Chapitre 291 - La forêt des farfadets
Ragnarok / Taihellef Wars :: L'antre des écrivains :: Schlangan et la fine équipe - Saison 1 Complète :: Livre 41 - L'épreuve des ehbets
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Chapitre 291 - La forêt des farfadets
Schlangan se trouvait donc dans une forêt. Des arbres de natures différentes l'entouraient. La lumière du soleil filtrait au travers du feuillage vert des différents arbres. Une douce brise soufflait dans cette forêt, et l'endroit semblait enchanté. Le paysage semblait paradisiaque et...
Schlangan : Heu, l'auteur, tu comptes nous blablater comme ça ?
Auteur : Pardon ?
Schlangan : Ouais, parce que là ça fait pas mal de chapitres juste pour deux ehbets donc...
Auteur : Et alors ?
Schlangan : Et ben les lecteurs vont en avoir rapidement marre...
Auteur : Urusei. Tu as bien traîné plus de 120 pages avec Tenryuma.
Schlangan : Mais c'est toi qui as décidé de cette histoire super longue encore !
Auteur : Je vois.
Schlangan commença donc à se déplacer et se prit rapidement les pieds dans une racine, ce qui le fit chuter. Etrangement, le sol était plus friable à cet endroit, et Schlangan d'enfonça dedans. Puis, sa force exagérée déracina légèrement l'arbre propriétaire de la racine qu'il l'avait fait choir, et l'arbre en question s'abattit sur le flanc, droit sur Schlangan, qui se retrouva enseveli sous le tronc vengeur de l'auteur, en rime.
Schlangan : ... Si Mathias était là il dirait que l'arbre n'a pas pu tomber là où je suis...
Auteur : Et il dirait aussi que tu ne peux pas parler en étant enseveli.
Schlangan : ...
Schlangan poussa l'arbre qui lui était tombé dessus, et se releva, maudissant son irrespect envers l'auteur de l'histoire, et se disant qu'il devrait plutôt tourner 666 fois sa langue dans sa bouche avant de parler la prochaine fois...
Schlangan : 666 fois ? Non mais c'est beaucoup trop long !
Auteur : Naïf. ENTREE.
Schlangan : Ah n.. Je m'excuse ô grand auteur, je ne recommencerai plus. Arg !
Auteur : Tu avais oublié ce petit programme *SHTING*
Schlangan : Bon, bon, d'accord ! Si on reprenait, car là ça allonge encore !
Auteur : La faute à qui ?
Schlangan : ...
Schlangan commença alors à errer dans la forêt, lorsqu'il entendit un bruissement non loin de lui. Il se retourna dans la direction correspondante, mais ne put rien déceler. Il avança par là, et se retrouva rapidement face à une sorte de statue. Elle était composée de bois uniquement, et représentait un petit bonhomme ridé, fripé, au teint brunâtre, haut d'un demi-mètre, vêtu de loques brunes en haillons.
Schlangan : Qu'est-ce que c'est que ce truc ? Un gnome ?
Un autre bruit se fit entendre non loin de là, et Schlangan bondit dans cette direction, et arriva nez à nez face à faon. L'animal en question était blessé à la patte, et se déplaçait difficilement.
Schlangan : Heu... Tu n'as pas l'intention de me transformer en âme charitable l'auteur ?
*Aucune réponse*
Schlangan : Tsk. Il répond quand il veut. Bon, allez, faisons la BA de la journée.
Schlangan se rapprocha du faon et lui transmis un peu d'énergie pour accélérer sa vitesse de guérison. La patte ne fut pas totalement guérie, mais le faon semblait aller un petit peu mieux.
Schlangan : Hmfl. Je ne peux pas soigner les gens comme Voice moi. Bah, ça devrait suffire.
???? : Oh zyva, il a soigné not' proie !
¿¿¿¿ : Bah pas grav' ! Il a ptet plu's de thune pour nous !
