, le rat était totalement dominé par son ennemi, et accumulaient les régénérations pour pouvoir tenir le rythme.
Voyant que ca craignait vraiment, le rongeur s'éloigna quelque peu...
Le rat : je crois que j'ai compris, tu a un appareil qui te permet de caché ta force magique c'est ca? Et tu l'a désactivé au moment de passer au chose sérieuses...
Ysran : tu semble intelligent pour un rongeur.
Le rat : bon on va déjà essayer ça, même si je pense que ca ne suffira pas pour te battre : première forme : Le roi des Bêtes!
La pleine puissance de la forme animale se déploya alors, les ailes poussant dans le dos du rat, et les poils de son cou s'allongeant prenant leur couleur dorée. La puissance du rat grimpa en flèche, et ce dernier n'attendit pas une seconde de plus et lança un zanmato qui laissa une profonde fissure dans le sol, mais aucune blessure a Ysran. Ce dernier répliqua en tendant la main lançant ainsi cinq onde de choc simultanée, rendant l'attaque impossible a esquiver. Le rat décida donc d'encaisser et avant que l'attaque ne l'atteigne, il hurla « Path of Glory », abattant ses deux sabres en direction du sol qui dégagèrent deux énormes vagues d'énergies qui causèrent d'immenses dégâts dans le mur, mais n'atteignirent toujours pas Ysran. Le rongeur fortement blesser se régénéra une nouvelle fois...
Le rat : ca ne va décidément pas, ca me coute cher de me régénérer, et tu dévie toutes mes attaques a coups d'ondes de choc.
Ysran : je suis curieux de voir ce que tu va faire contre ca? Les dix commandements
Cet fois-ci ce fut dix ondes de choc qui partirent de ses dix doigts, le rat ferma les yeux et mis ses mains en avant....
Un grande explosion se produisit alors, et le rat s'en sortit indemne cette fois. Mais il avait changer de forme, son masque ayant remplacer ses ailes, ses oreilles étaient retombées, laissant des épis a la place, et les quatre bras qu'il avait crée étaient tendus en avant, ayant absorber le choc...
Ysran : tu ne me fais pas peur, a changer constamment d'apparence...
Le rat : dommage pour toi, Coup Mirroir!
Les dix ondes de choc furent alors relancer sur un Ysran complètement abasourdi, qui se mangea sa propre attaque et subit de lourd dégâts...
Il se releva pourtant, un sourire mauvais au lèvres...
Ysran : je vois tu est loin d'être n'importe qui hein... Cela va me couter cher, mais je me dois de me battre a pleine puissance. Que la malédiction fasse son office!
Une chape de plomb tomba rendant atmosphère encore plus lourde, un courant froid soufflant dans les jambes des spectateurs du combat. Le rat regarda alors son adversaire se métamorphosé, devenant mi-homme, mi démons, et il se mit a dégagé un vague colossale d'énergie comme ni Mira, ni Tely, ni Eric n'avait jamais vus... Le scientifique devenu a moitié fou lança une attaque sur le rat qui l'absorba et la renvoya...
Mais le démon permis a son hôte d'encaisser l'attaque, dans un rire aigrelet des plus mauvais gouts. Le combat continua ainsi cinq bonne minute le rat absorbant et restituant chacune des attaque qu'on lui envoyais, mais Ysran, semblait pouvoir encaisser autant de fois qu'il le voulait.
Ysran (voix déformé) : et bien alors, il y'a bien un moment ou tu ne pourra plus renvoyé les attaques n'est ce pas? Car tu subit des dommages a chaque fois, même si il son minimes par rapport a la puissance de l'attaque, cumulés il finiront bien par te tuer....
Le rat (essoufflé) : ouf, j'ai eu peur de devoir me battre vraiment sérieusement, heureusement je viens de trouver ton point faible...
Ysran (voix déformé) : parce que tu crois que je vais te laissé te reprendre, Sombre Versets!
Le rat : The Blessed Home!
Ysran mélangea de l'énergie aux ondes de choc, ce qui fit que ces dernière produisirent des explosions supplémentaires, qui entourèrent le rongeur, et l'empêchèrent d'esquiver. La poussière envahi toute la pièce, de plus en plus endommagée, les quelques statues encore debout ne résistèrent pas a cette attaque et tombèrent au sol, et les fissures sur les mur se firent de plus en plus large.
Lucien (ayant presque totalement récupérer du poison grâce a Gilgamesh) : on met les voiles!
