Chapitre 348 - Arrivée divisée
Ragnarok / Taihellef Wars :: L'antre des écrivains :: Schlangan et la fine équipe - Saison 1 Complète :: Livre 43 - Le talisman de la terre
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Chapitre 348 - Arrivée divisée
Des débris... voilà ce qu'il restait d'un vaisseau qui se trouvait là quelques instants plus tôt. Effectivement, sans aucun ménagement, le vaisseau de la fine équipe fut anéanti. Rébellion rime avec destruction. Ainsi cette histoire peut prendre fin, terminant une bonne fois pour toutes une ode qui n'aurait pu être que trop longue... Mais avant de clore définitivement ce roman, intéressons-nous aux événements de cette planète. Juste en-dessous du point de destruction se trouvait une ville, régie par des créatures similaires à celles qui avaient détruit le vaisseau.
Une charette avançait dans une rue sombre, et les premiers rayons du soleil avoisinant commençaient à dépasser de l'horizon. La charrette était dirigée par un homme méduse, qui agitait fébrilement les rennes, faisant claquer le cuir sur la peau... d'un humain. Une femme méduse se trouvait aux côtés de l'homme.
Homme méduse : Dépêche-toi d'avancer ! Le jour va se lever.
Femme méduse : Allons, allons, nous pourrons bientôt changer d'humain à la prochain écurie. Nous avons fait la partie la plus difficile.
Homme méduse : Oui, tu as raison. Mais ce feu d'artifice dans le ciel ne présage rien de bon....
Femme méduse : Allons, tu t'en fais trop, continuons la route.
L'homme méduse reclaqua les rennes, et la charrette repris sa route, tirée par l'humain. Mais tout à coup, le sol se mit à trembler, et les différents hommes méduses errant dans les rues s'abaissèrent le plus bas possible. L'homme qui dirigeait la charrette fit s'arrêter le cheval, et il resta camouflé dans l'ombre.
Homme méduse : C'est pas vrai ! Elle est déjà là !
Femme méduse : Ne bougeons pas, et tout ira bien.
En amont de la rue principale avançait une procession bien étrange. Cette fois, quatre hommes méduses transportaient une femme humaine, aux cheveux blonds, qui regardait tous les autre hommes méduses comme des moins que rien. Tous étaient prostrés devant cette étrange femme. Lorsque celle-ci passa devant la rue où étaient dissimulés la charrette, la procession s'arrêta.
Femme : Ecoutez bien, déchets. Vous savez tous que ce rebeller devant ma magnificence ne peut pas exister. Or, certains d'entre vous ont cru bon, d'agir contre moi. Ainsi... Que le châtiment s'abatte.
La femme tendit le bras vers la rue, et une boule de vent partit de sa main. Une gigantesque explosion se produisit, rasant une vingtaine de pâtés de maison d'un seul coup, et annihilant par la même occasion la charrette dissimulée.
Femme : Que cela vous serve de leçon. Et tant que j'y suis...
La femme fit apparaître deux fils de vent et trancha la tête de plusieurs prostrés sur les côtés.
Femme : Ce sont les intérêts.. Ha ha ha ha ha ha ha !!!
Et la procession repartit. Une fois qu'elle eut disparu dans le lointain, les êtres méduses se relevèrent.
Homme méduse A : Quelle monstre ! Elle a rasé tout une partie de la ville !!
Femme méduse A : Mais nous ne pouvons rien contre elle...
Homme méduse B : J'aimerais tant que quelqu'un vienne nous débarrasser du joug de cette abomination !
Femme méduse B : Chut ! pas trop fort ! Ils pourraient nous entendre...
Regardons maintenant, d'autres endroits de la planète... Visiblement plusieurs régimes coexstaient... Cette femme dirigeait les êtres méduses qui dirigeaient certains êtres humains. Dans une ville proche de celle où l'incident eut lieu, des humains venaient de trouver quelque chose d'extraordinaire... Un être de leur race venait de tomber du ciel. Il avait des cheveux roux, était de petite stature, vêtu légèrement, d'un simple T-shirt et d'un short, et dormait avec un visage totalement paisible.
Humain A : Qui est-ce ?
Humain B : Je ne sais pas, il vient de tomber du ciel.
Humain C : Il doit être mort...
Humain D : Non, il semble indemne.
Humain A : Ce n'est pas possible...