Schlangan se retourna, et mit quelques instants avant de réaliser qu'il ne rêvait pas. En effet, un cerf et un tigre se trouvaient derrière lui. Mais le plus étrange était que les deux animaux portaient un blouson en cuir et des lunettes de soleil.
Schlangan : Mais non, ce n'est pas possible.
Cerf : De quoi ? Fait gaffe comment tu nous parles toi !
Tigre : Qu'est-ce que tu crois qu'est pas possible !
Schlangan : Un cerf et un tigre ne peuvent pas parler, et de surcroît porter des lunettes et un blouson.
Cerf : Quoi ? Et un serpent qui porte un kimono et un katana tu crois que c'est mieux ?
Schlangan : Hmmm. Tu marques un point.
Tigre : Bon tu vois mon gars on est à court de monnaie, donc t'vas nous en filer l'ami, si tu vois ce que je veux dire...
Schlangan : Non, je ne vois pas.
Tigre : QUOI ?! J'crois mon pote que tu d'vrais pas fair l'malin !
Schlangan : L'arbre a dû me frapper la tête plus fort que je ne croyais. Non seulement ces bestioles sont anormales, mais en plus elles se prennent pour des racailles.
Cerf : J'crois qu'i va falloir lui montrer qui c'est qui commande ici !
Schlangan : En plus elles parlent mal... Amusons-nous, puisque je délire.
Le cerf se fit voler ses lunettes sans rien comprendre. Schlangan venait les prendre, et les mis. Puis, il mis ses mains dans ses poches, et regarda les deux animaux d'un air hautain.
Schlangan : Hmmm ? Non mais qu'est-ce qui m'veux le p'tit ? Tu sais pas à qui tu causes, mon pote ! Arrache-toi où j'te fous une mandale !
Cerf, Tigre : ...
Schlangan : Bah alors, moi aussi j'peux jouer la racaille ! Zyva ! Ramenez-vous !
Schlangan fit alors un geste provoquant devant les deux, qui en eurent plus qu'assez. Le tigre bondit sur Schlangan dans l'idée de le mordre à la gorge, tandis que le cerf fonça sur Schlangan pour lui briser quelques côtes. Le tigre se prit une pichenette qui l'envoya voler au travers du tronc d'un arbre qui s'effondra sur le cerf. Les deux furent mis K.O sur le coup. Schlangan enleva ses lunettes et les jeta devant le cerf inconscient.
Schlangan : Bande d'idiots.
???? : Waouh vous êtes super fort !
Schlangan se retourna une nouvelle fois, et vit que cette fois c'était le faon qui avait parlé, et celui-ci semblait visiblement émerveillé.
Faon : Génial ! Génial ! Vous pouvez m'apprendre ?
Schlangan : Holà calme toi Bambi je... MAIS C'EST QUOI CETTE RÉPLIQUE À LA CON DANS LE SCRIPT ?!
Auteur : Mince. Il a capté.
Schlangan : Bon je vais changer ça... Holà calme toi un peu ! Je n'ai rien à apprendre aux gens, ou aux faons.
Faon : Maisheu...
Schlangan : Tu ne devrais pas retourner voir tes parents, gamin ? (Bordel je dois vraiment être assommé pour me mettre à parler comme ça)
Faon : Je ne sais pas où ils sont.
Schlangan : Il ne manque plus que le "Accepter quête : Les parents perdus du petit faon"
Faon : Accepter quête : Les parents perdus du petit faon
Schlangan : MAIS NE RÉPÈTE PAS ÇA !
Faon : Mais vous avez dit...
Schlangan : Laisse tomber.
Faon : Mais je ne tiens rien.
Schlangan : ...
Faon : Pourquoi vous dites trois points à la suite ?
Schlangan : Raaah ! L'auteur ! Qu'est-ce que tu m'as collé là ?!
*Aucune réponse*
Schlangan : ...
Faon : Bah moi aussi alors ! Point point point !
Schlangan : Je savais bien que j'aurais pas dû l'aider... Bon allez, suis moi, le faon !