Tely (essayant de réveiller Eric) : hein, comment? Et le rat?
Lucien (chargeant Mira et Eric sur le dos de Dorian) : t'occupe pas de lui il est assez fort pour s'en sortir!
Le Rat qui rit- Ancien de l'Ombre
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Re: URQR : Chapitre 14 : accident, incidents et imprevus.
Pourtant Ysran ne l'entendait pas de cette oreille, il voulu s'interposer entre Dorian (sur lequel était monter Tely et Lucien, en plus d'Eric et de Mira) et la sortie, dont la grille avait finie par tomber. Mais le rat encore en vie, entouré d'un halo de lumière dorée, s'interposa et infligea une large blessure au démon, l'envoyant valdinguer contre un mur permettant a ses amis de s'échapper. Le choc entre le scientifique maudit et le mur, acheva l'œuvre de destruction et le plafond commença a s'effondrer, les pierre du plafond tombant une par une au sol. L'un de ses cailloux bloqua la sortie emprunter par le Dorian. Le rat et Ysran se tenaient face a face, a l'endroit ou le rat avait fait un trou dans le plafond, désormais seule sortie utilisable.
Ysran : une dernière prière avant de mourir?
Le rat : oui, voici la pleine puissance de ma seconde forme : Le Serviteur d'Orion!
Tout les poils du rat s'hérissèrent alors, le masque se fissura mais resta sur son visage, les oreilles pendantes s'allongèrent jusqu'à son cou, et une paire d'aile vint s'ajouter au quatre paire de bras... Le dessin fais la main sur le masque changea prenant la forme d'un glyphe. Et l'Énergie que le rat dégageait avait balayé l'atmosphère pesante pour la rendre chaude et bienveillante...
Le rat : la dernière passe d'arme...
Ysran : meurt! SACRIFICE!
Le rat : SACRED!
Le scientifique vida toute son énergie dans cette attaque, chacun de ses doigt rayonnant d'une lueur funeste. Lorsque l'attaque fut lancée dix ondes deux choc touchèrent le rat, mais rebondirent sur l'étrange bouclier qu'il avait activer. Pourtant le contact entre les deux libéra tout l'énergie qu'Ysran avait mêlée, provoquant plusieurs centaine d'explosion dans la seconde.... Le plafond s'effondra pour de bon, mais au moment ou le démon voulu s'envoler pour échapper a l'écrasement, il se rendit compte qu'il était entouré d'un halo similaire a celui du rat, et avant qu'il ne puisse comprendre, une explosion lumineuse, formée a partir de l'énergie qu'il avait envoyée au rongeur, le désintégra, ne lui laissant aucune chance de survie...
Lucien, et le reste de la troupe, venait de sortir de la grotte, lorsque cette dernière s'effondra, ce qui eu pour effet d'affaiblir les fondements du mur d'enceinte de la ville sous lequel elle passait. Quelque seconde après, le mur s'écroulait a son tour dans un grincement sinistre.
Le tigre se dirigea alors timidement dans la ville, alors que son maitre voulait au contraire prendre la route des bois. Finalement le félin les emmena a l'endroit ou le rat avait fait son trou, et Tely et Lucien descendirent du dos de Dorian (qui faisaient peur au habitants de la ville). La jeune femme commença a se pencher pour voir si il y'avait un survivant, lorsque le second du samouraï la pris par le col et la tira en arrière.
Lucien : fais gaffe...
Tely : mais...
Le rat : ZANMATO!
Un trou se fit dans les débris, l'onde de l'attaque passa pas loin de la tête de Tely et le rongeur dans sa forme de rat habituel, sortit des décombres, l'air fatigué.
Il se hissa ensuite a la hauteur de son second, et regarda les deux membres de son équipe...
Lucien : il avait l'air fort, papy!
Le rat : foutu malédiction, oui! J'en ai claqué du jus pour pas grand chose...
Tely : c'était qui ce mec au yeux bleu?
Le rat : boh, c'est un type que je connais, j'avais confier a Lucien un objet permettant de l'appeler a la rescousse.
Lucien : bon si on rentraient? Je suis a plat la...
Le rat : bonne idée... Arcane d'espace : Tunnel.
Un trou dans l'espace apparu et Lucien commença a guider Dorian vers le trou, l'animal, peu convaincu du bien fondé de l'idée.
Le rat : heu tu veux pas l'emmener a la base, non?
Lucien : ben si, c'est mon pote!
Tely : heu je suis pas sur que...