Humain B : Visiblement, si.
Humain C : Il y a marqué "Voice" sur ses habits, c'est une voix ? Une révélation du ciel ?
Humain D : Ça m'a l'air tiré par les cheveux...
A ce moment, le tombé du ciel, donc comme tout le monde l'a compris, Voice, se réveilla, devant les yeux ébahis des spectateurs de sa chute.
Voice : Ah, j'ai bien dormi. Tiens, où suis-je ?
Humain A : La vache, il est vraiment indemne.
Humain B : Que... qui êtes vous ?
Voice : Moi ? Je suis venu avec des gens chercher quelque chose sur cette planète, mais notre vaisseau a été détruit.
Humain C : Et vous êtes vivant ?
Voice : On a tous sauté dans le téléporteur, sauf le commandant, et visiblement il y a eu une surcharge, et on a atterri n'importe comment.
Humain D : Qui a détruit votre vaisseau ?
Voice : Des poulpes.
Humain A : Poulpe ? Vous voulez dire les Medusæ ?
Voice : Heu, peut être, enfin bref, il faut que je retrouve les autres.
Voice se leva, et commença à partir. Mais il s'arrêta rapidement, en s'enquérant d'un plan quelconque. Laissons-le là, et allons maintenant voir dans une autre ville, peuplée une nouvelle fois de ces Medusæ. Explorons sensiblement la ville, et intéressons-nous au quartier pénitencier. Dans l'une des cellules se trouvent deux personne relativement connues également.
Mathias : .. et donc nous pouvons enfin dire que nous sommes coincés.
Van't Folth : Rrrr.. zzzz...
Mathias : Van't Folth , tu dors ?
Van't Folth : Hein ? Ah désolé, quelle heure est-il ? Ah... Ça fait 30 minutes que tu as commencé à résumer la situation.
Mathias : Oui, je viens de finir, dois-je répéter ?
Van't Folth : Non non, ça ira... Bref, tout ça, je suppose, pour dire que le téléporteur a déraillé et qu'on nous a collé en prison pendant que nous étions assommés.
Mathias : Oui.
Van't Folth : C'est bien ce que je pensais...
Un homme méduse, visiblement un garde, arriva alors devant leur cellule.
Homme méduse : Ne vous en faites pas mes gaillards, vous serez bientôt interrogés !
Van't Fotlh : Intéressante perspective.
Mathias : Je plussoie.
Homme méduse : Vous ferez moins les malins à ce moment là mes cocos !
Laissons nos deux prisonniers et allons regarder ailleurs. Prenons cette fois-ci une autre ville, visiblement peuplée d'humains richement vêtus. Au détour d'une rue, une personne avait atterri à côté d'ordures laissées dans le coin. Une odeur de brûlé remplissait la zone, et la température était plutôt élevée... L'homme ayant chuté sur un container à déchets se réveilla, il s'agissait d'Antoine.
Antoine : Ouïlle... Je suis où, là... Hmm... De la lave ?!
Antoine ne put s'empêcher d'être interloqué lorsqu'il vit que les ordures fondaient peu à peu, dans une flaque de lave qui s'étendait dans toute la ruelle.. Mais alors, la flaque cessa de croître, se mit à bouillir pour ensuite prendre la forme... d'un squelette de lave.
Antoine : Ah... Rekiem... Ne me fait pas peur comme ça...
Rekiem : P'heure ? L'heure de l'après midi ?
Antoine : Ce n'est pas le moment de rigoler, je ne sais pas du tout où on est.
Rekiem : Et tu crois sans doute que je le sais plus que toi ?
Antoine : Non.
Rekiem : Bah on a qu'à se balader.
Antoine : Attend !
Rekiem : Ah tend ? Tendre quoi ?
Antoine : Tu ne crois pas qu'un squelette de lave c'est plutôt louche ?
Rekiem : Je suis un squelette, tu l'as dit, pas une louche.
Antoine : Il faudrait quand même éviter de se faire remarquer tant qu'on a pas retrouvé tout le monde.
Rekiem : Bah si l'on est pas re marqués, les autres auront du mal à nous trouver.
Antoine : Ah oui c'est pas bête.
Dans une autre ville un peu plus loin, une Shinigami se réveilla dans une cellule propre, en présence de crétaures humanoïdes plutôt étranges.
Sarah : ...