Faon : D'accord !
Schlangan et le faon se mirent donc en route dans la forêt. Le faon ne cessait de poser des question fatigantes, et Schlangan avait la flemme de répondre, lorsque tout à coup émergèrent des fourrés plusieurs créatures, en passant par des lions, tigres, renards, cerfs, bisons, éléphants, tous vêtus telles des racailles, blouson de cuir et lunettes noires. Les deux précédents adversaires étaient également là.
Schlangan : Impossible !
Tigre : Héhé, tu fais moins le malin là !
Schlangan : Comment des lunettes de soleil pour éléphant ont-elles pu être créées ? Elles sont énormes !
Tigre : ...
Faon : Lui aussi il a dit point point point !
Schlangan : Bon vous ne pourriez pas dégager de là, vous bouchez la route ?
Loup : Quoi ? Zyva mon pote ! T'as pas vu tout le nombre ?
Schlangan : Et ? Une poussière ou vingt poussières, je ne vois pas la différence...
Cerf : QUUUUOI ?!!!
Lion : Il suffit. Il vous provoque, ne tombez pas dans son jeu.
Schlangan : Oh ? On dirait qu'il y en a un qui réfléchis un peu.
Lion : Je suis le chef de ce gang, et les frais d'hospitalisation des deux ici présents ont été très élevés, tu vois ce que je veux dire ?
Schlangan : Que tu maudis le monde d'avoir des subordonnés si incompétents ?
Lion : Hmf. Belle répartie. Je vois que tu as récupéré le petit faon là, il cherche toujours ses parents ? Quelle blague ! Ils l'ont abandonné depuis longtemps !
Faon : Ce n'est pas vrai !
Lion : Je te laisse à tes désillusions, gamin.
Schlangan : Oui laisse-le à ses désillusions si tu veux, mais moi j'ai besoin que ta clique disparaisse de mon chemin.
Lion : Je ne crois pas que ce soit possible.
Schlangan : Je compte jusqu'à cinq. Un.
Elephant : Laisse-le moi, il va comprendre sa douleur.
Schlangan : Deux.
Lion : Fais-comme tu veux.
Schlangan : Cinq. RENSA DRAGON THUNDER.
Schlangan envoya sa chaîne d'éclairs sur l'assemblée et mit K.O. toutes les créatures présentes, excepté le lion qui avait bondit en arrière de justesse, ainsi qu'un renard qui s'était caché derrière l'éléphant.
Lion : Raclure ! Tu appelles ça compter jusqu'à cinq ?!
Schlangan : Je n'ai jamais dit que je comptais un par un.
Renard : Il est malin le bougre.
Schlangan : C'est vous qui n'êtes pas très futés...
Le lion bondit alors sur Schlangan, qui lui mit un coup de pied, l'envoyant voler au-delà de la cime des arbres. Le renard en resta bouche bée, puis le lion retomba quelques secondes plus tard. Il était inconscient également.
Schlangan : Peuh.
Renard : Heu.... Bravo, maître ! Je n'en attendais pas moins de v...
Mais Schlangan avait déjà mis une baffe au renard qui vola plusieurs mètres plus loin. Puis Schlangan et le faon reprirent leur route.
Faon : Pourquoi vous avez attaqué le renard ?
Schlangan : Il aurait essayé de nous attaquer dans le dos, c'est bien son type.
Faon : Ah d'accord.
Schlangan et le faon continuèrent d'avancer, sans que plus rien ne viennent déranger leur voyage. Puis, ils finirent par apercevoir une clairière un petit peu plus loin. Ils s'y dirigèrent, et lorsqu'ils y mirent les pieds, le corps du faon devint lumineux, et celui-ci se métamorphosa en enfant humain !
Schlangan : Nnng ?
Enfaon : Ah, chic ! J'ai repris ma forme humaine !
Schlangan : ...
Enfaon : Suivez-moi, ça veut dire qu'on a retrouvé mon village !
