Chapitre 028 - Sangamara Pathara
Ragnarok / Taihellef Wars :: L'antre des écrivains :: Schlangan et la fine équipe - Saison 2 :: Livre 5 - La ville de Marbre
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Chapitre 028 - Sangamara Pathara
Angy, Schlangan, Lauréline et Kimmy se trouvaient dans le vaisseau "emprunté" au groupe de chasseurs de primes qui contenait des Isvaras. Après avoir quitté la planète, le groupe se dirigeait maintenant vers la planète Sangamara Pathara. Le voyage se déroula sans encombres, et ils atteignirent l'orbite de la planète assez rapidement. A ce moment, le vaisseau cessa de bouger, et les lumières à l'intérieur s'arrêtèrent.
Angy : Huh ? Le vaisseau ne peut plus bouger !
Schlangan : Hmm... Je croyais que ce vaisseau était reconnu et autorisé à passer ?
Angy : Normalement oui. Je ne comprends pas.
Kimmy : Il y a une petite lumière qui clignote sur le côté !
Schlangan : Ah oui. Appuie sur le bouton à côté.
Kimmy appuya sur le bouton, et un écran sortit de la console de commande. Celui-ci s'alluma et une femme apparut dessus.
Femme : Soyez les bienvenus à Sangamara Pathara. Votre vaisseau a été immobilisé le temps que les procédures de sécurité soient accomplies.
Angy : Que fait-on ?
Schlangan : Attendons de voir ce qu'elle veut.
Femme : Vous ne faites pas partie des habitants enregistrés sur cette planète, mais vous possédez un vaisseau agréé. Cela signifie que vous avez réussi l'épreuve d'entrée sur notre planète. Toutes mes félicitations.
Angy : Qu'est-ce que ça veut dire ?
Femme : Pour votre enregistrement, votre vaisseau va être contrôlé et envoyé au spatioport d'accueil. Référez-vous aux agents sur place pour vous enregistrer. A très bientôt sur notre merveilleuse planète.
L'écran s'éteignit, et le vaisseau commença à se déplacer tout seul, se dirigeant vers la planète.
Lauréline : Réussir à voler un vaisseau était un test ? Drôle de planète.
Schlangan : Il faut croire qu'ils ne laissent pas entrer n'importe qui. Il va falloir rester prudents là-bas je pense.
Angy : Finalement j'ai de la chance de vous avoir croisés. Quelle que soit l'équipe que j'aurai pu assembler, voler un vaisseau aux faux dieux aurait été plus qu'improbable...
Schlangan : Pas forcément, ça m'étonnerait qu'il y ait beaucoup de personnes pouvant les terrasser. Nous verrons bien.
Le vaisseau continua sa route, jusqu'à arriver à un spatioport. Automatiquement, la porte s'ouvrit, et le groupe sortit. Ils se trouvaient devant un bâtiment d'accueil, tel que cela était écrit au-dessus des portes. Le quatuor s'y rendit donc, pour découvrir une file d'attente menant à un bureau.
Schlangan : Bon, déjà nous ne sommes pas les seuls nouveaux arrivants. Il y avait donc sûrement d'autres moyens de venir ici.
Angy : En effet.
Lauréline : Ils vont sûrement nous demander nos noms, que fait-on ? Donne-t-on les vrais ?
Schlangan : Hmm... Si on pouvait éviter de se faire repérer dès le début, ça serait mieux. Donc, tu t'appelleras Jeanne.
Lauréline : ... Si tu veux jouer à ça, tu t'appelleras Serge.
Schlangan : J'ai une tête à jouer à Volley ?
Lauréline : Si je me souviens bien d'une de tes histoires infernales, tu avais joué au foot avec un serpent quand tu étais à Makai non ?
Schlangan : Mouais, c'est vrai. Kimmy, tu seras, heu... Julie. Et Angy s'appellera George.
Angy : ... Très bien.