Humanoïde chatte : Ah elle est réveillée ! Salut toi, t'es nouvelle on dirait !
Sarah : Ou suis-je ?
Humanoïde chatte : Tu es dans la grande arène Introvertia.
Sarah : Je ne connais pas.
Humanoïde chatte : Toi tu ne viens pas de cette planète alors ! Je t'explique vite fait si tu veux.
Sarah : Je veux bien.
Humanoïde chatte : Introvertia est la grande arène ou des combats se déroulent. Toute personne abandonnée dans la ville est envoyée ici, ça lui permet de s'occuper.
Sarah : Drôle d'occupation...
Humanoïde chatte : Bah c'est un boulot comme un autre, on est nourris gratuitement, tout ce qu'on a faire, c'est de se battre ! Bon j'admets les humaines comme toi n'ont pas grand avenir.
Sarah : ...
Humanoïde : Allez j'ai un combat, à tout à l'heure ! Au fait, mon nom est Kaiya !
Sarah : Moi c'est Sarah.
Kaiya partit donc, et nous allons pendant ce temps nous intéresser à une autre ville, remplie... d'êtres, les soldats à la solde des titans. Dans l'ouverture d'une mine effondrée, se trouvait une femme, nommée Katerina, qui reprit conscience. Elle regarda autour d'elle, et vit soudainement un être en forme A se diriger vers elle. Elle attendit qu'il soit proche, et se releva brusquement, donnant un coup de pied dans le ventre de l'être, qui de plia en deux sous le choc. Au moment où Katerina allait donner un nouveau coup, l'être se mit à genoux, l'implorant.
Être : Arrêtez, je vous en prie, je ne vous veux pas de mal !
Katerina : Cause toujours. KUROSHINE !!
L'être bondit en arrière au moment où l'attaque de Katerina allait le toucher, et il parvint à minimiser les dommages, une fois la fumée dissipée, Katerina vit que l'être portait en fait une combinaison, qui faisait apparaître un être humain à la place.
Être : Je vous conjure d'arrêter ! Nous devons partir vite ! Votre explosion va les alerter !
Katerina : Tsk.
Être : Suivez-moi !
L'individu commença à fuir et Katerina se mit à le suivre. L'être rentra dans une autre cave et appuya sur un bouton qui fit s'ouvrir un pan de grotte. Il rentra dedans, et la lumière s'alluma à l'intérieur. Katerina entra également, prête à frapper tout ce qu'il l'attaquerait. Le mur se referma derrière elle, mais elle s'y attendait. En revanche, elle ne s'attendait pas à ce que personne ne l'attaque.
Être : Vous pouvez relâcher votre garde, il n'y a que nous ici.
Katerina : Qui êtes vous ?
Être : Je suis une personne qui a réussi à échapper à la transformation en être.
Katerina : Et ?
Être : Et quand je vous ai vu tomber du ciel, je suis venu pour voir de quoi il s'agissait, et j'ai décidé de vous emmener à l'abri avant que les êtres ne vous voient.
Katerina : ... Cette explication me paraît plutôt légère.
Être : Je me doute bien, je vais vous expliquer plus en détail, maintenant que vous avez décidé d'écouter avant de frapper...
Katerina : Peuh.
Laissons donc l'individu mystérieux expliquer ce dont il s'agit à Katerina, et allons visiter d'autres endroits de la planète.
Katerina : T'as pas bientôt fini de couper toutes les scènes ?!
Auteur : Je vais ce que je veux, c'est plus marrant comme ça !
Katerina : Grrr...
Ailleurs, sur la planète, l'étrange procession qui avait rasé une partie d'une ville venait de rentrer dans un gigantesque palais. La femme descendit de son palanquin, et commença à monter des marches. Une autre femme vint à sa rencontre. Elle lui ressemblait trait pour trait, les deux étaient donc sœurs jumelles.
???? : As-tu fait bon voyage, Idiana ?
Idiana : J'ai anéanti les déchets qui ont voulu se rebeller.
???? : Tu devrais y aller plus doucement, si tu détruit tout, tu n'auras plus rien pour t'amuser.
Idiana : Ridicule, Itiana ! Ils ne comprennent rien, donc autant les anéantir.
Itiana : Tu ne changeras jamais.
Idiana : Pas plus que toi. Quoi de neuf pendant mon absence ?
Itiana : J'ai trouvé deux esclaves qui avaient bonne figure chez le marchand d'esclaves.