L'enfaon se mit alors à courir dans la clairière. Schlangan le suivit, et ils arrivèrent au bout de quelques temps devant un rempart de bois, composé de troncs d'arbres accolés les uns aux autres, et taillés en pointe sur le haut. Ils longèrent le mur de bois, et arrivèrent finalement à une entrée, où se trouvaient deux personnes montant visiblement la garde.
Garde A : Halte-là ! Identifiez-vous !
Garde B : Regarde, c'est Fan !
Enfaon : On a réussi !
Schlangan : Encore un qui s'est foulé sur le nom...
Un des troncs commença à vibrer dangereusement, peut-être, pour rappeler quelqu'un à l'ordre. Les deux gardes s'approchèrent alors de Schlangan.
Garde A : Et vous êtes ?
Schlangan : Un voyageur.
Garde B : Vous n'êtes pas humain visiblement.
Schlangan : Observateur.
Garde B : Surveillez votre langue !
Fan : Il est avec moi ! C'est lui qui m'a sorti de la forêt !
Garde A : Dans ce cas, on peut le laisser passer, mais nous allons vont conduire aux parents du petit.
Schlangan : Très bien.
Schlangan entra donc dans le village avec l'un des deux gardes, suivi par le petit Fan. Le village possédait des maisons visiblement composées uniquement de bois. L'allée centrale était démarquée par des branches placées en treillis sur les côtés. Très rapidement, le groupe s'arrêta devant une maison, et le garde s'apprêta à frapper à la porte, lorsque celle-ci s'ouvrit. Une femme en sortit, suivie d'une femme plus âgée.
Jeune femme : Fan est revenu ! C'est bien ça ?!
Garde A : Heu... Oui.
Jeune femme : Tu avais raison, maman !
Vieille femme : Bien évidemment ! Mes prévisions sont toujours exactes. Et normalement il est accompagné d'un humanoïde serpent nommé Schlangan, n'est-ce pas ?
Schlangan : Hmmm ?
Garde A : Nous ne lui avons pas demandé son nom, mais...
Schlangan : C'est bien çà.
Vieille femme : Soyez le bienvenu dans l'ehbet du bois, cher challenger !
Schlangan : ... Merci.
Suite au prochain chapitre.
Schlangan : Heu, l'auteur, tu comptes nous blablater comme ça ?
Auteur : Pardon ?
Schlangan : Ouais, parce que là ça fait pas mal de chapitres juste pour deux ehbets donc...
Auteur : Et alors ?
Schlangan : Et ben les lecteurs vont en avoir rapidement marre...
Auteur : Urusei. Tu as bien traîné plus de 120 pages avec Tenryuma.
Schlangan : Mais c'est toi qui as décidé de cette histoire super longue encore !
Auteur : Je vois.
Schlangan commença donc à se déplacer et se prit rapidement les pieds dans une racine, ce qui le fit chuter. Etrangement, le sol était plus friable à cet endroit, et Schlangan d'enfonça dedans. Puis, sa force exagérée déracina légèrement l'arbre propriétaire de la racine qu'il l'avait fait choir, et l'arbre en question s'abattit sur le flanc, droit sur Schlangan, qui se retrouva enseveli sous le tronc vengeur de l'auteur, en rime.
Schlangan : ... Si Mathias était là il dirait que l'arbre n'a pas pu tomber là où je suis...
Auteur : Et il dirait aussi que tu ne peux pas parler en étant enseveli.
Schlangan : ...
Schlangan poussa l'arbre qui lui était tombé dessus, et se releva, maudissant son irrespect envers l'auteur de l'histoire, et se disant qu'il devrait plutôt tourner 666 fois sa langue dans sa bouche avant de parler la prochaine fois...
Schlangan : 666 fois ? Non mais c'est beaucoup trop long !
Auteur : Naïf. ENTREE.
Schlangan : Ah n.. Je m'excuse ô grand auteur, je ne recommencerai plus. Arg !