La file d'attente progressait peu à peu, et d'autres personnes arrivèrent derrière le groupe de Schlangan. Au bout d'une dizaine de minutes, ce fut finalement à leur tour. Un jeune homme était au guichet.
Homme : Soyez les bienvenus. Voyons voir... d'après les enregistrements, vous êtes arrivés avec l'un des vaisseaux des Baunti Hantara. Toutes mes félicitations ! Ce n'est pas la méthode la plus facile pour venir jusqu'ici.
Serge : Et donc n'importe qui trouvant un moyen de venir est accepté ?
Homme : Exactement, nos dieux ont interdit l'accès de cette planète pour tester les courageux qui ne s'attachent pas uniquement à ce qu'on leur dit. Sur cette planète se trouve une qualité de vie qui n'existe nulle par ailleurs.
Serge : Je vois.
Homme : Maintenant, j'ai besoin de vos noms pour vous enregistrer dans notre base de données et vous donner une résidence permanente.
Serge : Permanente ? Mais si des gens s'en vont pendant plusieurs années et reviennent ensuite, la résidence restera telle quelle ?
Homme : Aucun problème à ce sujet. Personne ne repart de cette planète.
Serge : Ah.
Homme : Bien, maintenant vos noms ?
Serge : Je me nomme Serge. Voici ma femme, Jeanne, et notre fille Julie. Et enfin, mon frère, George.
Homme : Très bien, c'est enregistré. Vous, votre femme et votre fille serez dans la même maison. M. George, souhaitez-vous être à proximité de votre famille ?
George : S'il y a une maison à côté, oui.
Homme : Aucun souci. M. Serge, Mme Jeanne et Mlle Julie serez dans la maison L6-3, secteur L, avenue 6, numéro 3. M. George sera dans la maison L6-4, donc la même chose, si ce n'est le numéro 4. Vous avez été scannés, si bien que seuls vous pourrez entrer dans ces maisons sans invitation. Pour laisser entrer quelqu'un d'autre, il vous suffira d'ouvrir la porte à cette personne.
Serge : Très bien, merci.
Homme : Vous pouvez vous rendre sur les points de téléportation en sortant par la gauche. Il vous suffira d'entrer l'identification de vos résidences, qui sont inscrites sur les cartes. Encore une fois, soyez les bienvenus à Sangamara Pathara !
Serge, Jeanne, Julie et George quittèrent donc le bureau d'accueil, et se rendirent vers les téléporteurs en question. Toutefois, quelque chose chiffonnait Serge.
Serge : Hey l'auteur, tu vas vraiment marquer nos faux noms à chaque fois ? Les lecteurs vont s'embrouiller !
Hauteur : A qui parlez-vous ? Je suis Hauteur, celui qui raconte votre histoire dans cette ville.
Serge : ... Même lui a pris un faux nom, ça ne rime à rien !
Hauteur : Tout cela aura une explication au bout d'un moment, ne t'en fais pas !
Serge : ...
Le groupe atteignit les points de téléportations. Ceux-ci ressemblaient à de simples bornes, sur lesquelles se trouvaient un clavier. Serge fut donc le premier à entrer les coordonnées, à savoir L6-3, et fut téléporté. Jeanne s'assura que Julie entre bien les coordonnées avant de l'imiter, puis ce fut au tour de George. Tous se retrouvèrent envoyés à une borne de téléportation située pile en face d'une maison, dont le numéro correspondait à celui qui leur était attribué. Les deux maisons étaient limitrophes.
Serge : Bon, le mieux est que nous allions visiter ces maisons. Rendez-vous ici dans disons... quinze minutes.
George : Très bien.
Julie : Mais pourquoi avoir dit que vous étiez frères ?
Serge : Simple. Comme ça nous pourrons tous errer ensemble sans forcément éveiller les soupçons. Allez, visitons ces maisons.
Serge, Jeanne et Julie entrèrent donc dans leur maison, tandis que George partit dans la sienne. A l'intérieur se trouvaient plusieurs pièces, déjà meublées. Il y avait une cuisine, un salon, une salle à manger, une salle de bains, des toilettes, deux chambres. Derrière la maison se trouvait un jardin.