Idiana : Ah ?
Itiana : Oui, visiblement le marchand les a trouvés inconscients près du palais.
Idiana : Ce sont des medusæ ou des humains ?
Itiana : Des humains.
Idiana : Qu'est-ce que tu veux que l'on fasse d'humains ? C'est une race encore plus inférieure que les Medusæ !
Itiana : Tu sais bien que mes gardes du corps se promènent toujours avec des détecteurs d'énergie.
Idiana : Et alors ?
Itiana : Il s'agit d'un homme et d'une femme, ils ont respectivement, 2,70 et 2,85 zénos en énergie.
Idiana : Quoi ? Des humains peuvent avoir une énergie supérieure à 0 ? Je n'aurais jamais cru ça.
Itiana : N'est-ce pas ? Ils pourront donc servir.
Idiana : Très bien, mettez leur le bandeau de reconnaissance.
Itiana : C'est déjà fait, ils sont prêts au service.
Idiana : Qu'ils viennent alors.
Itiana : Soit.
Itiana claqua des mains, et l'une des portes s'ouvrit. Deux personnes que nous connaissons bien une nouvelle fois, Michaël et Lauréline, qui portaient un étrange bandeau sur le front, entrèrent et s'agenouillèrent devant les deux femmes.
Michaël : Princesse Itiana, nous sommes à votre service.
Lauréline : Quels sont vos ordres ?
Itiana : Les voilà.
Idiana : Intéressant. Quel est le plus fort de ces deux humains ?
Itiana : L'énergie de la femme est plus élevée.
Idiana : Dans ce cas je te la laisse, toi qui aime bien d'être entourée. Le mâle servira à des tâches de réparation.
Itiana : Bien. Lauréline, tu viens avec moi. Toi, Michaël, va t'enquérir des tâches disponibles.
Michaël et Lauréline : A vos ordres.
Les deux esclaves commencèrent donc à appliquer les ordres. Maintenant, retournons en orbite où les débris du vaisseau de la fine équipe se trouvaient. De nouveaux débris s'étaient amoncelés à cet endroit, et un conflit semblait avoir éclaté en orbite. Regardons de plus près ce qu'il se passait dans les différents vaisseaux. Un humanoïde serpent semblait anéantir toute trace de vie dans les vaisseaux et les conduisait à l'auto destruction.
Schlangan : Misérables ! Mon vaisseau tout neuf ! Je vais détruire tous vos appareils avec vos propres moyens !
Homme méduse : Mais arrêtez le !
Femme méduse : On ne peut même pas le toucher, chef !
Schlangan : VERY LITTLE RENSA DRAGON THUNDER.
Les medusæ présents furent anéantis, et Schlangan activa l'auto destruction du vaisseau où il se trouvait, avant de se téléporter dans le vaisseau suivant avec Katemi Suzure. Le vaisseau explosa et Schlangan était déjà dans la cabine de pilotage du dernier vaisseau de la flotte.
Schlangan : Bien, il ne reste plus que vous, j'irai ensuite sur cette planète détruire vos vaisseaux stationnés.
Homme méduse : Tuez-le !
??? : ARRÊTEZ !!
Les hommes méduses se figèrent au moment où un humain rentra dans la cabine. Les medusæ n'osaient plus bouger.
??? : Vous ne pourrez rien contre lui. Même si vous étiez des millions.
Schlangan : Parfait, je vais donc pouvoir détruire de vaisseau paisiblement.
??? : Je vous conjure de laisser ce vaisseau intact, seigneur Schlangan.
Schlangan : Huh ? Comment connaissez-vous mon nom ?
??? : Les titans vous connaissent parfaitement, seigneur.
Schlangan : Seigneur ? En quel honneur ?
??? : Vous êtes le maître de la planète des mémoires perdues, la grande Naycerl.
Schlangan : ...
??? : Je suis profondément navré de la destruction de votre appareil. Ces êtres inférieurs ne vous connaissent pas.
Schlangan : Allons bon.
??? : Mais je manque à toute étiquette. Permettez-moi de me présenter. Je suis le prince Idiatek, et en l'absence du roi, je gouverne cette planète.
Schlangan : Et donc vous êtes un titan ?
Idiatek : Cela va de soi, seigneur Schlangan. Puis-je connaître le but de votre visite ?