Auteur : Tu avais oublié ce petit programme *SHTING*
Schlangan : Bon, bon, d'accord ! Si on reprenait, car là ça allonge encore !
Auteur : La faute à qui ?
Schlangan : ...
Schlangan commença alors à errer dans la forêt, lorsqu'il entendit un bruissement non loin de lui. Il se retourna dans la direction correspondante, mais ne put rien déceler. Il avança par là, et se retrouva rapidement face à une sorte de statue. Elle était composée de bois uniquement, et représentait un petit bonhomme ridé, fripé, au teint brunâtre, haut d'un demi-mètre, vêtu de loques brunes en haillons.
Schlangan : Qu'est-ce que c'est que ce truc ? Un gnome ?
Un autre bruit se fit entendre non loin de là, et Schlangan bondit dans cette direction, et arriva nez à nez face à faon. L'animal en question était blessé à la patte, et se déplaçait difficilement.
Schlangan : Heu... Tu n'as pas l'intention de me transformer en âme charitable l'auteur ?
*Aucune réponse*
Schlangan : Tsk. Il répond quand il veut. Bon, allez, faisons la BA de la journée.
Schlangan se rapprocha du faon et lui transmis un peu d'énergie pour accélérer sa vitesse de guérison. La patte ne fut pas totalement guérie, mais le faon semblait aller un petit peu mieux.
Schlangan : Hmfl. Je ne peux pas soigner les gens comme Voice moi. Bah, ça devrait suffire.
???? : Oh zyva, il a soigné not' proie !
¿¿¿¿ : Bah pas grav' ! Il a ptet plu's de thune pour nous !
Schlangan se retourna, et mit quelques instants avant de réaliser qu'il ne rêvait pas. En effet, un cerf et un tigre se trouvaient derrière lui. Mais le plus étrange était que les deux animaux portaient un blouson en cuir et des lunettes de soleil.
Schlangan : Mais non, ce n'est pas possible.
Cerf : De quoi ? Fait gaffe comment tu nous parles toi !
Tigre : Qu'est-ce que tu crois qu'est pas possible !
Schlangan : Un cerf et un tigre ne peuvent pas parler, et de surcroît porter des lunettes et un blouson.
Cerf : Quoi ? Et un serpent qui porte un kimono et un katana tu crois que c'est mieux ?
Schlangan : Hmmm. Tu marques un point.
Tigre : Bon tu vois mon gars on est à court de monnaie, donc t'vas nous en filer l'ami, si tu vois ce que je veux dire...
Schlangan : Non, je ne vois pas.
Tigre : QUOI ?! J'crois mon pote que tu d'vrais pas fair l'malin !
Schlangan : L'arbre a dû me frapper la tête plus fort que je ne croyais. Non seulement ces bestioles sont anormales, mais en plus elles se prennent pour des racailles.
Cerf : J'crois qu'i va falloir lui montrer qui c'est qui commande ici !
Schlangan : En plus elles parlent mal... Amusons-nous, puisque je délire.
Le cerf se fit voler ses lunettes sans rien comprendre. Schlangan venait les prendre, et les mis. Puis, il mis ses mains dans ses poches, et regarda les deux animaux d'un air hautain.
Schlangan : Hmmm ? Non mais qu'est-ce qui m'veux le p'tit ? Tu sais pas à qui tu causes, mon pote ! Arrache-toi où j'te fous une mandale !
Cerf, Tigre : ...
Schlangan : Bah alors, moi aussi j'peux jouer la racaille ! Zyva ! Ramenez-vous !
Schlangan fit alors un geste provoquant devant les deux, qui en eurent plus qu'assez. Le tigre bondit sur Schlangan dans l'idée de le mordre à la gorge, tandis que le cerf fonça sur Schlangan pour lui briser quelques côtes. Le tigre se prit une pichenette qui l'envoya voler au travers du tronc d'un arbre qui s'effondra sur le cerf. Les deux furent mis K.O sur le coup. Schlangan enleva ses lunettes et les jeta devant le cerf inconscient.