Lucien n''avait pas attendu que l'on conteste sa décision et était passé au travers le portail.
Le rat (passant la porte a son tour): tu parle d'un pote qui dépote. Enfin, je suis plus a ca prêt.
Tely (suivant les autres) : mais c'est un animal sauvage...
Une fois le groupe revenus ce fut une sacré galère a la base, le rat devant stopper les recherche, remettre ses officiers a leur place, et bien sur avertir tout le monde qu'il était sauf. Ce ne fut que le lendemain que toute l'équipe se retrouva au complet dans la salle infinie. Cette fois ci le décors était celui d'une clairière au milieu d'une forêt de conifères en automne, et l'on pouvait observer toute les nuances de marrons possible et imaginable. Dorian courrait insouciant dans les bois, tendis que tout le monde s'était réunis autour d'une pierre, assis a même le sol, en cercle.
Lucien : bon ben en tout cas, ca manque pas de marrons ici!
Le rat : mare des rond...
Eric : dites il s'est passé quoi au juste pendant que j'etait dans les vapes?
Lucien : le pote du rat a explosée un type',puis l'invocation, et ensuite le rat a battu l'autre fou. Moi ce que je me demande c'est ce qu'il s'est passé pendant qu'il est arriver a Tely et au rat.
Mira : un pote au rat? Le type a tête de serpent?
Tely : non, un mec qui est venu de nulle part...
Le rat : pour mon « pote » je pense qu'on le reverra sous peu, on en reparleras a ce moment la. Pour ce qui nous est arrivé a moi et Tely, et bien nous nous sommes retrouvé au vaisseaux, puis sommes partit sur vos traces. Nous vous rattrapions, lorsque les lillilucien nous sont tombé dessus. Alors que nous essayons de fuir, Tely s'est évanoui et j'ai du m'arrêter. Face a moi les petit être se sont arrêter, l'air apeurer. J'ai soupçonnés qu'il connaissaient quelques légende antique dont j'ai eu vent. J'ai donc parler en antique, et après avoir patauger dans la semoule, on a fini par se comprendre. On a diner avec eux, puis on s'est remis en route. Hélas vous aviez trouver un moyens de transport extrêmement véloce, et nous avons perdu un temps fou a votre poursuite, jusqu'à ce qu'on tombe sur Dorian qui nous a emmener a l'endroit que m'indiquait le traceur...
Le tigre était alors venu derrière eux, et commença a grogner.
Tely : il voudrait qu'on lui fasse un peu de place!
Le cercle fut entièrement refais afin d'y intégrer le félin, qui s'était posé entre Lucien et Tely, qui s'était levé afin de lui gratter le dos.
Au milieu des ronronnement de Dorian, les blagues fusaient, et les sourires étaient sur toute les lèvres, même celle du rat qui semblait pourtant bien préoccuper...
Fin du chapitre 14
Ysran : une dernière prière avant de mourir?
Le rat : oui, voici la pleine puissance de ma seconde forme : Le Serviteur d'Orion!
Tout les poils du rat s'hérissèrent alors, le masque se fissura mais resta sur son visage, les oreilles pendantes s'allongèrent jusqu'à son cou, et une paire d'aile vint s'ajouter au quatre paire de bras... Le dessin fais la main sur le masque changea prenant la forme d'un glyphe. Et l'Énergie que le rat dégageait avait balayé l'atmosphère pesante pour la rendre chaude et bienveillante...
Le rat : la dernière passe d'arme...
Ysran : meurt! SACRIFICE!
Le rat : SACRED!
Le scientifique vida toute son énergie dans cette attaque, chacun de ses doigt rayonnant d'une lueur funeste. Lorsque l'attaque fut lancée dix ondes deux choc touchèrent le rat, mais rebondirent sur l'étrange bouclier qu'il avait activer. Pourtant le contact entre les deux libéra tout l'énergie qu'Ysran avait mêlée, provoquant plusieurs centaine d'explosion dans la seconde.... Le plafond s'effondra pour de bon, mais au moment ou le démon voulu s'envoler pour échapper a l'écrasement, il se rendit compte qu'il était entouré d'un halo similaire a celui du rat, et avant qu'il ne puisse comprendre, une explosion lumineuse, formée a partir de l'énergie qu'il avait envoyée au rongeur, le désintégra, ne lui laissant aucune chance de survie...
Lucien, et le reste de la troupe, venait de sortir de la grotte, lorsque cette dernière s'effondra, ce qui eu pour effet d'affaiblir les fondements du mur d'enceinte de la ville sous lequel elle passait. Quelque seconde après, le mur s'écroulait a son tour dans un grincement sinistre.