Schlangan : Je suis venu récupérer quelque chose sur cette planète.
Idiatek : Très bien. Dans ce cas nous allons retourner là-bas. Vous ! Conduisez-nous au palais.
Homme méduse : A vos ordres !
Idiatek : Nous discuterons là-bas, et je vous aiderai tant que possible à récupérer l'objet de votre quête.
Schlangan : ... Merci.
Idiatek : Je vous en prie.
Suite au prochain chapitre.
Une charette avançait dans une rue sombre, et les premiers rayons du soleil avoisinant commençaient à dépasser de l'horizon. La charrette était dirigée par un homme méduse, qui agitait fébrilement les rennes, faisant claquer le cuir sur la peau... d'un humain. Une femme méduse se trouvait aux côtés de l'homme.
Homme méduse : Dépêche-toi d'avancer ! Le jour va se lever.
Femme méduse : Allons, allons, nous pourrons bientôt changer d'humain à la prochain écurie. Nous avons fait la partie la plus difficile.
Homme méduse : Oui, tu as raison. Mais ce feu d'artifice dans le ciel ne présage rien de bon....
Femme méduse : Allons, tu t'en fais trop, continuons la route.
L'homme méduse reclaqua les rennes, et la charrette repris sa route, tirée par l'humain. Mais tout à coup, le sol se mit à trembler, et les différents hommes méduses errant dans les rues s'abaissèrent le plus bas possible. L'homme qui dirigeait la charrette fit s'arrêter le cheval, et il resta camouflé dans l'ombre.
Homme méduse : C'est pas vrai ! Elle est déjà là !
Femme méduse : Ne bougeons pas, et tout ira bien.
En amont de la rue principale avançait une procession bien étrange. Cette fois, quatre hommes méduses transportaient une femme humaine, aux cheveux blonds, qui regardait tous les autre hommes méduses comme des moins que rien. Tous étaient prostrés devant cette étrange femme. Lorsque celle-ci passa devant la rue où étaient dissimulés la charrette, la procession s'arrêta.
Femme : Ecoutez bien, déchets. Vous savez tous que ce rebeller devant ma magnificence ne peut pas exister. Or, certains d'entre vous ont cru bon, d'agir contre moi. Ainsi... Que le châtiment s'abatte.
La femme tendit le bras vers la rue, et une boule de vent partit de sa main. Une gigantesque explosion se produisit, rasant une vingtaine de pâtés de maison d'un seul coup, et annihilant par la même occasion la charrette dissimulée.
Femme : Que cela vous serve de leçon. Et tant que j'y suis...
La femme fit apparaître deux fils de vent et trancha la tête de plusieurs prostrés sur les côtés.
Femme : Ce sont les intérêts.. Ha ha ha ha ha ha ha !!!
Et la procession repartit. Une fois qu'elle eut disparu dans le lointain, les êtres méduses se relevèrent.
Homme méduse A : Quelle monstre ! Elle a rasé tout une partie de la ville !!
Femme méduse A : Mais nous ne pouvons rien contre elle...
Homme méduse B : J'aimerais tant que quelqu'un vienne nous débarrasser du joug de cette abomination !
Femme méduse B : Chut ! pas trop fort ! Ils pourraient nous entendre...
Regardons maintenant, d'autres endroits de la planète... Visiblement plusieurs régimes coexstaient... Cette femme dirigeait les êtres méduses qui dirigeaient certains êtres humains. Dans une ville proche de celle où l'incident eut lieu, des humains venaient de trouver quelque chose d'extraordinaire... Un être de leur race venait de tomber du ciel. Il avait des cheveux roux, était de petite stature, vêtu légèrement, d'un simple T-shirt et d'un short, et dormait avec un visage totalement paisible.
Humain A : Qui est-ce ?
Humain B : Je ne sais pas, il vient de tomber du ciel.
Humain C : Il doit être mort...
Humain D : Non, il semble indemne.
Humain A : Ce n'est pas possible...
Humain B : Visiblement, si.
Humain C : Il y a marqué "Voice" sur ses habits, c'est une voix ? Une révélation du ciel ?
Humain D : Ça m'a l'air tiré par les cheveux...
A ce moment, le tombé du ciel, donc comme tout le monde l'a compris, Voice, se réveilla, devant les yeux ébahis des spectateurs de sa chute.
Voice : Ah, j'ai bien dormi. Tiens, où suis-je ?