Schlangan : Bande d'idiots.
???? : Waouh vous êtes super fort !
Schlangan se retourna une nouvelle fois, et vit que cette fois c'était le faon qui avait parlé, et celui-ci semblait visiblement émerveillé.
Faon : Génial ! Génial ! Vous pouvez m'apprendre ?
Schlangan : Holà calme toi Bambi je... MAIS C'EST QUOI CETTE RÉPLIQUE À LA CON DANS LE SCRIPT ?!
Auteur : Mince. Il a capté.
Schlangan : Bon je vais changer ça... Holà calme toi un peu ! Je n'ai rien à apprendre aux gens, ou aux faons.
Faon : Maisheu...
Schlangan : Tu ne devrais pas retourner voir tes parents, gamin ? (Bordel je dois vraiment être assommé pour me mettre à parler comme ça)
Faon : Je ne sais pas où ils sont.
Schlangan : Il ne manque plus que le "Accepter quête : Les parents perdus du petit faon"
Faon : Accepter quête : Les parents perdus du petit faon
Schlangan : MAIS NE RÉPÈTE PAS ÇA !
Faon : Mais vous avez dit...
Schlangan : Laisse tomber.
Faon : Mais je ne tiens rien.
Schlangan : ...
Faon : Pourquoi vous dites trois points à la suite ?
Schlangan : Raaah ! L'auteur ! Qu'est-ce que tu m'as collé là ?!
*Aucune réponse*
Schlangan : ...
Faon : Bah moi aussi alors ! Point point point !
Schlangan : Je savais bien que j'aurais pas dû l'aider... Bon allez, suis moi, le faon !
Faon : D'accord !
Schlangan et le faon se mirent donc en route dans la forêt. Le faon ne cessait de poser des question fatigantes, et Schlangan avait la flemme de répondre, lorsque tout à coup émergèrent des fourrés plusieurs créatures, en passant par des lions, tigres, renards, cerfs, bisons, éléphants, tous vêtus telles des racailles, blouson de cuir et lunettes noires. Les deux précédents adversaires étaient également là.
Schlangan : Impossible !
Tigre : Héhé, tu fais moins le malin là !
Schlangan : Comment des lunettes de soleil pour éléphant ont-elles pu être créées ? Elles sont énormes !
Tigre : ...
Faon : Lui aussi il a dit point point point !
Schlangan : Bon vous ne pourriez pas dégager de là, vous bouchez la route ?
Loup : Quoi ? Zyva mon pote ! T'as pas vu tout le nombre ?
Schlangan : Et ? Une poussière ou vingt poussières, je ne vois pas la différence...
Cerf : QUUUUOI ?!!!
Lion : Il suffit. Il vous provoque, ne tombez pas dans son jeu.
Schlangan : Oh ? On dirait qu'il y en a un qui réfléchis un peu.
Lion : Je suis le chef de ce gang, et les frais d'hospitalisation des deux ici présents ont été très élevés, tu vois ce que je veux dire ?
Schlangan : Que tu maudis le monde d'avoir des subordonnés si incompétents ?
Lion : Hmf. Belle répartie. Je vois que tu as récupéré le petit faon là, il cherche toujours ses parents ? Quelle blague ! Ils l'ont abandonné depuis longtemps !
Faon : Ce n'est pas vrai !
Lion : Je te laisse à tes désillusions, gamin.
Schlangan : Oui laisse-le à ses désillusions si tu veux, mais moi j'ai besoin que ta clique disparaisse de mon chemin.
Lion : Je ne crois pas que ce soit possible.
Schlangan : Je compte jusqu'à cinq. Un.
Elephant : Laisse-le moi, il va comprendre sa douleur.
Schlangan : Deux.
Lion : Fais-comme tu veux.
Schlangan : Cinq. RENSA DRAGON THUNDER.