Serge : Une maison tout à fait ordinaire.
Jeanne : C'est sûr. Peut-être trop, non ?
Serge : C'est ce que je me disais.
Julie : Que fait-on alors ?
Serge : Simple. Nous avons quelque chose à trouver, alors autant s'y mettre.
Le trio quitta donc la maison, pour rejoindre George, qui venait de sortir de la sienne.
Serge : Alors ?
George : Une maison qui ne manque de rien. Ils sont plutôt généreux.
Serge : N'est-ce pas ? C'est plutôt bizarre je dirais. Bien, voici ce que je propose. Nous allons nous séparer et explorer un petit peu, en se contentant pour le moment d'agir comme des citoyens normaux.
George : A quoi pensez-vous ?
Serge : Cette ville fait passer un test pour entrer, et fournit une maison directement à l'arrivée, sans demander plus que le nom des arrivants. Ça cache forcément quelque chose. Donc nous allons regarder comment les gens vivent ici.
George : Je vois. Donc par exploration, cela inclut également tous les services de la ville ?
Serge : Exactement. Les endroits où se procurer de la nourriture, les parcs, etc. Je vais partir de mon côté, Julie ira avec Jeanne, les gens seront plus enclins à parler à une femme et une fille. Quant à vous George, partez aussi de votre côté.
George : Si nous nous faisons passez pour des frères, je pense qu'il faudra mieux se tutoyer, sinon ce serait suspect.
Serge : C'est vrai. Et évitez de faire du grabuge sur votre passage.
Jeanne : Et c'est toi qui dit ça ?
Serge : Exactement ! Bref, à tout à l'heure. Oh, et tant que j'y pense... BAKUDÔ NO NANAJUNANA - TENTEIKUURA.
L'incantation de Serge ne fit rien, ce qui surprit notamment George.
George : Qu'as-tu fait ?
Serge : J'ai créé un lien télépathique. Si l'un de vous à un problème, cela mettra les autres au courant.
Jeanne : Bonne idée. Donc, à tout à l'heure.
Serge partit donc de son côté, vers une borne de téléportation, tandis que George en choisit une autre. Jeanne et Julie, quant à elles, commencèrent à arpenter l'avenue où leur maison se trouvait. Serge découvrit qu'en place de coordonnées, il était également possible d'entrer des mots-clés. Il put ainsi facilement trouver le secteur commercial de la ville, et s'y rendit. George préféra de son côté voir le secteur d'affaires. Enfin, Jeanne et Julie trouvèrent rapidement un parc, où de nombreux enfants jouaient. Pendant ce temps, ailleurs dans la ville, dans un gigantesque immeuble, un Isvara en armure noire observait la ville en contrebas. Derrière lui se trouvait un vieil homme habillé tel un majordome.
Isvara : Alors, combien de personnes nous ont rejoint aujourd'hui ?
Majordome : Nous avons exactement 327 nouveaux arrivants.
Isvara : 327... Y'en a-t-il qui sortent de l'ordinaire ?
Majordome : Il y a un groupe qui est arrivé en utilisant un vaisseau des Baunti Hantara. Qui plus est, l'un des vaisseaux stationnés dans la base principale.
Isvara : Oh ? Ils ont réussi à tromper les Ulda et Canda là-bas ? Ou bien les ont-ils éliminés ?
Majordome : C'est la seconde option, dieu. Ils ont pris le vaisseau par la force.
Isvara : Ah ! Enfin, des mortels qui vont nous être utiles. Ce n'est pas trop tôt.
Majordome : Combien de temps souhaitez-vous les laisser libres ?
Isvara : S'ils ont la force requise pour battre des Isvaras, leur énergie doit être élevée, donc nous avons besoin d'eux au plus vite.
Majordome : Comme il vous plaira, dieu. Avez-vous une recommandation quant au chasseur dispatché ?