Humain A : La vache, il est vraiment indemne.
Humain B : Que... qui êtes vous ?
Voice : Moi ? Je suis venu avec des gens chercher quelque chose sur cette planète, mais notre vaisseau a été détruit.
Humain C : Et vous êtes vivant ?
Voice : On a tous sauté dans le téléporteur, sauf le commandant, et visiblement il y a eu une surcharge, et on a atterri n'importe comment.
Humain D : Qui a détruit votre vaisseau ?
Voice : Des poulpes.
Humain A : Poulpe ? Vous voulez dire les Medusæ ?
Voice : Heu, peut être, enfin bref, il faut que je retrouve les autres.
Voice se leva, et commença à partir. Mais il s'arrêta rapidement, en s'enquérant d'un plan quelconque. Laissons-le là, et allons maintenant voir dans une autre ville, peuplée une nouvelle fois de ces Medusæ. Explorons sensiblement la ville, et intéressons-nous au quartier pénitencier. Dans l'une des cellules se trouvent deux personne relativement connues également.
Mathias : .. et donc nous pouvons enfin dire que nous sommes coincés.
Van't Folth : Rrrr.. zzzz...
Mathias : Van't Folth , tu dors ?
Van't Folth : Hein ? Ah désolé, quelle heure est-il ? Ah... Ça fait 30 minutes que tu as commencé à résumer la situation.
Mathias : Oui, je viens de finir, dois-je répéter ?
Van't Folth : Non non, ça ira... Bref, tout ça, je suppose, pour dire que le téléporteur a déraillé et qu'on nous a collé en prison pendant que nous étions assommés.
Mathias : Oui.
Van't Folth : C'est bien ce que je pensais...
Un homme méduse, visiblement un garde, arriva alors devant leur cellule.
Homme méduse : Ne vous en faites pas mes gaillards, vous serez bientôt interrogés !
Van't Fotlh : Intéressante perspective.
Mathias : Je plussoie.
Homme méduse : Vous ferez moins les malins à ce moment là mes cocos !
Laissons nos deux prisonniers et allons regarder ailleurs. Prenons cette fois-ci une autre ville, visiblement peuplée d'humains richement vêtus. Au détour d'une rue, une personne avait atterri à côté d'ordures laissées dans le coin. Une odeur de brûlé remplissait la zone, et la température était plutôt élevée... L'homme ayant chuté sur un container à déchets se réveilla, il s'agissait d'Antoine.
Antoine : Ouïlle... Je suis où, là... Hmm... De la lave ?!
Antoine ne put s'empêcher d'être interloqué lorsqu'il vit que les ordures fondaient peu à peu, dans une flaque de lave qui s'étendait dans toute la ruelle.. Mais alors, la flaque cessa de croître, se mit à bouillir pour ensuite prendre la forme... d'un squelette de lave.
Antoine : Ah... Rekiem... Ne me fait pas peur comme ça...
Rekiem : P'heure ? L'heure de l'après midi ?
Antoine : Ce n'est pas le moment de rigoler, je ne sais pas du tout où on est.
Rekiem : Et tu crois sans doute que je le sais plus que toi ?
Antoine : Non.
Rekiem : Bah on a qu'à se balader.
Antoine : Attend !
Rekiem : Ah tend ? Tendre quoi ?
Antoine : Tu ne crois pas qu'un squelette de lave c'est plutôt louche ?
Rekiem : Je suis un squelette, tu l'as dit, pas une louche.
Antoine : Il faudrait quand même éviter de se faire remarquer tant qu'on a pas retrouvé tout le monde.
Rekiem : Bah si l'on est pas re marqués, les autres auront du mal à nous trouver.
Antoine : Ah oui c'est pas bête.
Dans une autre ville un peu plus loin, une Shinigami se réveilla dans une cellule propre, en présence de crétaures humanoïdes plutôt étranges.
Sarah : ...
Humanoïde chatte : Ah elle est réveillée ! Salut toi, t'es nouvelle on dirait !
Sarah : Ou suis-je ?
Humanoïde chatte : Tu es dans la grande arène Introvertia.
Sarah : Je ne connais pas.
Humanoïde chatte : Toi tu ne viens pas de cette planète alors ! Je t'explique vite fait si tu veux.
Sarah : Je veux bien.