Schlangan envoya sa chaîne d'éclairs sur l'assemblée et mit K.O. toutes les créatures présentes, excepté le lion qui avait bondit en arrière de justesse, ainsi qu'un renard qui s'était caché derrière l'éléphant.
Lion : Raclure ! Tu appelles ça compter jusqu'à cinq ?!
Schlangan : Je n'ai jamais dit que je comptais un par un.
Renard : Il est malin le bougre.
Schlangan : C'est vous qui n'êtes pas très futés...
Le lion bondit alors sur Schlangan, qui lui mit un coup de pied, l'envoyant voler au-delà de la cime des arbres. Le renard en resta bouche bée, puis le lion retomba quelques secondes plus tard. Il était inconscient également.
Schlangan : Peuh.
Renard : Heu.... Bravo, maître ! Je n'en attendais pas moins de v...
Mais Schlangan avait déjà mis une baffe au renard qui vola plusieurs mètres plus loin. Puis Schlangan et le faon reprirent leur route.
Faon : Pourquoi vous avez attaqué le renard ?
Schlangan : Il aurait essayé de nous attaquer dans le dos, c'est bien son type.
Faon : Ah d'accord.
Schlangan et le faon continuèrent d'avancer, sans que plus rien ne viennent déranger leur voyage. Puis, ils finirent par apercevoir une clairière un petit peu plus loin. Ils s'y dirigèrent, et lorsqu'ils y mirent les pieds, le corps du faon devint lumineux, et celui-ci se métamorphosa en enfant humain !
Schlangan : Nnng ?
Enfaon : Ah, chic ! J'ai repris ma forme humaine !
Schlangan : ...
Enfaon : Suivez-moi, ça veut dire qu'on a retrouvé mon village !
L'enfaon se mit alors à courir dans la clairière. Schlangan le suivit, et ils arrivèrent au bout de quelques temps devant un rempart de bois, composé de troncs d'arbres accolés les uns aux autres, et taillés en pointe sur le haut. Ils longèrent le mur de bois, et arrivèrent finalement à une entrée, où se trouvaient deux personnes montant visiblement la garde.
Garde A : Halte-là ! Identifiez-vous !
Garde B : Regarde, c'est Fan !
Enfaon : On a réussi !
Schlangan : Encore un qui s'est foulé sur le nom...
Un des troncs commença à vibrer dangereusement, peut-être, pour rappeler quelqu'un à l'ordre. Les deux gardes s'approchèrent alors de Schlangan.
Garde A : Et vous êtes ?
Schlangan : Un voyageur.
Garde B : Vous n'êtes pas humain visiblement.
Schlangan : Observateur.
Garde B : Surveillez votre langue !
Fan : Il est avec moi ! C'est lui qui m'a sorti de la forêt !
Garde A : Dans ce cas, on peut le laisser passer, mais nous allons vont conduire aux parents du petit.
Schlangan : Très bien.
Schlangan entra donc dans le village avec l'un des deux gardes, suivi par le petit Fan. Le village possédait des maisons visiblement composées uniquement de bois. L'allée centrale était démarquée par des branches placées en treillis sur les côtés. Très rapidement, le groupe s'arrêta devant une maison, et le garde s'apprêta à frapper à la porte, lorsque celle-ci s'ouvrit. Une femme en sortit, suivie d'une femme plus âgée.
Jeune femme : Fan est revenu ! C'est bien ça ?!
Garde A : Heu... Oui.
Jeune femme : Tu avais raison, maman !
Vieille femme : Bien évidemment ! Mes prévisions sont toujours exactes. Et normalement il est accompagné d'un humanoïde serpent nommé Schlangan, n'est-ce pas ?
Schlangan : Hmmm ?
Garde A : Nous ne lui avons pas demandé son nom, mais...
Schlangan : C'est bien çà.
Vieille femme : Soyez le bienvenu dans l'ehbet du bois, cher challenger !
Schlangan : ... Merci.
Suite au prochain chapitre.
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