Isvara : Hmmm... La secte Yosha. Ils seront parfaits pour un job de cette ampleur.
Majordome : Très bien.
Le majordome se retira, laissant l'Isvara seul. Celui-ci continua de contempler la ville avant de se retourner.
Isvara : Bien... Encore quelques mois, et tout sera au point. Nous aurons enfin une arme capable de faire sauter la protection des planètes comme Naycerl. Ha ha ha ha ha ha ha ha !
Suite au prochain chapitre
Angy : Huh ? Le vaisseau ne peut plus bouger !
Schlangan : Hmm... Je croyais que ce vaisseau était reconnu et autorisé à passer ?
Angy : Normalement oui. Je ne comprends pas.
Kimmy : Il y a une petite lumière qui clignote sur le côté !
Schlangan : Ah oui. Appuie sur le bouton à côté.
Kimmy appuya sur le bouton, et un écran sortit de la console de commande. Celui-ci s'alluma et une femme apparut dessus.
Femme : Soyez les bienvenus à Sangamara Pathara. Votre vaisseau a été immobilisé le temps que les procédures de sécurité soient accomplies.
Angy : Que fait-on ?
Schlangan : Attendons de voir ce qu'elle veut.
Femme : Vous ne faites pas partie des habitants enregistrés sur cette planète, mais vous possédez un vaisseau agréé. Cela signifie que vous avez réussi l'épreuve d'entrée sur notre planète. Toutes mes félicitations.
Angy : Qu'est-ce que ça veut dire ?
Femme : Pour votre enregistrement, votre vaisseau va être contrôlé et envoyé au spatioport d'accueil. Référez-vous aux agents sur place pour vous enregistrer. A très bientôt sur notre merveilleuse planète.
L'écran s'éteignit, et le vaisseau commença à se déplacer tout seul, se dirigeant vers la planète.
Lauréline : Réussir à voler un vaisseau était un test ? Drôle de planète.
Schlangan : Il faut croire qu'ils ne laissent pas entrer n'importe qui. Il va falloir rester prudents là-bas je pense.
Angy : Finalement j'ai de la chance de vous avoir croisés. Quelle que soit l'équipe que j'aurai pu assembler, voler un vaisseau aux faux dieux aurait été plus qu'improbable...
Schlangan : Pas forcément, ça m'étonnerait qu'il y ait beaucoup de personnes pouvant les terrasser. Nous verrons bien.
Le vaisseau continua sa route, jusqu'à arriver à un spatioport. Automatiquement, la porte s'ouvrit, et le groupe sortit. Ils se trouvaient devant un bâtiment d'accueil, tel que cela était écrit au-dessus des portes. Le quatuor s'y rendit donc, pour découvrir une file d'attente menant à un bureau.
Schlangan : Bon, déjà nous ne sommes pas les seuls nouveaux arrivants. Il y avait donc sûrement d'autres moyens de venir ici.
Angy : En effet.
Lauréline : Ils vont sûrement nous demander nos noms, que fait-on ? Donne-t-on les vrais ?
Schlangan : Hmm... Si on pouvait éviter de se faire repérer dès le début, ça serait mieux. Donc, tu t'appelleras Jeanne.
Lauréline : ... Si tu veux jouer à ça, tu t'appelleras Serge.
Schlangan : J'ai une tête à jouer à Volley ?
Lauréline : Si je me souviens bien d'une de tes histoires infernales, tu avais joué au foot avec un serpent quand tu étais à Makai non ?
Schlangan : Mouais, c'est vrai. Kimmy, tu seras, heu... Julie. Et Angy s'appellera George.
Angy : ... Très bien.
La file d'attente progressait peu à peu, et d'autres personnes arrivèrent derrière le groupe de Schlangan. Au bout d'une dizaine de minutes, ce fut finalement à leur tour. Un jeune homme était au guichet.