Humanoïde chatte : Introvertia est la grande arène ou des combats se déroulent. Toute personne abandonnée dans la ville est envoyée ici, ça lui permet de s'occuper.
Sarah : Drôle d'occupation...
Humanoïde chatte : Bah c'est un boulot comme un autre, on est nourris gratuitement, tout ce qu'on a faire, c'est de se battre ! Bon j'admets les humaines comme toi n'ont pas grand avenir.
Sarah : ...
Humanoïde : Allez j'ai un combat, à tout à l'heure ! Au fait, mon nom est Kaiya !
Sarah : Moi c'est Sarah.
Kaiya partit donc, et nous allons pendant ce temps nous intéresser à une autre ville, remplie... d'êtres, les soldats à la solde des titans. Dans l'ouverture d'une mine effondrée, se trouvait une femme, nommée Katerina, qui reprit conscience. Elle regarda autour d'elle, et vit soudainement un être en forme A se diriger vers elle. Elle attendit qu'il soit proche, et se releva brusquement, donnant un coup de pied dans le ventre de l'être, qui de plia en deux sous le choc. Au moment où Katerina allait donner un nouveau coup, l'être se mit à genoux, l'implorant.
Être : Arrêtez, je vous en prie, je ne vous veux pas de mal !
Katerina : Cause toujours. KUROSHINE !!
L'être bondit en arrière au moment où l'attaque de Katerina allait le toucher, et il parvint à minimiser les dommages, une fois la fumée dissipée, Katerina vit que l'être portait en fait une combinaison, qui faisait apparaître un être humain à la place.
Être : Je vous conjure d'arrêter ! Nous devons partir vite ! Votre explosion va les alerter !
Katerina : Tsk.
Être : Suivez-moi !
L'individu commença à fuir et Katerina se mit à le suivre. L'être rentra dans une autre cave et appuya sur un bouton qui fit s'ouvrir un pan de grotte. Il rentra dedans, et la lumière s'alluma à l'intérieur. Katerina entra également, prête à frapper tout ce qu'il l'attaquerait. Le mur se referma derrière elle, mais elle s'y attendait. En revanche, elle ne s'attendait pas à ce que personne ne l'attaque.
Être : Vous pouvez relâcher votre garde, il n'y a que nous ici.
Katerina : Qui êtes vous ?
Être : Je suis une personne qui a réussi à échapper à la transformation en être.
Katerina : Et ?
Être : Et quand je vous ai vu tomber du ciel, je suis venu pour voir de quoi il s'agissait, et j'ai décidé de vous emmener à l'abri avant que les êtres ne vous voient.
Katerina : ... Cette explication me paraît plutôt légère.
Être : Je me doute bien, je vais vous expliquer plus en détail, maintenant que vous avez décidé d'écouter avant de frapper...
Katerina : Peuh.
Laissons donc l'individu mystérieux expliquer ce dont il s'agit à Katerina, et allons visiter d'autres endroits de la planète.
Katerina : T'as pas bientôt fini de couper toutes les scènes ?!
Auteur : Je vais ce que je veux, c'est plus marrant comme ça !
Katerina : Grrr...
Ailleurs, sur la planète, l'étrange procession qui avait rasé une partie d'une ville venait de rentrer dans un gigantesque palais. La femme descendit de son palanquin, et commença à monter des marches. Une autre femme vint à sa rencontre. Elle lui ressemblait trait pour trait, les deux étaient donc sœurs jumelles.
???? : As-tu fait bon voyage, Idiana ?
Idiana : J'ai anéanti les déchets qui ont voulu se rebeller.
???? : Tu devrais y aller plus doucement, si tu détruit tout, tu n'auras plus rien pour t'amuser.
Idiana : Ridicule, Itiana ! Ils ne comprennent rien, donc autant les anéantir.
Itiana : Tu ne changeras jamais.
Idiana : Pas plus que toi. Quoi de neuf pendant mon absence ?
Itiana : J'ai trouvé deux esclaves qui avaient bonne figure chez le marchand d'esclaves.
Idiana : Ah ?
Itiana : Oui, visiblement le marchand les a trouvés inconscients près du palais.
Idiana : Ce sont des medusæ ou des humains ?
Itiana : Des humains.
Idiana : Qu'est-ce que tu veux que l'on fasse d'humains ? C'est une race encore plus inférieure que les Medusæ !
Itiana : Tu sais bien que mes gardes du corps se promènent toujours avec des détecteurs d'énergie.