Le tigre se dirigea alors timidement dans la ville, alors que son maitre voulait au contraire prendre la route des bois. Finalement le félin les emmena a l'endroit ou le rat avait fait son trou, et Tely et Lucien descendirent du dos de Dorian (qui faisaient peur au habitants de la ville). La jeune femme commença a se pencher pour voir si il y'avait un survivant, lorsque le second du samouraï la pris par le col et la tira en arrière.
Lucien : fais gaffe...
Tely : mais...
Le rat : ZANMATO!
Un trou se fit dans les débris, l'onde de l'attaque passa pas loin de la tête de Tely et le rongeur dans sa forme de rat habituel, sortit des décombres, l'air fatigué.
Il se hissa ensuite a la hauteur de son second, et regarda les deux membres de son équipe...
Lucien : il avait l'air fort, papy!
Le rat : foutu malédiction, oui! J'en ai claqué du jus pour pas grand chose...
Tely : c'était qui ce mec au yeux bleu?
Le rat : boh, c'est un type que je connais, j'avais confier a Lucien un objet permettant de l'appeler a la rescousse.
Lucien : bon si on rentraient? Je suis a plat la...
Le rat : bonne idée... Arcane d'espace : Tunnel.
Un trou dans l'espace apparu et Lucien commença a guider Dorian vers le trou, l'animal, peu convaincu du bien fondé de l'idée.
Le rat : heu tu veux pas l'emmener a la base, non?
Lucien : ben si, c'est mon pote!
Tely : heu je suis pas sur que...
Lucien n''avait pas attendu que l'on conteste sa décision et était passé au travers le portail.
Le rat (passant la porte a son tour): tu parle d'un pote qui dépote. Enfin, je suis plus a ca prêt.
Tely (suivant les autres) : mais c'est un animal sauvage...
Une fois le groupe revenus ce fut une sacré galère a la base, le rat devant stopper les recherche, remettre ses officiers a leur place, et bien sur avertir tout le monde qu'il était sauf. Ce ne fut que le lendemain que toute l'équipe se retrouva au complet dans la salle infinie. Cette fois ci le décors était celui d'une clairière au milieu d'une forêt de conifères en automne, et l'on pouvait observer toute les nuances de marrons possible et imaginable. Dorian courrait insouciant dans les bois, tendis que tout le monde s'était réunis autour d'une pierre, assis a même le sol, en cercle.
Lucien : bon ben en tout cas, ca manque pas de marrons ici!
Le rat : mare des rond...
Eric : dites il s'est passé quoi au juste pendant que j'etait dans les vapes?
Lucien : le pote du rat a explosée un type',puis l'invocation, et ensuite le rat a battu l'autre fou. Moi ce que je me demande c'est ce qu'il s'est passé pendant qu'il est arriver a Tely et au rat.
Mira : un pote au rat? Le type a tête de serpent?
Tely : non, un mec qui est venu de nulle part...
Le rat : pour mon « pote » je pense qu'on le reverra sous peu, on en reparleras a ce moment la. Pour ce qui nous est arrivé a moi et Tely, et bien nous nous sommes retrouvé au vaisseaux, puis sommes partit sur vos traces. Nous vous rattrapions, lorsque les lillilucien nous sont tombé dessus. Alors que nous essayons de fuir, Tely s'est évanoui et j'ai du m'arrêter. Face a moi les petit être se sont arrêter, l'air apeurer. J'ai soupçonnés qu'il connaissaient quelques légende antique dont j'ai eu vent. J'ai donc parler en antique, et après avoir patauger dans la semoule, on a fini par se comprendre. On a diner avec eux, puis on s'est remis en route. Hélas vous aviez trouver un moyens de transport extrêmement véloce, et nous avons perdu un temps fou a votre poursuite, jusqu'à ce qu'on tombe sur Dorian qui nous a emmener a l'endroit que m'indiquait le traceur...
Le tigre était alors venu derrière eux, et commença a grogner.
Tely : il voudrait qu'on lui fasse un peu de place!
Le cercle fut entièrement refais afin d'y intégrer le félin, qui s'était posé entre Lucien et Tely, qui s'était levé afin de lui gratter le dos.
Au milieu des ronronnement de Dorian, les blagues fusaient, et les sourires étaient sur toute les lèvres, même celle du rat qui semblait pourtant bien préoccuper...
Fin du chapitre 14
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