Homme : Soyez les bienvenus. Voyons voir... d'après les enregistrements, vous êtes arrivés avec l'un des vaisseaux des Baunti Hantara. Toutes mes félicitations ! Ce n'est pas la méthode la plus facile pour venir jusqu'ici.
Serge : Et donc n'importe qui trouvant un moyen de venir est accepté ?
Homme : Exactement, nos dieux ont interdit l'accès de cette planète pour tester les courageux qui ne s'attachent pas uniquement à ce qu'on leur dit. Sur cette planète se trouve une qualité de vie qui n'existe nulle par ailleurs.
Serge : Je vois.
Homme : Maintenant, j'ai besoin de vos noms pour vous enregistrer dans notre base de données et vous donner une résidence permanente.
Serge : Permanente ? Mais si des gens s'en vont pendant plusieurs années et reviennent ensuite, la résidence restera telle quelle ?
Homme : Aucun problème à ce sujet. Personne ne repart de cette planète.
Serge : Ah.
Homme : Bien, maintenant vos noms ?
Serge : Je me nomme Serge. Voici ma femme, Jeanne, et notre fille Julie. Et enfin, mon frère, George.
Homme : Très bien, c'est enregistré. Vous, votre femme et votre fille serez dans la même maison. M. George, souhaitez-vous être à proximité de votre famille ?
George : S'il y a une maison à côté, oui.
Homme : Aucun souci. M. Serge, Mme Jeanne et Mlle Julie serez dans la maison L6-3, secteur L, avenue 6, numéro 3. M. George sera dans la maison L6-4, donc la même chose, si ce n'est le numéro 4. Vous avez été scannés, si bien que seuls vous pourrez entrer dans ces maisons sans invitation. Pour laisser entrer quelqu'un d'autre, il vous suffira d'ouvrir la porte à cette personne.
Serge : Très bien, merci.
Homme : Vous pouvez vous rendre sur les points de téléportation en sortant par la gauche. Il vous suffira d'entrer l'identification de vos résidences, qui sont inscrites sur les cartes. Encore une fois, soyez les bienvenus à Sangamara Pathara !
Serge, Jeanne, Julie et George quittèrent donc le bureau d'accueil, et se rendirent vers les téléporteurs en question. Toutefois, quelque chose chiffonnait Serge.
Serge : Hey l'auteur, tu vas vraiment marquer nos faux noms à chaque fois ? Les lecteurs vont s'embrouiller !
Hauteur : A qui parlez-vous ? Je suis Hauteur, celui qui raconte votre histoire dans cette ville.
Serge : ... Même lui a pris un faux nom, ça ne rime à rien !
Hauteur : Tout cela aura une explication au bout d'un moment, ne t'en fais pas !
Serge : ...
Le groupe atteignit les points de téléportations. Ceux-ci ressemblaient à de simples bornes, sur lesquelles se trouvaient un clavier. Serge fut donc le premier à entrer les coordonnées, à savoir L6-3, et fut téléporté. Jeanne s'assura que Julie entre bien les coordonnées avant de l'imiter, puis ce fut au tour de George. Tous se retrouvèrent envoyés à une borne de téléportation située pile en face d'une maison, dont le numéro correspondait à celui qui leur était attribué. Les deux maisons étaient limitrophes.
Serge : Bon, le mieux est que nous allions visiter ces maisons. Rendez-vous ici dans disons... quinze minutes.
George : Très bien.
Julie : Mais pourquoi avoir dit que vous étiez frères ?
Serge : Simple. Comme ça nous pourrons tous errer ensemble sans forcément éveiller les soupçons. Allez, visitons ces maisons.
Serge, Jeanne et Julie entrèrent donc dans leur maison, tandis que George partit dans la sienne. A l'intérieur se trouvaient plusieurs pièces, déjà meublées. Il y avait une cuisine, un salon, une salle à manger, une salle de bains, des toilettes, deux chambres. Derrière la maison se trouvait un jardin.
Serge : Une maison tout à fait ordinaire.
Jeanne : C'est sûr. Peut-être trop, non ?