Idiana : Et alors ?
Itiana : Il s'agit d'un homme et d'une femme, ils ont respectivement, 2,70 et 2,85 zénos en énergie.
Idiana : Quoi ? Des humains peuvent avoir une énergie supérieure à 0 ? Je n'aurais jamais cru ça.
Itiana : N'est-ce pas ? Ils pourront donc servir.
Idiana : Très bien, mettez leur le bandeau de reconnaissance.
Itiana : C'est déjà fait, ils sont prêts au service.
Idiana : Qu'ils viennent alors.
Itiana : Soit.
Itiana claqua des mains, et l'une des portes s'ouvrit. Deux personnes que nous connaissons bien une nouvelle fois, Michaël et Lauréline, qui portaient un étrange bandeau sur le front, entrèrent et s'agenouillèrent devant les deux femmes.
Michaël : Princesse Itiana, nous sommes à votre service.
Lauréline : Quels sont vos ordres ?
Itiana : Les voilà.
Idiana : Intéressant. Quel est le plus fort de ces deux humains ?
Itiana : L'énergie de la femme est plus élevée.
Idiana : Dans ce cas je te la laisse, toi qui aime bien d'être entourée. Le mâle servira à des tâches de réparation.
Itiana : Bien. Lauréline, tu viens avec moi. Toi, Michaël, va t'enquérir des tâches disponibles.
Michaël et Lauréline : A vos ordres.
Les deux esclaves commencèrent donc à appliquer les ordres. Maintenant, retournons en orbite où les débris du vaisseau de la fine équipe se trouvaient. De nouveaux débris s'étaient amoncelés à cet endroit, et un conflit semblait avoir éclaté en orbite. Regardons de plus près ce qu'il se passait dans les différents vaisseaux. Un humanoïde serpent semblait anéantir toute trace de vie dans les vaisseaux et les conduisait à l'auto destruction.
Schlangan : Misérables ! Mon vaisseau tout neuf ! Je vais détruire tous vos appareils avec vos propres moyens !
Homme méduse : Mais arrêtez le !
Femme méduse : On ne peut même pas le toucher, chef !
Schlangan : VERY LITTLE RENSA DRAGON THUNDER.
Les medusæ présents furent anéantis, et Schlangan activa l'auto destruction du vaisseau où il se trouvait, avant de se téléporter dans le vaisseau suivant avec Katemi Suzure. Le vaisseau explosa et Schlangan était déjà dans la cabine de pilotage du dernier vaisseau de la flotte.
Schlangan : Bien, il ne reste plus que vous, j'irai ensuite sur cette planète détruire vos vaisseaux stationnés.
Homme méduse : Tuez-le !
??? : ARRÊTEZ !!
Les hommes méduses se figèrent au moment où un humain rentra dans la cabine. Les medusæ n'osaient plus bouger.
??? : Vous ne pourrez rien contre lui. Même si vous étiez des millions.
Schlangan : Parfait, je vais donc pouvoir détruire de vaisseau paisiblement.
??? : Je vous conjure de laisser ce vaisseau intact, seigneur Schlangan.
Schlangan : Huh ? Comment connaissez-vous mon nom ?
??? : Les titans vous connaissent parfaitement, seigneur.
Schlangan : Seigneur ? En quel honneur ?
??? : Vous êtes le maître de la planète des mémoires perdues, la grande Naycerl.
Schlangan : ...
??? : Je suis profondément navré de la destruction de votre appareil. Ces êtres inférieurs ne vous connaissent pas.
Schlangan : Allons bon.
??? : Mais je manque à toute étiquette. Permettez-moi de me présenter. Je suis le prince Idiatek, et en l'absence du roi, je gouverne cette planète.
Schlangan : Et donc vous êtes un titan ?
Idiatek : Cela va de soi, seigneur Schlangan. Puis-je connaître le but de votre visite ?
Schlangan : Je suis venu récupérer quelque chose sur cette planète.
Idiatek : Très bien. Dans ce cas nous allons retourner là-bas. Vous ! Conduisez-nous au palais.
Homme méduse : A vos ordres !
Idiatek : Nous discuterons là-bas, et je vous aiderai tant que possible à récupérer l'objet de votre quête.
Schlangan : ... Merci.
Idiatek : Je vous en prie.
Suite au prochain chapitre.
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