Serge : C'est ce que je me disais.
Julie : Que fait-on alors ?
Serge : Simple. Nous avons quelque chose à trouver, alors autant s'y mettre.
Le trio quitta donc la maison, pour rejoindre George, qui venait de sortir de la sienne.
Serge : Alors ?
George : Une maison qui ne manque de rien. Ils sont plutôt généreux.
Serge : N'est-ce pas ? C'est plutôt bizarre je dirais. Bien, voici ce que je propose. Nous allons nous séparer et explorer un petit peu, en se contentant pour le moment d'agir comme des citoyens normaux.
George : A quoi pensez-vous ?
Serge : Cette ville fait passer un test pour entrer, et fournit une maison directement à l'arrivée, sans demander plus que le nom des arrivants. Ça cache forcément quelque chose. Donc nous allons regarder comment les gens vivent ici.
George : Je vois. Donc par exploration, cela inclut également tous les services de la ville ?
Serge : Exactement. Les endroits où se procurer de la nourriture, les parcs, etc. Je vais partir de mon côté, Julie ira avec Jeanne, les gens seront plus enclins à parler à une femme et une fille. Quant à vous George, partez aussi de votre côté.
George : Si nous nous faisons passez pour des frères, je pense qu'il faudra mieux se tutoyer, sinon ce serait suspect.
Serge : C'est vrai. Et évitez de faire du grabuge sur votre passage.
Jeanne : Et c'est toi qui dit ça ?
Serge : Exactement ! Bref, à tout à l'heure. Oh, et tant que j'y pense... BAKUDÔ NO NANAJUNANA - TENTEIKUURA.
L'incantation de Serge ne fit rien, ce qui surprit notamment George.
George : Qu'as-tu fait ?
Serge : J'ai créé un lien télépathique. Si l'un de vous à un problème, cela mettra les autres au courant.
Jeanne : Bonne idée. Donc, à tout à l'heure.
Serge partit donc de son côté, vers une borne de téléportation, tandis que George en choisit une autre. Jeanne et Julie, quant à elles, commencèrent à arpenter l'avenue où leur maison se trouvait. Serge découvrit qu'en place de coordonnées, il était également possible d'entrer des mots-clés. Il put ainsi facilement trouver le secteur commercial de la ville, et s'y rendit. George préféra de son côté voir le secteur d'affaires. Enfin, Jeanne et Julie trouvèrent rapidement un parc, où de nombreux enfants jouaient. Pendant ce temps, ailleurs dans la ville, dans un gigantesque immeuble, un Isvara en armure noire observait la ville en contrebas. Derrière lui se trouvait un vieil homme habillé tel un majordome.
Isvara : Alors, combien de personnes nous ont rejoint aujourd'hui ?
Majordome : Nous avons exactement 327 nouveaux arrivants.
Isvara : 327... Y'en a-t-il qui sortent de l'ordinaire ?
Majordome : Il y a un groupe qui est arrivé en utilisant un vaisseau des Baunti Hantara. Qui plus est, l'un des vaisseaux stationnés dans la base principale.
Isvara : Oh ? Ils ont réussi à tromper les Ulda et Canda là-bas ? Ou bien les ont-ils éliminés ?
Majordome : C'est la seconde option, dieu. Ils ont pris le vaisseau par la force.
Isvara : Ah ! Enfin, des mortels qui vont nous être utiles. Ce n'est pas trop tôt.
Majordome : Combien de temps souhaitez-vous les laisser libres ?
Isvara : S'ils ont la force requise pour battre des Isvaras, leur énergie doit être élevée, donc nous avons besoin d'eux au plus vite.
Majordome : Comme il vous plaira, dieu. Avez-vous une recommandation quant au chasseur dispatché ?
Isvara : Hmmm... La secte Yosha. Ils seront parfaits pour un job de cette ampleur.
Majordome : Très bien.
Le majordome se retira, laissant l'Isvara seul. Celui-ci continua de contempler la ville avant de se retourner.
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